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Un visiteur
4,5
Publiée le 31 mars 2014
Excellent! Vincent Cassel colle parfaitement avec son personnage,je n'aurais pas imaginé quelqu'un d'autre que lui pour le faire,ce rôle était fait pour s Mesrine,un homme violent,sincère,qui voulait la gloire. Vincent Cassel retransmet parfaitement les émotions sur son visage,telles que la haine,la joie,le dégoût,et la tristesse et arrive à nous les faire acteurs sont excellents et donc plus particulièrement Vincent Cassel,un véritable monstre sacré du cinéma français. Quelques beaux plans de caméra. Ce qui m'a marqué c'est aussi l'ambiance bistro et vieilles voitures des 60 qui est parfaitement reconstituée. Le film est psychologiquement dur,surtout le début du séjour en prison de Mesrine où il est malmené et traité comme un animal. Et la violence dont faisait acte Mesrine n'est pas mal non plus. Sachant que c'est une histoire vraie,le tout est encore plus impressionnant. Pour conclure,un excellent biopic qui nous plonge dans la folie du plus grand des gangsters français,dans les années 60,nous racontant sa vie,sa famille,et sa carrière. Le tout sur fond de violence physique comme psychologique.
Bon film même si il est dure avoir a des moment. vincent cassel joue tres bien le rôle de jack mesrine l'histoire est tres intense et sa qu'on aime voir dans ce film
Comme quoi, en France aussi on est capable de faire de très bon Thriller quand on fait du bon boulot. Conseillé par un ami d'allociné (Syoul, si tu lis cette critique ^^) et passant sur M6, j'ais enfin vu le premier film sur le plu terrifiant gangster français des années 70 : Jacques Mesrine, monstrueusement et terriblement incarné ici par un Vincent Cassel bluffant et dangereux à souhait. Alors Vincent Cassel n'est pas le seul à avoir donné vie à l'autobiographie de Jacques Mesrine, Gérard Depardieu aussi était excellent dans le rôle d'un parrain français en fin de carrière, Gilles Lelouche et Cécile de France ajoutent aussi une bonne couche à ce film. Pour l'histoire, il y a quand même pas mal de scène surprenante et attrayantes spoiler: comme le traitement réservé à Mesrine pendant son incarcération au Québec, et sur les conditions de leur emprisonnement . L'ouverture annonce la couleur très rapidement spoiler: avec Mesrine qui a prit part à la guerre d'Algérie et abat même un prisonnier devant sa soeur pour entrer dans un univers sombre et malsain, parce que le personnage de Mesrine est malsain mais pas stupide pour un sous, et ça se voit durant son parcours dans le film. Les scènes d'action, bon elles ne sont pas à la hauteur des grands films de mafieux et gangsters qu'on a pu voir dans le passé mais au moins elles ont le mérite d'être bien faite et d'apporter du plus au film contrairement à d'autres ou la réalisation laisserait à désirer Le film est bien filmé, on s'ennui pas vraiment et la fin du film annonce déjà une suite tout aussi sombre. J'aurais voulu voir le second film dans la foulée pendant la même soirée mais ce sera pour une autre fois, mais étant donné que ce premier volet est très bon, je me fais aucun souci pour la suite.
Un biopic brillant et spectaculaire qui s’appuie sur un scénario fluide et sur un casting en or, notamment l’interprétation puissante de Vincent Cassel. Un grand film de gangsters qui ne laisse pas le temps de respirer.
Captivé tout le long. Voilà ce que l'on peut appeler biopic. On s'y croirait. Ce film nous porte une certaine admiration pour Mesrine, son histoire excellemment bien racontée au travers d'un film. Même si il y a des rajouts et que la véritable histoire ne s'est pas passée comme ça, on allait pas se priver des supers scènes que nous propose cette première partie. Vincent Cassel au top, la grosse surprise, la grande force du film. Cassel en Mesrine c'est juste super ! L'esthétique France années 60-70 est là, ambiance légèrement rock n roll, des acteurs ua top, des dialogues supers, des scènes d'action et de drame, ce film a tout pour plaire. J'ai été captivé par les actions de Mesrine, le respect le plus total, j'adhère. On aurait pu entendre la chanson le Mitard de Trust mais ce n'est pas le cas, pourquoi ? Super biopic dans un genre policier vraiment !
Très bon polar français. Le biopic d'un gangster est toujours délicat , surtout quand il a l'aura de Mesrine et je trouve que cette première partie réussi a trouver une certaine justesse. Elle le montre tantôt héroïque et touchant , tantôt violent et megalo - en se montrant le plus neutre possible. La mise en scène est plutôt classe avec une direction photo sombre qui tranche avec la surexposition habituelle des couleurs dans les films français, la mise en scène est solide particulièrement dans les passage dans la prison Quebecoise ou l'aspect malsain vous colle , Votre siege. Un mot enfin sur le casting - dans l'ensemble bon et culte Cassel lellouche depardieu defrance etc. De ci de la des regres persistent .. La relation père fils pas très approfondies les raisons de son départ dans la vie mafieuse peu explorée , et les moments tristes parachutées avec soudainement une musique triste , ca colle faux et cliche - et dommage au vu de la mise en scène générale. Mais les bemols n'empêche pas le kiff du film. Qui donne un souffle au cinema francais a l'image des films d'udiard ou d'olivier Marchall.
Très bon travail de reconstitution et de mise en scène pour ce biopic du célèbre bandit. Un film qui fait honneur au cinéma français, en nous plongeant au coeur du personnage Mesrine, de son parcours, de ses fréquentations, et de ses aspirations. Un premier volet qui pose les bases, et nous injecte toute la tension et la violence de l'histoire de Jacques Mesrine. Un Jacques Mesrine d'ailleurs sublimé par un Vincent Cassel au sommet de son art, qui était vraiment la bonne personne pour interpréter le caractère trempé du "héros". Grande prestation.
Mesrine l'instinct de mort est une bonne réalisation française, qui manque malheureusement d’une petite touche d’originalité pour qu’on puisse le classer dans les très bons films. 3,5/5
Ce diptyque sur la vie de Mesrine m'a totalement convaincu. Ces deux films représentent exactement ce que le cinéma fait de mieux et très certainement là où il n'a rien à envier à Hollywood, à savoir le polar. Cette première partie est extrêmement bien rythmé et il se passe constamment quelque chose, de la première à la dernière seconde. Je trouve cette première partie légèrement supérieure à la seconde, essentiellement grâce à un casting plus consistant et plus intéressant (avec surtout Gérard Depardieu, Gilles Lellouche et Cécile de France notamment). Le vie de Mesrine est passionnante avec ses voyages à travers le monde et tout ses coups. Cassel, que je n'apprécie pas particulièrement, est ici excellent.
Basé sur un fait divers, ce biopic possède un excellent scénario, une remarquable reconstitution des années 60, une intrigue dense, sans aucun temps mort et est interprété par un éblouissant Vincent Cassel parmi un casting en or. Une réussite !
Quel retour brillant pour le réalisateur JF Richet! Belle implication de Vincent Cassel. L'histoire à fort potentiel est surpassé par ce duo. La partie2 n'est pas aussi intéressante que la première mais il faut voir l'ensemble
On y est enfin arrivés ! Quand je dis « on » je parle du cinéma français, si peu prompt à se retourner sur son histoire contemporaine. Il aura donc fallu prés de trente ans après la mort de Jacques Mesrine, gangster au parcours ô combien romanesque, pour qu’une œuvre cinématographique s’attèle à raconter son histoire (passons sous silence le navrant Mesrine d’André Génovès sorti en 1984). Rien que pour cette intention-là le film de Jean-François Richet, épisode un d’un dyptique, doit déjà une salutation de principe. À présent qu’en est-il des qualités formelles ? D’abord reconnaissons-lui une efficacité et un rythme soutenu jamais démenti pendant deux heures. Les frasques du personnage étant innombrables il a bien fallu faire des coupes par-ci par là et le réalisateur ne s’en cache pas, utilisant une succession d’ellipses pour nous projeter en avant à vitesse grand V. De son engagement en Algérie pendant la guerre coloniale à son évasion d’un pénitencier au Canada quinze ans plus tard, l’itinéraire de Mesrine est rempli à ras bord de faits divers (plus ou moins avérés) qu’il a fallu parcellisés pour n’en garder que l’essence. Or cet exercice périlleux est en grande partie réussi grâce à un fil conducteur formel qui est la propre autobiographie du bandit. Mais là où le bât blesse, et où on peut se poser des questions, c’est sur la manière dont un public totalement néophyte de l’histoire du gangster peut ressentir les différentes secousses qu’on lui inflige. Au fil de la vision, on se surprend à se dire « Ah ok, là c’est sa rencontre avec sa deuxième femme en Espagne », « Là c’est son séjour au QHS canadien », mais quid d’un public non-averti (ni lecteur de son livre ni fan de Faites entrer l’accusé) ? On peut regretter l’absence d’une voix off reliant les contextes ou de transitions un peu plus fines. À ce jeu-là, Vincent Cassel tire son épingle du jeu, sans non plus réaliser une performance d’actor’s studio comme on l’a beaucoup lu dans les critiques spécialisées. En revanche les seconds rôles en pâtissent, que ce soient ses différentes femmes ou ses équipiers, la palme de l’aberration revenant à un Gérard Depardieu dont on a l’impression qu’il n’est là que pour le rendre le film encore plus bancable. Une œuvre nécessaire donc, mais qu’on ne peut regarder sans tiquer sur ses imperfections.