La 1ère partie représentant la biographie de Mesrine est vraiment superbe ! Vincent Cassel est parfait dans ce rôle, le scénario est époustouflant, le décor et la musique est sublime...
Un exellent film, français qui plus est ! et oui, c'est rare...On retrouve enfin Gerard Depardieu dans un rôle qui le met en valeur ! Concernant Vincent Cassel, c'est une metamorphose doublée d'une interpretation ultra efficace ! Vivement la suite...
Une totale réussite de bout en bout !! La réalisation de JF Richet est juste parfaite, avec des plans fabuleux, de supers décors et un rythme qui nous scotche durant 2h, le tout aidé par une super BO qui rythme le film !! Le casting est incroyable ( Depardieu, Lellouches, C. De France , etc ...) !! Mais la palme revient bien évidemment à Vincent Cassel !! Il est incroyable, une justesse, un jeu parfait, une prestance inouïe !! Il crève l'écran et s'imprègne parfaitement du personnage !! A coup sûr le rôle de sa vie ......
un film vraiment époustouflant. il nous montre une partie de l'histoire de Mesrine inconnu du grand publique. Vincent Cassel joue avec un talent extraordinaire. vraiment tout est bon dans se film, il est parfait
Allé on écarte d'entrée les points positifs: une bande originale convaincante, un Vincent Cassel pas trop mauvais, pas mal d'action. Voilà, ça s'est fait et c'est très léger. Le lourd se situe du côte des points faibles: Depardieu à côté de la plaque, pareil pour les deux amis de Mesrine, dont on ne connait pas les noms d'ailleurs, et idem pour sa complice. De plus, on ne comprend rien les 3/4 du temps aux paroles des personnages, voire tout le temps avec les québécois. A croire que les acteurs français ne savent pas articuler. Et surtout, le pire, le scénario et la mise en scène sont d'une nullité affligeante. Le scénario se résume en plusieurs bouts de la vie de Mesrine mis les uns à la suite des autres, sans aucun fil conducteur, avec parfois des ellipses de plus de 4 ans (oui c'est dur à croire). La psychologie des personnages, leurs émotions, rien n'est retranscrit. C'est fade, sans saveur, parfois risible avec l'attaque de la prison à la Rambo (sans Stallone). Le réalisateur a voulu faire un vrai film de gangster, à la Scarface, sauf qu'encore une fois le cinéma français est incapable de faire de bons films en dehors des comédies. Celui-ci ne déroge pas à la règle.
La France montre enfin qu'elle peut faire des films a la hauteur des films américains! Suspense, action et performances hors normes font de cet Mesrine, l'un des plus grands films d'action français. Vincent Cassel est grandiose
Grosse claque que ce film français. Noir, sans complaisance direct et filmé avec maestria. Pas de temps mort, un récit ramassé qui évite les pièges de la romance. Le personnage est hors norme, chien-fou, indomptable, instinctif, habité par une rage et une détermination incroyablement rendue par Vincent Cassel. Il EST Mesrine / impressionnant, glaçant et captivant dans son parcours de gangster. Une composition magistrale qui e hisse au sommet des interprétations que j'ai pu voir jusqu'à présent. Ce film n'est pas un film de genre , c'est une tragédie humaine qui a pour contexte l'univers violent du crime et de la bestialité. On est scotché, sidéré, effrayé. Enorme
« Mesrine : L’instinct de mort », réalisé par Jean-François Richet, est avant tout un solide film noir sur l’un des plus célèbres criminels que la France ait jamais connu. La mise en scène est dynamique sur un scénario maitrisé, et suit Jacques Mesrine de son engagement en Algérie jusqu’à son ascension dans le grand banditisme qui lui donnera le titre d’ennemi public numéro 1. Le réalisateur réussit à montrer les différentes facettes de Mesrine, de son côté sauvage et brutal, à son côté fantasque notamment devant les médias, en passant par ses relations avec les femmes, sans pour autant en faire un récit panégyrique, ce qui pouvait être le risque avec ce genre de biopic. Le film doit également beaucoup à l’interprétation magistrale de Vincent Cassel, parfait dans le rôle de Mesrine. La belle reconstitution des années 60-début 70 est également à souligner, ainsi que l’utilisation du « split screen » par moments, rappelant ainsi certaines productions des seventies qui utilisaient cet effet. Un film efficace et dense qui sera suivit d’une suite, Mesrine : L’ennemi public numéro 1 », relatant la dernière partie de la vie de Jacques Mesrine.