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Un visiteur
4,0
Publiée le 15 janvier 2013
Pour son dernier film, Sindey Lumet nous propose là un thriller noir et rythmé. Un scénario original et intelligent, avec différents points de vue, et deux trés bons acteurs.
aucune dimension, un film glauque, débile et les acteurs grossiers écoeurent... aller au ciné pour vivre çà, aucun intérêt. c'est sûrement la réputation du réal qui a fait gonfler les étoiles chez les critiques, je suis déçu.
J'ai pas du tout aimé. Malgré la réalisation originale, le jeu des acteurs parfaits, j'ai trouvé le rythme lent et surtout je n'aime pas les histoires de personnages qui gâchent leur vie !! Ca me dérange !
Sidney Lumet semble, 30 ans après "Une après-midi de chien", avoir gardé un certain gout pour les cambriolage raté, car mal préparé et réalisé par des amateurs. Sauf que cette fois le film est vraiment mauvais, n'est pas Tarantino qui veut, la construction en flashback est mauvaise et n'entretient aucun suspense, le rythme est d'une extrême lenteur, l'exhibition des seins de Paula Patton n'y change rien, et enfin on ne sais pas ce qu'advient de Hank au final. Alors, passez votre curiosité pour savoir ce qui c'est passé et pourquoi ce samedi-là à 7h58 car ça n'en vaut vraiment pas l'intéret.
Un film assez incroyable dans son déroulement et sa dramatique totalement folle et irraisonnée. L’enchaînement des événements est une fatalité qui prend le spectateur en otage. Où va s’arrêter cette folie? Un drame et un suspense excellent
Wow, si je m'attendais à ça. Un thriller habile et haletant, admirablement interprété par tout le cast, très juste et pertinent. Coup de coeur pour la musique aussi. Un film noir et très intense, dont on ressort un peu chamboulé.
En 2007, le grand Sidney Lumet signait "7h58 ce samedi-là", long-métrage appelé à devenir sa révérence. Si celui-ci constitue sans doute l'un des meilleurs films de sa fin de carrière, l'ensemble n'est pas non plus une franche réussite. On part tout d'abord sur un scénario retors et extrêmement prometteur où un cambriolage devient le reflet d'une douloureuse tragédie familiale. En filigrane, c'est le thème de la fatalité, cher aux Américains qui se dessine mais la mayonnaise ne prend qu'à moitié. Car malgré un montage ingénieux et un casting intéressant (glaçant Philip Seymour Hoffman), "7h58 ce samedi-là" manque singulièrement de punch et se situe en décalage complet avec sa maîtrise technique. Les longueurs sont présentes et certains personnages sont peu étoffés. À défaut d'un grand essai fataliste, un testament honorable malgré tout.
Thriller sur un cambriolage mais surtout drame familial dans toute sa splendeur, S.Lumet brille par sa mis en scène anti-chronologique et une profondeur de ses personnages. Sans fioriture et sans effets spéciaux démesurés, il sublime des acteurs parfaits dans leur interprétation de personnages torturés.
Le film précédent de Sydney Lumet « Jugez-moi coupable » était déjà un moment de pur délice ; pour son dernier film, c’est un coup de génie ! C’est comme si le metteur en scène avait décidé d’y exploiter tous les thèmes de ses autres réalisations, corruption, hold-up, famille, le tout enrobé d’humour noir et de cynisme mais sans délaisser l’aspect tragique. Le montage audacieux et parfaitement calibré produit un puzzle haletant et nous permet de sauter dans le passé pour ménager le suspense et raccorder les points de vue des différents personnages, tous parfaits. Ces deux frères atypiques qui montent un coup surréaliste et nous emportent dans une intrigue où se côtoient les pires sentiments humains y déclinent la stupidité et l’abjection. Ou tout simplement l'authenticité de l’être humain ?
Pour l'une de ses dernières réalisations, Lumet nous propose un film sombre, drame familial déguisé en thriller. Le montage subtil, basé sur des flashbacks encastrés comme des poupées gigognes, donne du rythme à un scénario somme toute classique, basé sur un braquage qui tourne mal dans une bijouterie de banlieue. Sans atteindre des sommets, la bonne prestation des acteurs tient en haleine le spectateur: Philip Seymour, Ethan Hawke (Training day) et Albert Finney (Miller's crossing)mais l'histoire ne développe pas pourquoi la cellule familiale a pu se déliter à un tel point. Il reste au stade du film noir… spoiler: sans gangster professionnel. VD vo juillet 21
Pour ses adieux Sidney Lumet qui a peut être fait le meilleur film de braquage avec un « après midi de chien » retrouve le genre mais d’une manière un peu détournée en racontant surtout l’avant et l’après braquage (minable une fois de plus). C’est aussi l’occasion pour lui de filmer une tragédie familiale sublimée par des acteurs en grande forme. Une famille qui va exploser, ou les petites lâchetés vont conduire à des drames irrécupérables. C’est un film sobre, un peu trop même concernant la photo que j’ai trouvé très fade, mais qui s’avère juste et n’en fait jamais trop.
J'ai moyennement apprécie ce film, je m'attendais à mieux. L'histoire des Hanson va effectivement basculer mais elle démarre plutôt lentement, enfin si, elle démarre par la fin d'ailleurs et se construit façon puzzle, par brides, par retours en arrières de cette histoire qui mettent en scène un par un les principaux acteur . Oui, le film ira de surprise en surprise ne laissant pas le temps au spectateur de s'ennuyer et heureusement car c'est un peu long parfois et ces morceaux de l'histoire rassemblés les uns aux autres tout au long du film donnent un aspect assez décousu et bâclé mais finalement logique à la fin, on peut être dérouté au premier abords. Heureusement que les acteurs principaux sont connus du grands public sans quoi, j'aurai classé cette histoire en série B; ils s'en sortent plutôt bien et l'histoire, sans briller, reste intéressante.