Mon compte
    Lust, Caution
    Note moyenne
    3,6
    1048 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Lust, Caution ?

    182 critiques spectateurs

    5
    57 critiques
    4
    58 critiques
    3
    12 critiques
    2
    39 critiques
    1
    13 critiques
    0
    3 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    dahbou
    dahbou

    204 abonnés 2 186 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 mars 2009
    Ang Lee a forcement vue Black Book et il en donne sa version c'est à dire un film magnifique visuellement parlant mais assez ampoulé si bien que le temps commence à devenir long pour les spectateurs. S'intéressant uniquement à la relation presque masochiste entre la résistante et le collabo, Lee se débarrasse vite fait du côté thriller et du côté politique ce qui est peut être le plus gros défaut du du film et déséquilibre complètement sa narration. Enfin Tony Leung Chieu-wai confirme qu'il est bien le meilleur acteur chinois de sa génération.
    Niko0982
    Niko0982

    67 abonnés 1 331 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 janvier 2008
    Très bien fait et très bonne histoire.
    Claricewins
    Claricewins

    62 abonnés 1 053 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 août 2010
    Ang Lee a réalisé un très grand film, et il a osé. La réalisation est superbe, le film ne souffre pas de lenteur, on ne voit pas passer les 2h30. La relation entre le collabo et la résistante est progressive, entre violence et passion, et, on peut le penser, amour. Tony Leung est un acteur vraiment intense, tous ses regards semblent en dire long sur ses sentiments. La musique est magnifique, ainsi que la reconstitution de la Chine occupée. Ang Lee nous présente une époque que personnellement je ne connaissais pas, et je trouve un peu dommage qu'on ne s'étende pas plus que ça sur l'occupation dont souffre la Chine. Il a préféré se concentrer sur l'histoire de ces résistants, et finalement, ce n'est pas un si mauvais choix.
    nestor13
    nestor13

    57 abonnés 1 222 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2008
    Comme chacun le sait, l'homme est avant tout dirigé par sa queue. C'est le nerf de la guerre et aussi le nerf de ce nouveau joyau de Ang Lee. Celui-ci est magnifiquement porté par la jolie Tang Wei qui est une belle découverte ainsi que par Tony Leung Chiu Wai qui baise comme une bête avec cette partenaire bien chaude. Ce n'est pas le seul intérêt de cette oeuvre (pour le spectateur coquin s'entend) qui est aussi à la fois un beau film d'époque et une histoire brillament mise en scène par le réalisateur taïwanais. On s'attache en effet avec beaucoup de passion à cette Mata Hari chinoise amoureuse de Cary Grant et qui nous initie aux joies du mahjong. D'ailleurs, c'est quand elle veut pour jouer avec moi. Même sans les atouts.
    leon2
    leon2

    40 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 février 2009
    Splendide !!! Une histoire d'espionnage où l'héroine doit jouer avec les sentiments de son coeur pour comploter l'assasinat d'un collaborateur chinois envers l'occupant japonais .
    Deux ans apres brokeback mountain , Ang lee nous emue avec ce mélodrame . Constitué d'une magnifique photographie , et d'une mise en scène tres soigné , il est un écrin de beauté. Tony leung ( In the mood for love , 2046 )est comme toujours genialissime dans cette incarnation d'un homme froid et sans état d'ame . Tang Wei , ex finaliste miss univers , pour sa première apparition est la cerise de cette création , belle et sensuelle à souhait , son regard est magnifié par le talent de ce réalisateur , au plusieurs étapes de sa vie . Esthétiquement réussi , il en va de meme pour ses toilettes soigné . Tel un bon Wong Kar Wai . Avec comme pour tout chef d'oeuvre , une musique mélodieuse et affriolante composé par un français "Alexandre Desplat " nommé d'ailleurs au oscar 2009 , pour la bande originale de Benjamin Button .Il est paré de quelques scènes de sexe explicites , non abusif au vù de ce scènario . Mettant en action la dévotion de corps et de toute son ame de Wang Jiazhi (tang wei ) envers ses convictions louables et torturées.Il reçu le Lion d'or à la Mostra de Venise en 2007. 2h30 de pure beauté
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 février 2008
    Ang Lee est un réalisateur dont on ne dira jamais assez d'éloges. Ayant atteint le summum avec BROKEBACK MOUNTAIN, difficile de faire mieux. LUST CAUTION s'impose malgré tout. Le film suit le parcours d'un groupe d'amis enrolés dans la résistance dont l'une des jeunes filles va devoir en apprendre le plus possible sur un haut commanditaire... Acteurs géniaux, Ang Lee réalise une nouvelle fois un nouveau chef d'oeuvre. Mais il y a de très (trop!) nombreuses longueurs, et même si certaines scènes atteignent le nirvana tant elles sont belles, on ne peut que regretter une allure un peu poussive. Ne soyons pas pointilleux, LUST CAUTION est un diamant implacable avec une fin glaciale.
    fabrice d.
    fabrice d.

    26 abonnés 1 507 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 décembre 2021
    J'ai beaucoup aimé ce film qui nous plonge dans le Hong-Kong des années 30-40 avec en toile de fond la guerre menée par les Japonais contre la Chine. On y suit une bande de jeunes qui veulent faire un attentat sur un collaborateur. Les images sont belles, l'ambiance est poétique parfois mais pas toujours car il y a aussi des scènes plutôt violentes, en tout cas psychologiquement. Le film est peut-être un peu long mais finalement ça va et la fin est très clivante.
    al111
    al111

    22 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 janvier 2008
    L’histoire ressemble à celle du film de Paul Verhoeven “Black Book”, où une jeune femme engagée dans la résistance avait pour mission de devenir l’amante d’un homme à abattre, et dont elle tombait amoureuse.
    Ici, même époque, mais autres lieux, autres cultures, autres décors et costumes, pour finalement pas grand chose de nouveau dans le traitement de cette idée assez classique.
    Surtout, et c’est peut être ce qui laisse le plus le spectateur sur sa faim, c’est l’aspect très hollywoodien de l’entreprise. Malgré la langue et les acteurs chinois, on se croirait dans un film américain. Rien dans le rythme, ni dans la construction du récit, ni dans le jeu des comédiens, ne donne une ambiance asiatique. Les décors extérieurs et les costumes (particulièrement bien sûr les robes de l’héroïne) sont magnifiques et font penser à Wong Kar-Waï, mais l’ambiance n’y est pas. D’ailleurs, lorsque la jeune femme va au cinéma, c’est pour y voir des films... américains !
    Tony Leung joue une fois de plus le bel homme taciturne qui découvre qu’il a un coeur, et il le fait très bien. En revanche, Tang Wei, qui incarne la jeune femme chargée de le séduire, épuise rapidement son charme. Heureusement qu’elle porte de belles robes...
    ericAparis
    ericAparis

    20 abonnés 206 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 août 2009
    Sur un sujet proche du "Black book" de Verhoeven, Ang Lee nous livre un film magnifique.
    Pour qui aime les longues hitoires romanesques (mais pas fleur bleue) mélée d'espionnage et de manipulation, vous serez aux anges. De plus, la reconstitution de la chine pendant l'occupation japonaise est tout simplement grandiose.
    Certes, le rythme est lent, et l'histoire progresse en prenant son temps, mais ça n'est pas du temps mort, car il laisse le temps aux personnages de s'installer et à nous de mieux les comprendre.
    Et pour terminer, il faut saluer les perfomances des acteurs, tous formidables, des seconds rôles aux principaux ... On n'est pas près d'oublier le jeu parfait de la sublime Tang Wei !
    DomiMo C
    DomiMo C

    24 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 janvier 2008
    Pas de doute, Lust and caution est un grand film : belle photo, scénario riche avec une action qui sait prendre son temps pour se mettre en place et progresser. Ce film me fait penser à certains film d'Hitchcok...

    Pas de doute non plus, ce n'est pas un film tout public. La sexualité présentée est atypique : violente, basée sur un bluff et pourtant passionnée... pour cela je pense que c'est un film à déconseiller aux adolescents ou au minimum faudrait-il en parler avec eux après.
    alain-92
    alain-92

    318 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 janvier 2008
    Ang Lee, une fois encore, se surpasse pour mieux nous enchanter. Son dernier film mêlant espionnage, violence et érotisme laisse pantois devant une réalisation d'une fine intelligence. La distribution est excellente. La reconstitution historique parfaite. Un très grand moment de cinéma. A ne pas rater !
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    237 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 février 2008
    Ce n’est pas anodin si Ang Lee introduit «Se, jie» (Chine, 2008) par un jeu. Le jeu et ses limites font toute l’affaire du film. Le retour du cinéaste dans son pays d’origine, la Chine, nourrit à la fois son œuvre d’une intrigue chinoise tout en conservant un style américain. Du style etats-unien, il y a cette cadence maîtrisée du montage. A l’amour secret et authentique de «Brokeback Mountain» (USA, 2006), Lee substitue un amour violent et artificiel. De l’intrigue chinoise il y a ce choix de cadrer son récit dans l’occupation de la Chine par le Japon dans les années 1940. De jeunes étudiants gorgés d’idéaux décident, suite à une représentation théâtrale, de mener une résistance contre les collaborateurs chinois. Le jeu du théâtre se transforme en jeu de la guerre. Le film, plus que de relater une période sombre de l’occupation de la Chine, questionne la place du jeu dans la vie et aplatit une perspective de la mimésis en apposant le jeu dans l’artifice même du cinéma. Le jeu de l’art, souvent directement inefficace, se confronte là à la plus dangereuse des concrétudes : la politique. Dans «Se, jie», l’art/le jeu n’est pas l’objet d’un divertissement, ni même un plaisir esthétique mais bien le véhicule d’une Idée. Ainsi lors de la scène de la représentation, un des personnages de la pièce honore la Chine, embrasant toute la salle qui se lève et clame avec lui la liberté nationale. Le jeu se fragilise dans le rapport de Wong avec M. Lee. La relation qu’entretient la jeune résistante infiltrée avec le meurtrier s’enlise dans l’amour et la luxure avant que de tomber dans la trahison, ces trois mots composant le sous-titre français du film. Les entrelacements érotiques traduisent la communion des deux, la réunification d’une Chine arrachée par le Japon. Mais l’union n’est toujours qu’un prétexte, elle est une règle à part entière de l’espionnage menée par Wong. La tension de chaque instant rend le jeu de l’infiltration plus palpable au fil du film.
    Buzz063
    Buzz063

    75 abonnés 919 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 mars 2011
    Commençons par les points positifs du film, ça va aller vite. Le côté hybride du film, culturellement chinois mais très influencé par le cinéma classique hollywoodien auquel il fait de nombreuses réfèrences, n'est pas inintéressant. Et, disposant d'un budget confortable pour un production chinoise, sa reconstitution historique est luxueuse. Cela dit, celle-ci n'est pas non plus exempte de défauts. Ainsi, et comme c'est souvent le cas dans les films historiques à gros budget, elle manque de cachet. Par exemple tous les costumes, même celui du dernier des pouilleux, semblent tout juste sortir du pressing. Autre problème, dû aussi au scénario et à la réalisation, on a beau être dans la Chine des années 30-40, on ne ressent jamais véritablement le contexte historique de l'époque, telle la présence de l'occupant japonais. La faute à un réçit se déroulant essentiellement dans des restaurants guindés et des villas luxueuses. On s'ennuie également beaucoup, en grande partie aussi à cause d'un scénario qui cumule les erreurs. Il est déjà très vieux jeu d'un point de vue romanesque, en particulier dans sa façon de traiter son héroïne. Celle-ci est une nunuche qui reste constament le jouet des hommes et n'est jamais actrice de son propre destin. La conclusion est particulièrement accablante. Après s'être amourachée du Tony Leung et que celui-ci lui est offert un gros diamant, elle craque et le laisse s'enfuir (c'est normal on a à faire à une faible femme au coeur d'artichaut, romantique et maternelle). L'aspect le plus absurde du scénario est de faire perdre au film 1h10 en s'échinant à décrire une première tentative d'attentat avortée, développant à cette occasion un groupe de personnages de jeunes étudiants qui se lançent maladroitement dans l'activisme politique. Ceux-ci scellent leur entrée véritable dans la Résistance via une scène de meurtre au symbôlisme lourdement appuyé et qui lie leurs destins. Le spectateur se dit légitimement que ce groupe et leur action lourde de conséquences vont prendre de l'importance dans le réçit or, à l'exception de l'un d'entre eux, ils vont totalement disparaitre de l'histoire à la grande surprise du spectateur qui peut penser "tout ça pour ça". Il faut encore 20 minutes pour qu'enfin, l'héroïne tombe dans les griffes de Tony Leung. Et là encore déception. On s'attend à ce que le réalisateur mette l'accent sur l'ambiguïté de cette relation, Tang Wei se retrouvant peu à peu prise au piège de ses sentiments envers ce personnage de tortionnaire cruel et manipulateur. On a droit à l'inverse d'un crescendo dans la tention, Tony Leung passant d'un amant brusque à un amant attentionné. Dernière partie où s'accumulent les clichés, Ang Lee semblant penser qu'enquiller les scènes de cul où les acteurs alignent les positions les plus acrobatiques du kamasutra suffit à donner une dimension sulfureuse à leur relation, et du même coup à son film. Si on ajoute la mise en scène de Lee, classique et académique dans ce qu'elle peut avoir de plus pénible et son écriteau clignotant "film à festival", ça fait beaucoup dans la balance. D'autant qu'un an plus tôt est sorti un très grand film sur un sujet similaire, "Black Book". Et c'est peu dire qu'au petit jeu des comparaisons, le chef-d'oeuvre de Paul Verhoeven gagne sur tous les tableaux.
    scrabble
    scrabble

    34 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 janvier 2008
    Pour 2h38 de film chinois pas une seconde je m'y suis ennuyée. Du début à la fin on reste en haleine. Les acteurs sont troublants, magnifiques et n'ayons pas de gêne à dire que les scènes d'amour sont sublimes d'érotisme sans tomber dans la grivoiserie.
    jerry974
    jerry974

    14 abonnés 449 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 février 2008
    Superbe reconstitution de Shangaï des années 40, on se régale des intérieurs d'acajou et des vieilles berlines qui circulent dans des rues semie-desertes de la ville assiègée. En deux partie, ce film commence avec un groupe d'étudiants qui essaie d'approcher le chef de la police pour le supprimer. Ce sont des débutants, et cela se voit. On les retrouve ensuite beaucoup mieux organisés quelques années plus tard avec le même projet.
    De la même manière, le film de Ang Lee se construit. Partant du groupe, on se focalise ensuite vers deux personnages. La caméra se fait plus proche, la "sensualité capiteuse" des scènes nous plonge dans la psychologie trouble de ce chef de la police et de cette espionne. Les sentiments sont ambivalents, les personnalités, doubles. Le coeur s'accélère et le rythme aussi.
    Mais tout cela reste au niveau du récit. C'est esthétisant, c'est bien fait, mais je n'ai pas été soulevé par cette histoire d'amour (qui ne devrait pas en être une!) torride, par ailleurs. Cette histoire, qui se passe sur plusieurs années, avec un long flash back, m'a un peu essouflé à la longue. C'est beau, c'est lent. C'est trop, malheureusement!!
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top