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Votre avis sur Bright Star ?
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Grand retour à la caméra après 6 ans de silence total, et même si cette attente nous montre que cette réalisatrice est assez peu prolifique, le film, quant à lui, confirme que quand elle se lance, ce n'est jamais pour faire de la figuration ! Bright Star est un film d'une classe totale et incontestable et la vie de John Keats, dans sa misère et son désespoir amoureux est un superbe sujet, d'autant que les poèmes de ce grand génie sont joliment distillés tout au long du film, ce qui ne peut que l'embellir davantage. Tout dans ce film est remarquable : le jeu des acteurs est magnifique et peut être insuffisamment salué par la critique, les images et les paysages sont splendides et créent une parfaite harmonie dans ce cocon confectionné par Campion elle-même, la musique est également de toute beauté, envoûtante. Que dire également des costumes, de la reconstitution d'époque ... Ce film est techniquement irréprochable, mais toute l'essence et la force de "Bright Star" réside dans sa faculté à nous montrer un amour tantôt lumineux, tantôt très sombre, et à nous faire ressentir soit de l'empathie, soit à nous donner irrémédiablement envie d'être amoureux, de se donner corps et âme !
Romance pure et sans artifices quels qu'ils soient, "Bright Star" retrace les dernières années de la vie du célèbre poète britannique John Keats qui rencontre son unique amour en la personne de Fanny Brawne.
C'est en s'attaquant à ce sujet rempli de beaux sentiments et d'espoir que Jane Campion se place à nouveau derrière la caméra pour réaliser ce drame romancier aux qualités si rares. Après son unanime succès "La Leçon de piano" vainqueur de la Palme d'Or 1993, la réalisatrice néo-zélandaise retrouve sa mise en scène aux angles délicats et propres qui enveloppent soigneusement le public pour ce voyage dans la périphérie de la Londres du XIXème siècle.
Caractérisé par une photographie sublime, qui sera d'ailleurs récompensée aux oscars, où chaque détails est magnifiquement mis en valeur, "Bright Star" se compare à un conte pour adulte qui fait rêver et peur à la fois. Rêver par la beauté des sentiments qui animent le récit et craindre par la même force destructrice de ces-derniers.
Choisie pour interpréter le rôle de la muse et l'amante Fanny Brawne, l'exquise Abbie Cornish laisse sans voix. Que ce soit dans son jeu, qui se révèle impressionnant, ou dans les émotions qu'elle dégage, l'actrice australienne se révèle une nouvelle fois prodigieuse sous toutes les coutures. Endossant quant à lui le manteau de M.Keats, Ben Whishaw ne démérite pas non plus en jouant son rôle avec conviction et finesse même s'il ne parvient pas masquer le charisme de sa partenaire. A eux deux il forme un couple particulièrement envoûtant qui remet au goût du jour le romantisme anglais où l'intimité y est caressée le temps d'un instant.
C'est malheureusement en nous faisant peut-être trop rêver que "Bright Star" nous laissera parfois sur notre faim. Coupant parfois certaines scènes qui auraient mériter une davantage d'exploitation, Jane Campion joue parfois avec le feu d'autant plus que la certaine répétitivité du scénario n'est pas toujours appréciable.Car bien que le tout soit plutôt harmonieux, le spectateur a souvent le sentiment de faire marche arrière dans une boucle infinie. Par bonheur, le final se dévoile dans sa grandeur tout comme les larmes d'heureux jours éphémères qui réunirent deux âmes éternelles sur une terre de mortels.
En résumé, "Bright Star" brille par sa forme et son histoire qui mettent en valeur un casting exceptionnel sur des airs de violon sobre mais beaux qui ne tombent jamais dans l'émotion facile.
C'est en s'attaquant à ce sujet rempli de beaux sentiments et d'espoir que Jane Campion se place à nouveau derrière la caméra pour réaliser ce drame romancier aux qualités si rares. Après son unanime succès "La Leçon de piano" vainqueur de la Palme d'Or 1993, la réalisatrice néo-zélandaise retrouve sa mise en scène aux angles délicats et propres qui enveloppent soigneusement le public pour ce voyage dans la périphérie de la Londres du XIXème siècle.
Caractérisé par une photographie sublime, qui sera d'ailleurs récompensée aux oscars, où chaque détails est magnifiquement mis en valeur, "Bright Star" se compare à un conte pour adulte qui fait rêver et peur à la fois. Rêver par la beauté des sentiments qui animent le récit et craindre par la même force destructrice de ces-derniers.
Choisie pour interpréter le rôle de la muse et l'amante Fanny Brawne, l'exquise Abbie Cornish laisse sans voix. Que ce soit dans son jeu, qui se révèle impressionnant, ou dans les émotions qu'elle dégage, l'actrice australienne se révèle une nouvelle fois prodigieuse sous toutes les coutures. Endossant quant à lui le manteau de M.Keats, Ben Whishaw ne démérite pas non plus en jouant son rôle avec conviction et finesse même s'il ne parvient pas masquer le charisme de sa partenaire. A eux deux il forme un couple particulièrement envoûtant qui remet au goût du jour le romantisme anglais où l'intimité y est caressée le temps d'un instant.
C'est malheureusement en nous faisant peut-être trop rêver que "Bright Star" nous laissera parfois sur notre faim. Coupant parfois certaines scènes qui auraient mériter une davantage d'exploitation, Jane Campion joue parfois avec le feu d'autant plus que la certaine répétitivité du scénario n'est pas toujours appréciable.Car bien que le tout soit plutôt harmonieux, le spectateur a souvent le sentiment de faire marche arrière dans une boucle infinie. Par bonheur, le final se dévoile dans sa grandeur tout comme les larmes d'heureux jours éphémères qui réunirent deux âmes éternelles sur une terre de mortels.
En résumé, "Bright Star" brille par sa forme et son histoire qui mettent en valeur un casting exceptionnel sur des airs de violon sobre mais beaux qui ne tombent jamais dans l'émotion facile.
LA LECON DE POESIE. Les aventures de John Keats et de son étoile illuminée. Le romantisme connu de Jane Campion et le charme du couple Whishaw/ Cornish.
Rarement un film n'aura était aussi beau dans tous les domaines. Que ce soit la photographie, les personnages, les dialogues... tout est beau. Merci à Jane Campion de mettre en scène cette histoire d'amour sans pour autant tout montrer. C'est finement filmé, finement joué et les dialogues sont tellement agréables... Bref c'est un bien joli film.
Film fascinant par sa beauté et sa sensibilité. Décors, paysages, costumes, musiques, textes, aucun élément à aucun moment ne rompt l'harmonie synergique que ces derniers, pris à part, malgré leur grandeur, ne pourraient former. une perle d'esthétisme nous permettant à nouveau d'espérer dans un cinéma véritablement créateur. Il n'en fallait pas moins pour être à la hauteur du propos, à savoir la vie du poète anglais John Keats.
C'un film un peu mou du genou. Mais pourtant j'ai passé un agréable moment en regardant ce biopic (car finalement c'est un biopic) du poète Britannique John Keats. Poète qui a du mal à se faire sa place en tant que tel, jeune homme qui a du mal à se faire aimer par sa voisine. C'est un biopic avec en toile de fond l'histoire d'amour entre lui et la femme qu'il convoite, et un peu sur ce qui se passe à côté (comme la difficulté d'être reconnu comme talentueux, ou même la partie créative avec son ami poète aussi).
Mou du genou, mais malgré tout agréable à regarder, même si la fin me parait un peu expédiée je trouve.
Mou du genou, mais malgré tout agréable à regarder, même si la fin me parait un peu expédiée je trouve.
Quelques beaux paysages, un beau concerto de voix et puis c'est tout.
Amoureux de la poésie, j'avoue avoir été plus que déçu par ce film, malgré en engouement certain dès les premières minutes, les passages d'une beauté clairsemée, les dialogues enjoués et le romanesque est bien trop vite remplacé par une longueur interminable, à croire qu'il fallait comblé les vides pour finir la bande. Pour moi le jeu des deux acteurs (pourtant j'adore le travail de Whishaw) est totalement abominable et parasite grandement le romantisme (incorporel) qui doit découler de ses scènes. De plus, j'ai également fais la grossière erreur de le visionner en VF, ce que je déconseille à toute personne, après une longue digestion, je me déciderai à le regarder en VO et ainsi à (peut-être) réviser mon jugement. Pour finir sur un point positif, l'ambiance visuelle, les costumes et les décors sont d'une grande qualité et permettent une immersion appréciable.
Film très subtil, qui pourrait passer pour de la platitude, mais que j'ai assez apprécié. C'est une histoire d'amour plutôt simple qui nous est décrite, et pourtant, elle nous passionne, parce que tout, dans ce film, est passion, tout en restant dans la subtilité : ce sera un baiser, une pression de la main, deux personnes collées contre le mur, bref, rien de très osé, et pourtant, ça fonctionne ! J'ai beaucoup aimé la petite scène du "1, 2, 3 soleil" (je ne vois pas comment l'appeler autrement), très mignonne petite scène, qui montre toute la complicité entre les deux personnages. Le film possède également un esthétisme fou, que ce soit avec les paysages ou les costumes d'Abbie Cornish, colorés et originaux. Cette dernière, d'ailleurs, est magnifique, son jeu, comme le reste du film, est juste et subtil. C'est elle la vraie star du film, elle efface complètement Ben Whishaw, qui m'a moins plu. Je n'ai jamais aimé la poésie, et pourtant j'ai aimé ce film, qui parle plus de l'homme que du poète (je trouve que ses lettres sont plus intéressantes que sa poésie, du moins, celle qui est lue dans le film).
L'esthétique du film est impeccable et j'apprécie Ben Wishaw ainsi que le poète John Keats. Cependant j'ai trouvé le film ennuyant, voire soporifique, il faut dire que l'histoire aide pas trop.
Très beau film. C'est une très belle histoire que certains trouveront peut-être un peu niaise ou déjà vue mais je trouve que Jane Champion a su apporter à ce film une certaine poésie qui rend le film captivant. J'ai beaucoup aimé ces images, les costumes, les couleurs et la musique qui construisent un univers auquel je n'ai pas douté. Je le recommande pour ceux qui aiment les belles histoires d'amour.
Un cinéma tout en finesse , caractéristique de cette réalisatrice talenteuse qu'est jane campion. Bright star aurait pu être issu de l'oeuvre de jane austen tellement les similitudes et les thèmes chers à la romancière sont représentés dans ce film magnifique, ou explose définitivement ben wishaw alias grenouille dans le parfum. Jane campion est vraiment une grande réalisatrice , bright star en est une preuve supplémentaire pour ceux et celles qui en doutaient.
le film est beau, lent, romantique, mais un peu trop long.....
C'est un film vraiment touchant et passionnant :) très bien fait et qui vous transporte et vous fait rêver.
L'interprétation, les décors et l'atmosphère n'arrive pas à compenser ce film d'une platitude très ennuyeuse et d'une lenteur fatigante à souhait. Très peu de chose à retenir, même la poésie n'arrive pas à ce mettre en avant. 1.5/5 !!!
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