Derniers Avis : Bright Star - Page 12

On espère un film où la passion domine et on en ressort déçu car il n'y en a pas une once. La poésie n'est pas mise en valeur et c'est dommage pour un film qui raconte la vie du plus grand poëte romantique anglais ! Cependant, j'avoue avoir été réellement séduite par les costumes et l'histoire de cette jeune couturière passionnée par les travaux d'aiguille. Les tenues qu'elle crée sont vraiment originales. On envie sa créativité, son habileté et sa dexterité à coudre de beaux vêtements.

Un film sympathique qui aurait beaucoup gagné à durer 40 minutes de moins. En effet, il s'agit d'un film d'ambiance, car l'histoire est niaise et sans intêret, d'autant qu'on la devine d'entrée de jeu. Et même si l'atmosphère "Angleterre du XIXe" est merveilleuse, les longueurs inutiles à répétitions lassent. 2h pour un film d'ambiance c'est beaucoup trop

Les images sont magnifiques, tant celles dans la campagne britannique que celles d'intérieur jouant sur les clairs-obscurs. Cette histoire d'amour est très belle et a réussi à me toucher, les 2 acteurs principaux sont sublimes et capturent notre regard du début à la fin.

Un début intéressant puis dès que la liaison se noue entre les amoureux le film étire un long ennui et une répétition des scènes insupportable .La qualité de la photo ne suffit pas à suppléer un scénario ultra mince sur 2 longues heures .

Un film transparent, long et ennuyeux à mourir. Des personnages sans intérêts, une intrigue absente, un scénario plat sans poésie ni émotion. Vraiment à éviter.

Somptueux mais maleuresement mon ennui aussi. Dommage pour une si grande real

Juste excessivement n
ul!

Il y a des réalisateurs qui réussissent à transformer le cinéma en quelque chose d’autre en illustrant les raisons pour lesquelles il est baptisé « le septième art ». Jane Campion appartient à cette catégorie, pour sa capacité d’exalter la synesthésie de l'image filmée. La poésie romantique de Keats se reflette dans l’utilisation symbolique des paysages qui soulignent l’état d’âme des personnages. En accord avec les idéaux de la littérature et peinture romantique, les éléments naturels ajoutent une dimension dramatique à l’histoire narrée. Les plans généraux rappellent les atmosphères des tableaux de Constable pour la manière de montrer vivement la beauté de la nature, laquelle n’est jamais seulement un arrière-plan mais le protagoniste absolu. Souvent l’extérieur est cadré à travers des fenêtres et des portes qui deviennent les cadres de tableaux vivants. Les couleurs et les compositions des images sont toujours parfaitement calibrées autant que les décors et les costumes. L’histoire d’amour est en syntonie avec l’idéal romantique de sentiment pur et platonique, tourmenté parce que socialement irréalisable. En plus de rendre parfaitement l’ambiance du romantisme le film donne aussi un regard approfondi sur la condition sociale de la femme et de l’artiste en XIX siècle. Un film complet qui a le mérite de ne pas diminuer la biographie de Keats pour un achèvement narratif commerciale.

Vous avez aimé la leçon de piano, de Jane Campion ? Vous avez apprecié la violence des sentiments, la passion qui dévore... Alors n'allez surtout pas voir « Bright Star », le dernier film de la réalisatrice. Les romantiques sont pourtant réputés pour leurs affaires de coeur tumultueuses, nous avons tous présente à l'esprit la liaison entre George Sand et Frédéric Chopin... les deux tourtereaux n'iront pas plus loin que quelques baisers.
Vous aimez la poésie ? Alors n'allez surtout pas voir « Bright Star », le dernier film de la réalisatrice. Trois poèmes qui se courent après sont un bien mince argument pour aller s'enfermer deux heures dans une salle obscure. Si vous aviez envie de connaître le poète John Keats, vous resterez sur votre faim et vous vous précipiterez dans la plus proche librairie afin d'acheter son oeuvre.
Les critiques ont adoré le film ? Ils n'ont pas payé leur place de cinéma pour lutter deux heures durant contre le sommeil, eux !
Vous avez aimé « Pride and Prejudice » de Joe Wright ? Alors n'allez surtout pas voir « Bright Star », le dernier film de Jane Campion. Les deux films sont situés à la même époque, dans le même pays, on ne voit rien de plus osé à l'écran qu'un chaste baiser.. mais la comparaison s'arrête là. L'intensité supposée de la relation est très mal rendue, faute peut-être au jeu somme toute assez plat des acteurs.
Le scénario porte aussi sa part de responsabilité dans l'échec car il est lui aussi peu passionnant, Jane Campion ayant voulu rester fidèle à l'histoire . Restent de belles images, mais je vous avoue que je préfère nettement visiter un musée, je peux accélérer le pas lorsque je sens que mon attention retombe.
Mon conseil , si vous ne l'aviez pas encore compris… n'allez surtout pas voir « Bright Star »!

Un voyage à part au pays de la poesie et de l'amour absolu. Touchant, ennivrant, dur.

Jane Campion atteint des sommets avec ce chef-d'oeuvre d'une sensibilité extrême magnifiquement filmé, à noter la très charismatique interprétation de John Keats par Ben Whishaw. Le cinéma produit des perles qu'il convient d'apprécier par leur rareté et leur préciosité, bien que romancé ce film aborde des thèmes qui resteront à jamais universels: l'amour, la poésie et le drame

Malgré sa lenteur il se dégage de ce film un charme indéniable.

aïe ! pour être franche, c'est ennuyant. pour ceux qui aime la lenteur et peu de musique dans un film, vous apprécierez ... pour les autres, vous devriez vous abstenez de le voir. certes, les interprétations sont pas mal mais franchement, il aurait pu être beaucoup mieux ...

Dieu que c'est ennuyant ! Si la sauce insipide de Bright Star ne prend pas, c'est parce que sa prétendue poésie passe moins par l'image que par l'oeuvre écrite de Keats. L'impression pâlichonne d'écouter le film de Jane Campion plutôt que de le contempler... Qui plus est, ce long métrage s'affirme au fil du visionnage comme une parfaite mièvrerie dénaturant les sentiments amoureux des personnages. C'est lent, ronflant, plan-plan, ridicule dans sa représentation des élans romantiques et finalement presque vulgaire à force d'insistance. Reste la lumière, douce, carressante, qui peine pourtant à sublimer le cadre, cadre d'une banalité déconcertante. Les éclats de Bright Star sont donc trop rares pour que le spectateur que je suis puisse parler d'oeuvre somptueuse ou de sommet poétique. Si Quentin Tarantino avait réalisé ce film, il l'aurait sans nul doute intitulé Tue-Romance. Blagues à part, Jane Campion nous a pondu le film le plus soporifique de ce début d'année. Une bluette insignifiante et laborieuse.

LA POESIE EST UN EXERCICE DES SENS

Cette phrase du jeune poète anglais John Keats, aussi belle et vraie soit elle, ne s’est hélas pas révélée être aussi juste à mes yeux, en découvrant son histoire dans ce film de Jane Campion. Malgré toute la poésie qu’elle a bien voulu mettre dans cette très courte et néanmoins très ennuyeuse existence de ce jeune auteur talentueux, rares sont les moments de grande émotion.
Pourtant, tout est bien. Le style est bon, l’image est belle, le casting est bien ciblé, les costumes et les décors très soignés et les acteurs attachants. Mais je me suis vraiment ennuyé. Hélas, comme cela arrive parfois, les plus beaux instants sont dans la bande-annonce. Evidemment, ensuite, s’il n’y a pas de rythme, il y a de quoi s’impatienter. Certains spectateurs ne l’ont d’ailleurs pas fait et sont partis au tiers de ces deux longues heures…
A noter tout de même que le rôle de John Keats est tenu par Ben Whishaw, que l’on n’a plus beaucoup vu depuis son interprétation de Jean-Baptiste Grenouille dans ‘Le Parfum’.