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fiction
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5,0
Publiée le 14 avril 2021
Un très bon biopic film de gangsters de Jean-François Richet avec Vincent Cassel qui a le role principal qui a le role de Mesrine le gangster le plus réputé en France qui sort de la guerre d' Algérie et qui à commencer comme Gerard Depardieu et on voit vers la fin qui commence à être braqueur de banques. Alors j' y viens pour les second role je trouve que Gerard Depardieu j' aime bien cet acteur je ne dis pas le contraire mais la dans son role de gangster en quelque sorte le patron de Mesrine et le bon ami de Gilles Lellouche c' est très rare que je le vois en gangster je crois même bien que ç' est la première fois et faut croire qu' il aime bien les films de gangsters parce que moi je n' aurait jamais imaginer GERARD DEPARDIEU JOUE DANS UN MMMMMMMMMMMMMMMESRINE avec un grand M mais il faut croire que quand Jean-Francois Richet l' as convoqué et lui a proposé de joué dans son film il a du dire oui j suis partant. Nous en avons fini avec Gerard Depardieu maintenant passons à Gilles Lellouche. Quand j' ai regardé Mesrine l' instinct de mort j' avais trouvé Gilles Lellouche assez bien comme même dans le role du vieux poto de Mesrine mais c' est comme Gerard Depardieu jamais j' aurais imaginé GILLES LE LLOUCHE JOU E DANS UN MMMMMMMMMMMESRINE mais d' ailleurs ça lui va trés bien un role de gangster je n' aurais jamais imaginé Gilles Lellouche joué un gangster et jamais j' aurais cru que quand Jean-Francois Richet aurait propsé à Gilles Lellouche de joué dans Mesrine il aurait dit oui je suis partant. Et on va finir sur Cécile De-France je trouve quelle n' est comme même pas trop mal bizzare qu' elle est accepté de joué dans Mesrine enfin bref que c' est un très bon film de gangster ou on ne décroche une demi seconde a voir absolument et un dernier des derniers trucs que l' avertissement: des scènes des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs il pourrait carrement interdit aux moins de 10 ans voila en tout cas c' est un film a voir absolument.
C'est fou comment un film peut nous émerveiller étant ado et juste nous déprimer étant adulte . N'ayant plus vu ce film depuis mon adolescence et ne sachant pas quoi regarder je me dis regardons le il était génial . Et mon dieu quelle erreur ! Je crois n'avoir jamais vu un Cassel surjouer autant . L'histoire de Mesrine est folle et pourrait permettre a un film de durer 3h sans aucun soucis même pour une 1ere partie et pourtant ce film dure 2h et nous fais dire qu'il y a au moins 1h qui ne sert strictement a rien ! Explorations de scènes inutiles, scènes intéressantes pas assez exploitées bref la totale ! Ca tente d'être une pale copie des films de gangsters de 80/90 tout en y mêlant un relent de film français a vomir . Bref déception totale
Il est difficile de scinder une critique en deux quand un diptyque a une telle homogénéité Le premier épisode nous raconte le retour de la guerre d'Algérie du jeune Jacques Mesrine et ses débuts dans le grand banditisme, aux côtés de Guido (G.Depardieu) et de Paul (Gilles Lelouche) Le scénario de ce biopic est passionnant, la reconstitution des années 70 minutieuse et tous les acteurs au diapason de Vincent Cassel qui nous offre une interprétation magistrale, pleine de charisme.
Le film suit le retour en France de Jacques Mesrine puis son immersion dans le milieu du banditisme qui le contraint à l’exil au Canada où il poursuit sa vie délictueuse. Le personnage de Mesrine est remarquablement joué par un Vincent Cassel froid, immoral, ultra violent. La vie sentimentale et criminelle défile toutefois un peu vite dans ce film qui passe d’un instant de la vie de Mesrine à un autre sans parfois les articuler correctement un lien narratif.
Dès la première partie le ton est donné. Ce film est sublime. Cassel dans le rôle de Mesrine ca colle parfaitement . Rien est à jeter Depardieu, Lellouche sont au top niveau . Le passage dans le QHS est d'une haute volée. chapeau .
MESRINE (L' INSTINCT DE LA MORT)(L'ENNEMI PUBLIC N°1) (2008): Un simple citoyen français choisissant d'esquiver une vie sociale ordinaire pour se construire sa propre liberté. Son métier: gangster. Ses outilles: les armes à feux. D'un égo démesuré, Jacques Mesrine ne se laissera que très rarement diriger, la violence qui l'habitera fera de lui l'ennemi public n°1. Une autobiographie riche en évènements, brillamment interprétée par Vincent Cassel, un Robert de Niro à la française, copiant à la perfection toutes les facettes de ce tueur né. Dommage, malgré cette vie trépidante, ce personnage certes impressionnant, ne m'a pas passionné, pour cause, une arrogance disproportionnée, un soi-disant gentleman qui pour moi n'aura que la classe d'un mauvais petit canard. Bref! Si c'était ça l'individu, un assassin sans scrupule, un narcissique, un passionné de perruques, une carrure plus en B qu'en V. La réalisation: Une bande-son qui rythmera sans grande ambition, un rendu abouti pour une époque minutieusement respectée, une mise en scène dépourvue de grand spectacle, mais loin d'être négligeable. Deux films très complets, à voir si vous désirez connaitre et approfondir vos connaissances sur l'une des figures la plus connue du grand banditisme français des années 60/70
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5,0
Publiée le 29 octobre 2020
Chaque pays a ses gangsters légendaires. Au Royaume-Uni, ce sont les Kray Twins, en Italie, c'est n'importe qui dans la mafia sicilienne, en Amérique il y a une liste tant que votre bras peuvent soulever. Mais peu de gens en dehors de la France ont entendu parler de Jacques Mesrine. Basé sur l'histoire vraie du gangster Jacques Mesrine. Mesrine présente l'ascension et la chute du criminel le plus notoire de France à travers une vitrine en deux parties où une série de braquages, d'échappées de prison et d'enlèvements nous donnent un aperçu de L'homme aux 1000 visages. Le premier épisode crée le fondement du personnage de Jacques Mesrine de sa jeunesse en tant que soldat dévoué servant dans la guerre d'Algérie à sa séduction par le néon glamour des sixties parisiennes et l'argent facile qu'il représente. Encadré par Guido le beau et charmant Mesrine gravit rapidement les échelons du crime et s'enfuit au Canada avec son amante Jeanne après avoir réussi un braquage audacieux. Cependant il ne peut pas résister à la tentation d'un gros paiement et est attiré hors de sa cachette et propulsé vers la notoriété internationale. Je suis une ventouse pour un film de gangsters. Sans aucun doute c'est l'un de mes films préférés et Mesrine : L'Instinct de mort coche toutes les cases dont j'ai besoin dans un film comme celui-ci. L'action est fantastique, le jeu des acteurs est totalement crédible et la personnalité qui était Jacques Mesrine rend cela très regardable. Je dois avouer que Vincent Cassel donne une performance fantastique il est peu probable que je l'oublie jamais...
Les 2 films Mesrine narrent une grande partie de la vie du célèbre gangster des années 60/70 alias Jacques Mesrine. Le 1er film montre les débuts du banditisme de cet homme à la sortie de l'armée après la guerre d'Algérie. La tension monte crescendo et certains passages de sa vie sont assez impressionnants. Le film tient en haleine grâce avant tout à la prestation de Vincent Cassel qui tient ici probablement le meilleur rôle de sa carrière. Du début à la fin, le film montrera la montée en puissance de ce criminel dont l'honneur représente à ses yeux une grande importance. Bref : un film qui nous fait ressortir un instinct... de vie.
Première moitié du diptyque en demi-teinte, on sent que la production se donne les moyens de ses ambitions mais le résultat est finalement assez moyen. Que ce soient les situations, les dialogues ou la réalisation, on ne peut pas dire que le film fasse dans la finesse, tout y est un peu bourrin et cliché à l'image de Mesrine, on avance frontale ment et avec de gros sabots sur toutes les thématiques et ressorts. Les événements et séquences s'enchaînent dans une certaine desarticulation accentuée par un rythme très haché du fait des nombreuses elipses successives. Cassel sauve les meubles tant bien que mal d'un scénario qui manque d'envergure.
Une excellente première partie de ce biopic sur Jacques Mesrine, maitrisé par le très charismatique Vincent Cassel. Franchement, ce rôle lui va comme un gant : arrogant, sûr de lui, grande gueule, violent. L’ambiance des années 60’ est fidèlement reproduite et on s’y croit vraiment. Certaines scènes sont difficiles (spoiler: l’assassinat au fond du jardin de ses parents à l’arme blanche ; l’énorme dispute avec sa femme Sofia, pistolet dans la bouche… ). Après, c’est certainement un peu enjolivé par moments mais il n’y a pas grande chose à jeter. Les seconds rôles sont également très bien interprétés : j’ai même apprécié Depardieu dans ce rôle. Sûrement un des meilleurs films français de ces dernières années. Vivement la suite !
Après avoir été le parrain de Spaggiari dans Sans arme, ni haine, ni violence chez Rouve, Depardieu se retrouve à parrainer Mesrine chez Richet – cette fois avec armes, haine & violence. Un sacré déferlement des trois, même.
L’ambitieux film en deux parties a vu le jour sous cette forme parce qu’ “on” avait beaucoup à dire, & ce n’est pas le biopic criminel qu’on peut en attendre : Cassel y est cassant, Lellouche y porte bien son nom & le scénario veut que l’on nage dans leurs plus poisseux desseins, quitte à piétiner la part de rêve (notamment celui de la richesse) que le cinéma recherche normalement dans le genre criminel. Le problème, c’est qu’il ne cherche pas forcément autre chose à la place.
Les acteurs jouent tous sur la même longueur d’onde, comme si les intonations racailleuses & rocailleuses de Cassel les avaient ensorcelés & forcés à le suivre dans la même haineuse monotonie. Uniforme dans sa perception du crime, nous propulsant dans un état d’esprit où la réinsertion criminelle fait grincer d’ironie & où la colère devient quasiment un fluide vital, l’œuvre serait dense & solide si elle ne s’adressait pas uniquement à ceux qui savent ce qu’ils vont voir.
Victime du gros biais du all-in publicitaire, L’Instinct de Mort pourrait avoir été dimensionné uniquement pour la sortie en salle tant il est dépourvu de mise dans l’ambiance. Celle-ci mériterait de précéder le visionnage tout comme on le fait naturellement en ALLANT voir un film, ce qu’on ne fait pas du tout dans son home cinema par exemple. De plus, le format mini-série n’est pas non plus prévu pour la télévision.
Est-ce que la narration peut se servir de cette particularité comme excuse ? Difficile. Cinéma ou non, les personnages vont & viennent trop vite, les évènements & les lieux se succèdent littéralement comme si le scénario était encore un brouillon, & parfois ils sont si compressés par le rythme qu’on ne peut s’empêcher de rire au ridicule du raccourci malgré qu’il se produit des drames, souvent même significatifs avec du recul.
C’est dommage pour l’extraordinaire mise en scène, une prose lourde mais discrète qui sait s’adapter, tout en restant fidèle à elle-même, aussi bien à la vie du quotidien qu’à la violence, dynamique partout en proportions mesurées, technique mais pas académique ni démonstrative. Trop préparé peut-être, le film réussit (du moins avec moi) là où ce n’était pas prévu & là où il aurait mérité un petit coup de pouce – le reste, c’est juste… un sacré déferlement.
Le film de Jean-François Richet est tout à la fois menaçant et excitant (...) Vincent Cassel écrase ici définitivement la concurrence par son amplitude de jeu, son charisme hollywoodien et son énergie féroce (...)