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    Batman & Robin
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    805 critiques spectateurs

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    kazu sie06
    kazu sie06

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 juin 2020
    Un chef-œuvre total, batman et robin est un film tellement sérieux et dramatique qu'on ne peut pas rater ce chef-d'oeuvre les personnage sont profonds et le méchant est tellement charismatique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 juin 2020
    Un chef d'oeuvre, est je besoin d'expliquer pk ça l'est je ne pense pas, À voir absolument. Mais avant tout regarder Batman sinon vous êtes perdu...
    GrandSephiroth
    GrandSephiroth

    59 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 avril 2020
    Suite au grand succès de Batman Forever, Warner Bros. veut rapidement un nouveau film pour continuer de rentabiliser sur la licence. De son côté, Joel Schumacher souhaite pousser le délire encore plus loin pour continuer de séduire le grand public, tout en tentant un hommage au comique bien trempé de la série télévisée de 1966. Le tournage est ainsi expédié en quatre mois pour une sortie durant l’été 1997. Au lieu de reprendre le rôle de Bruce Wayne, Val Kilmer opte pour celui de Simon Templar dans une nouvelle adaptation du Saint de Leslie Charteris, laissant sa place à Georges Clooney (Urgences, Une nuit en enfer). Si Chris O’Donnell renfile le costume de Robin, une mystérieuse jeune femme fait son apparition sous les traits d’Alicia Silverstone (Clueless). Dénommée Barbara Wilson (toute ressemblance avec la fille du commissaire Gordon serait purement fortuite), il s’agit en réalité de la nièce d’Alfred, dont la santé commence à devenir fragile.

    Schumacher continue d’exploiter de nouveaux ennemis de l’homme chauve-souris avec un duo non dénué d’un certain charme. Tout d’abord avec Mister Freeze, incarné par Arnold Schwarzenegger (True Lies, L’Effaceur, La course aux jouets), un ancien scientifique victime de ses recherches en cryogénie, cherchant à obtenir de quoi financer un traitement pour sauver sa femme atteinte du syndrome de McGregor. Son background tragique est basé sur celui de la série animée Batman de 1992 avec l’épisode « Amour on ice », les comics lui ayant de base donné un caractère bien plus burlesque. Le scénario dévie ensuite en Amérique du Sud avec le docteur Pamela Isley, jouée par Uma Thruman (Les liaisons dangereuses, Sang chaud pour meurtre de sang froid, Pulp fiction), qui devient Poison Ivy après avoir été en contact d’un peu trop près avec des produits chimiques. Cherchant à dominer le monde à l’aide de plantes carnivores, elle est assistée par Bane, un condamné aux muscles hypertrophiés par du venin de fleur tropicale

    « Qu’est-ce qui a tué les dinosaures !? L’ère glaciaire !! »

    Après un dialogue introductif mémorable, le film annonce la couleur avec la présentation des costumes de Batman et de Robin sous des plans montrant leurs tétons, leurs fesses et même leurs entrejambes. Il alterne ensuite entre des dialogues qui flopent (« Salut Freeze, je suis Batman ! »), un acting surjoué ou inexistant (Clooney en tête), des situations ridicules (les patins à glace incorporés dans les chaussures de Batman et Robin) et une esthétique kitschissime bourrée de lumières et de personnages colorés qui contrastent totalement avec Gotham restée sombre. La volonté de vendre des jouets tirés du film est tellement présente qu’elle est même incrustée dans une réplique (« Les poupées Poison Ivy sont toujours vendues dans la même boîte ! »). La réalisation est bancale de bout en bout avec des scènes d’action molles, des plans débullés à outrance et des effets spéciaux grossiers, notamment lorsque les muscles de Bane gonflent. La physique elle-même défie tout réalisme entre la poursuite dans la fusée, le surf en plein ciel et les satellites détournés en un rien de temps vers la fin.

    Ce qui frappe le plus est sans doute le nombre astronomique de jeux de mots moisis présents dans les dialogues. Freeze remporte la palme haut la main en multipliant les blagues sur le froid (« C’est l’iceberg qui débarque ! »), incitant de fait Batman à surenchérir (« Freeze, t’es givré ! ») et une de ses acolytes à en rajouter (« Oh je suis en chaleur ! […] Ça n’a rien de blizzard, je t’ai dans la peau ! »). Poison Ivy n’est pas en reste entre jeux de mots de bas étage (« C’est vraiment la jungle ici… ») et allusions sexuelles à tout-va (« L’un d’entre vous, petit veinard, est sur le point de butiner le miel ! »), Freeze lui-même y ajoutant sa touche (« En voilà une belle plante ! »). D’une manière générale, les personnages principaux ont tendance à se ridiculiser, entre Batman qui tue ce qui lui reste de crédibilité en dégainant une carte de crédit à son effigie, Robin qui surestime son humour face aux joueurs de hockey (« Ils nous cherchent des crosses, vieux frère ! ») ainsi que Freeze en peignoir qui fait chanter ses hommes de main et qui est blindé de pizzas surgelées dans sa réserve.

    « Laissez-moi briser la glace : mon nom est Freeze, retenez-le bien, parce que je glace le sang et refroidis les humains ! »

    Poison Ivy abuse tellement de ses pouvoirs de séduction que c’en devient malaisant (« J’ai envie de couper le blé en herbe avec vous, ma pelouse est dans tous ses états ! ») et Bane, s’il est de base un personnage particulièrement stratégique et intelligent, se voit réduit à un gros bêta qui crie et défonce tout. Le seul point positif est son apparence qui est bien respectée avec les tuyaux qui rentrent dans ses muscles et son masque de catcheur. Il est d’ailleurs joué par le lutteur professionnel Jeep Swenson, décédé d’une crise cardiaque deux mois après la sortie du film. Tout cela est d’autant plus dommage que le film regorge de backgrounds sous-exploités ainsi que de thèmes sérieux comme la mort, le deuil et la trahison qui sont complètement renversés par le loufoque de la narration. Si les costumes des méchants arborent une certaine classe, Freeze est décrédibilisé par son manque total de sérieux et Poison Ivy est reléguée au rang d’une chaudasse qui impose une séduction à outrance au point de se faire recadrer par spoiler: Batgirl
    elle-même (« Ton attitude compromet l’image de la femme ! »).

    Car oui, c’est bel et bien spoiler: la nièce d’Alfred qui devient Batgirl, ce dernier connaissant vraisemblablement ses mensurations pour lui avoir conçu un costume,
    occasion inespérée pour le réalisateur d’exposer quelques plans sur ses seins, ses fesses et même des talons hauts au cas où elle ne ferait pas assez féminine. Apparition inattendue et bienvenue si seulement elle avait été exploitée à sa juste valeur. Elle reste ainsi plus intéressante aux côtés d’Alfred, qui obtient enfin une certaine importance en se montrant malade voire mourant, mais sans que le scénario aille plus loin à ce niveau-là. Le thème de la mort est également effleuré avec la femme de Freeze, pour laquelle il verse une larme qui se gèle aussitôt spoiler: lorsqu’il apprend son soi-disant décès
    , offrant ainsi une des rares scènes efficacement réalisées du film en plus de rendre le personnage plus humain, comme on pouvait déjà le voir lors de vidéos dévoilant leur passé. Le duo entre Freeze et Poison Ivy en ressort d’autant plus cohérent dans le sens où ils cultivent une haine farouche envers l’humanité au point de vouloir l’anéantir.

    « - Aucun signe du bonhomme de neige. - Il a peut-être fondu. - Non, il doit hiberner. »

    Un des points au plus grand potentiel est sans doute celui qui concerne la rivalité entre Batman et Robin, moment déterminant du comics qui aboutit à l’émancipation personnelle de ce dernier. Si son costume se rapproche d’ailleurs de celui de Nightwing, cette rivalité est profondément ridiculisée par l’ensorcellement de Poison Ivy, Batman ayant compris le piège de cette dernière mais Robin s’entêtant de penser qu’il est jaloux car elle préférerait l’embrasser lui. Tout ceci amène les deux héros à se chamailler bêtement pour régler leur psychodrame. Le film reste rentable, mais son succès commercial s’avère largement décevant. Tandis que la critique l’assassine de part en part, il reçoit neuf nominations aux Razzie Awards de 1998, ce qui amène Joel Schumacher à s’excuser près de vingt ans après sa sortie. L’écran final annonçait pourtant un troisième opus, finalement annulé par Warner vu le désastre causé. Prévu pour s’appeler Batman Triumphant, il devait faire intervenir Harley Quinn sous les traits de Courntey Love, ainsi que Nicolas Cage en Épouvantail, ce dernier créant des hallucinations du Joker en aspergeant Batman de son gaz. Schumacher aurait même aimé faire revenir tous les anciens acteurs pour le final, ce qui aurait demandé un budget pharaonique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 avril 2020
    Le Best nanar jamais réalisé ! La pire nullité que j'ai jamais vu ! La plus formidable insulte aux fans de comics qu'on est osé faire !! Un pur CHEF-D'OEUVRE dans le lamentable.... :(
    moket
    moket

    528 abonnés 4 332 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 février 2020
    Malgré un casting alléchant, ce Batman sombre dans la médiocrité et les acteurs dans la facilité. Dommage ! On ne sait pas très bien s'il faut le prendre au second degré (dans ce cas il serait plutôt réussi). Je pense qu'on peut s'en passer…
    bobbyfun
    bobbyfun

    40 abonnés 1 250 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 janvier 2020
    spoiler: Cela aurait pu même être finalement très drôle. Ce n'est même pas le cas. Affligeant de bout en bout.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 18 décembre 2019
    J’aime pas mais alors pas du tout Clooney dans le rôle du Batman, son interprétation est lamentable tout est à jeter.
    Le casting était prometteur mais les acteurs sont médiocres que dis-je, médiocre, quant aux dialogues ils sont rabaissants, les EFX sont ignobles, tout est pratiquement à jeter et c’est bien dommage car les décors sont vraiment bien fait (pas les costumes d’un ridicule incomparable) j’aime toutefois l’univers qui s’en dégage ça aurait pu être tellement mieux et c’est déjà beaucoup mieux que Batman Forever, déjà une avancée.
    Le film commence tambour battant pendant environ 10 minutes avant de plonger et de se noyer dans le néant absolu.
    Joel Schumacher s’est ridiculisé à vie avec ces 2 daubes cinématographiques.
    Difficile de rester objectif face à autant d’amateurisme à croire que le réalisateur était un enfant d’une dizaine d’années tout au plus. Navrant, même pas drôle. Une blague en soi. Merci pour rien et au revoir SCH. Plus jamais s’il vous plaît.
    Arthur Guezou
    Arthur Guezou

    159 abonnés 1 514 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 août 2019
    Le film est très mauvais avec des gags pourries et des effets spéciaux très nuls. Le scénario est toujours le même et c'est too much.
    RealPrime
    RealPrime

    84 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 avril 2019
    Dernier vieux Batman avant la grande trilogie, ce dernier est plutôt prenant pour ses costumes et ses décors. Seul problème, celui de Freez qui au bout d'un moment donne une impression de trop gros volume. La série "Goatham" le met dans un assemblage bien plus mince tout en restant impressionnant. Le choix de son interprète n'est réellement qu'un attrape touriste pour les foules en salle. Le duo à présent, 3ème version d'une bat-mobile très réussite, un costume définitivement réussit par rapport aux très vieux de Keaton, mais par contre, son interprète et un attrape touriste de plus. Poison Ivy est une couche supplémentaire dans un costume et des décors frôlant le ridicule. Le personnage de Bane est une rigolade dans son comportement comparer à celui de Nolan.
    Des lignes de script remplie de fioritures du début à la fin qui m'ont lasser et à un moment donné, fait sourire tellement elles étaient ridicules. Un jeu de Clooney et Schwarzenegger qui lasse et ne rend pas du tout hommage aux B.D. Robin lui arrive à être celui voulant se faire un nom au-dessus de l'autre et marche plutôt bien. Quant à Bat girl, elle est une vrai farce dans son jeu et pour sa seul apparition en film, est rate.
    Globalement, le visuel numérique est très bon pour cette année, les costumes presque réussi et les décors très grand mais quelque peu enfantin par moment. Une mise en scène très kitsch ou personne ne se prend au sérieux, un cinéaste qui à raté son film. Morale de l'histoire, 2 personnages de DC adapter pour la première fois avec une qualité radicalement opposée, des jeux kitsch et premiers costumes très vieillissant. Seul le remake ou suite de superman en 2006 ainsi que "Forever" en 95 sont à la hauteur. Vouloir placé des guets au casting est parfois une lourde erreur.
    CH1218
    CH1218

    201 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 octobre 2018
    Difficile de comprendre ce qui a poussé les pontes de la Warner à réitérer leur confiance à Joël Schumacher, ni aux acteurs d’avoir signer pour ça... D’ailleurs, George Clooney confessera de lui-même cette erreur de parcours, quelques années plus tard. Car oui, ce fluorescent « Batman & Robin » est encore plus inconsistant que « Batman Fore(n)ever » et sonne définitivement le glas de cette tétralogie inaugurée, 8 ans plus tôt, par Tim Burton.
    mx13
    mx13

    243 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 octobre 2018
    Qu’il est laid ce film : On passe du graphisme éblouissant de Burton, à des images rebutantes de Schumacher. En plus l’histoire est pas terrible, y’a même pas de tensions. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 2/5
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur

    17 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 septembre 2018
    Tout simplement la pire adaptation de la franchise, une vraie catastrophe que ce film mauvais et risible du début à la fin. Par où commencer pour montrer à quel point ce quatrième volet est dramatique ? Tout d’abord, dans le choix de son héros, puisque c’est l’excellent Georges Clooney, immense acteur qui s’y colle et enfile le costume A TETONS (c’te blague !) de la chauve souris. Très peu à son aise, on voit qu’il n’est pas dans son rôle et on ne peut que le comprendre, compte tenu de la faiblesse extrême du scénario et de l’intrigue. Pour accentuer encore un peu plus cette impression de film au rabais, les décors sont abominables au point de nous agresser la vue (attention, danger de finir aveugle), quand on pense à ce qu’avait créer Burton, on a l’impression d’être dans une série B de mauvais goût…avec un budget monstrueux par contre ! Comme dans les précédents épisodes, on a droit à des méchants à la mode : Schwarzenegger est excellent en Mr Freeze, son personnage est tellement ridicule qu’il en devient naturellement drôle (mais ce n’était pas l’effet escompté). Chacune de ses apparitions donne lieu à une réplique foireuse : « Prévision météo, ça va geler », « J’ai jeté un froid »… De tous ces films, c’est certainement dans celui-ci qu’il aura été le plus bavard, pour notre plus grand bonheur…mais aussi notre plus grand désespoir. Uma Thurman est Poison Ivy, mon personnage préféré avec le Joker et Double Face dans le comics. Malheureusement, son personnage n’est pas assez exploité alors que c’est sûrement elle qui s’en sort le mieux du casting. On a toujours également Robin (Chris O’donnel, hourra…), incroyable de médiocrité, il joue l’adolescent de base, mais la nouveauté c’est qu’il est superbement secondé par Alicia Silverstone, navrante d’inutilité en Batgirl… Avec Batman, ils enchainent les scènes affligeantes comme celles du saut depuis la fusée (magique), de la partie de hockey (mon dieu, mais on est où là ?) et passent leur temps à se disputer Poison Ivy…on est vraiment très loin de la vision noire et torturée du premier film ! Rien ne tient la route, rien n’est crédible donc, et on a qu’une seule envie, c’est que le massacre se termine.
    A fuir de toute urgence…
    Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
    Ciné-o-Max
    Ciné-o-Max

    64 abonnés 307 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 août 2018
    "Batman & Robin est un mauvais film, il n'y a rien d'autre à dire... Il n'y a pas grand-chose à sauver à part le rythme et la musique. En dehors de ça, c'est une catastrophe... l'intrigue est mauvaise, les personnages sont mal écrits, le casting essaie de se débrouiller comme il peut, et de manière générale, le film est juste ridicule. Après Batman Forever, Batman & Robin continue donc de décevoir, il faudrait un miracle pour que la franchise puisse se relever après ça..."

    Critique complète sur cineomax.over-blog.com
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 juillet 2018
    Alors cet opus de Batman aura beaucoup mais alors beaucoup fait couler d'ancre ! Considéré comme le plus mauvais et comme un navet, je veux donner mon avis dessus :
    Sorti en 1997 et suite de trois opus vraiment agréables (en particulier ceux de Tim Burton), "Batman et Robin" est un film de Joel Schumacher, et avec un sacré panel d'acteurs : George Clooney, Arnold Schwarzenneger, Uma Thurman,Chris O Donnell, Michael Gough et Alicia Silverstone.
    Niveau scénario : C'est plutôt correct dans l'ensemble avec l'opposition Batman et Robin contre Freeze et Poison Ivy, deux méchants principaux que j'apprécie donc c'est un plus !
    Niveau jeu d'acteur : Schwarzy est impeccable toujours : excellent jeu, charisme et prestance ; Uma Thurman, actrice dont les films me plaisent souvent, s'en sort très bien dans son rôle de Poison Ivy tout comme O'Donnell et Michael Gough dans les rôles de Robin et d'Alfred.
    Venons en à George Clooney : d'aventure bon acteur, je le trouve moins convaincant avec son interprétation de Batman ou il manque la prestance obscure du personnage de Bob Kane en comparaison avec Val Kilmer, Michael Keaton ou Adam West qui s'étaient bien appropriés l'homme chauve-souris (Adam West rajoutait une touche d'humour dans la série burlesque de 1966).
    Alicia Silverstone n’apparaît qu'au milieu du film mais les scènes ou elle joue passent bien.
    Bilan : Malgré un scénario sympa, le jeu de Clooney est inférieur à ceux de ses prédécesseurs mais le film n'en est pas pour autant le gros navet que certains décrivent, il est juste un ton en dessous des autres volets.
    Thomas D.
    Thomas D.

    2 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 juillet 2018
    Un bon film, mais je demeure étonné par l'acharnement suscité à son encontre : Suite à un accident de laboratoire, le scientifique Victor Fries est devenu un homme incapable de survivre à des températures supérieures à zéro degré. spoiler: Il cherchait en effet à mettre au point un traitement médical contre la maladie de MacGregor contractée par sa femme. Pour trouver les fonds nécessaires à son traitement, il menace de déclencher une vague de froid sur la ville de Gotham City.
    Dans le même temps, il s’allie à Poison Ivy, femme transformée en déesse des plantes spoiler: qui veut redonner la Terre aux plantes
    . A eux s’ajoute Bane, un super-combattant spoiler: issu d’une expérience réalisée par l’armée américaine qui prévoyait d’en faire une armée entière.
    Mais la ville est sous la protection de Batman et de son jeune associé Robin. spoiler: Dans leur lutte, ils seront aidés par Batgirl, la petite fille d’Alfred le majordome de Bruce Wayne.
    Franchement, non, non et non ! Pourquoi tant de haine : certes il y a des détails de mauvais goût, comme les gros plans de culs et de tétons, le fait que Clooney s'en fiche royalement de son personnage, les effets spéciaux bidons, les faux raccords mais il y a d'autres points positifs : les gadgets de Batman, les véhicules des méchants qui ne sont pas de simples camions et un jeu d'acteur (hormis George) plutôt bon, une BO qui reste dans la mémoire, des méchants intéressants. Triste destin pour ce film...
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