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(...) le riche talent de Benoît Poelvoorde s'accorde parfaitement à la palette bizarre et nuancée de Cohen pour composer une comédie étonnante et attachante.
Daniel Cohen semble lui-même entre deux mondes : d'un côté un comique à gros budget avec un goût visuel pas très sûr (un décor à la Mad Max), de l'autre une attention au parcours de son personnage très au-dessus de la moyenne. Les glissements de monde et les allers et retours épuisants font davantage de l'oeil au vertige mental du manga, Satoshi Kon en tête, qu'à l'ordinaire de la comédie télévisée trônant au box-office.
(...) Au final, Daniel Cohen signe une comédie très démarquée des "Visiteurs", et même nettement plus subtile et ingénieuse. Touchant et efficace à la fois, Poelvoorde dégage une énergie maîtrisée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
En voulant jouer sur deux tableaux, le fantastique et le sentimental, le réalisateur a du mal à relier ses "deux mondes" et, du coup, son film a le Q.I entre deux chaises.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'idée du scénario est épatante et fonctionne plutôt bien avant de s'étioler, faute de renouvellement. Pas de quoi bouder son plaisir, Poelvoorde, lui, tient la distance (...)
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
(...) Ce récit initiatique, accessible dès 10 ans, repose sur le talent comique de son interprète principal. On n'imagine personne d'autre à sa place, tant son numéro éclipse un scénario parfois répétitif.
Le film oscille perpétuellement entre une loufoquerie bon teint et une volonté inavouée de raconter une histoire sérieuse. (...) Les deux mondes se transforme en téléfilm prêt à être diffusé un lundi soir sur à la télé...
Il se démène, Benoît Poelvoorde. (...) Mais son énergie n'est guère communicative pour un scénario qui cherche toujours sa logique, son rythme, son fondement.
Gros machin tourné en Afrique du Sud avec de l'argent, une star et des effets spéciaux à foison, Les deux mondes relance le débat sur la légitimité de certains noms derrière la caméra.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
On rit sans retenue (...).
Le Figaroscope
(...) le riche talent de Benoît Poelvoorde s'accorde parfaitement à la palette bizarre et nuancée de Cohen pour composer une comédie étonnante et attachante.
Libération
(...) Une fantaisie d'aventure remarquable.
Brazil
(...) Poelvoorde est juste énorme dans le rôle et un soin tout particulier a été apporté aux décors, aux costumes et (...) aux effets spéciaux.
Cahiers du Cinéma
Daniel Cohen semble lui-même entre deux mondes : d'un côté un comique à gros budget avec un goût visuel pas très sûr (un décor à la Mad Max), de l'autre une attention au parcours de son personnage très au-dessus de la moyenne. Les glissements de monde et les allers et retours épuisants font davantage de l'oeil au vertige mental du manga, Satoshi Kon en tête, qu'à l'ordinaire de la comédie télévisée trônant au box-office.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Principe amusant, transcendé par l'abattage comique de Benoît Poelvoorde qui s'affirme un peu comme un nouveau Pierre Richard.
Le Parisien
(...) Au final, Daniel Cohen signe une comédie très démarquée des "Visiteurs", et même nettement plus subtile et ingénieuse. Touchant et efficace à la fois, Poelvoorde dégage une énergie maîtrisée.
Les Inrockuptibles
Sous le clash des genres, Les Deux Mondes cache une proposition futée de superhéros frenchy (...).
Paris Match
En voulant jouer sur deux tableaux, le fantastique et le sentimental, le réalisateur a du mal à relier ses "deux mondes" et, du coup, son film a le Q.I entre deux chaises.
Télé 7 Jours
L'idée du scénario est épatante et fonctionne plutôt bien avant de s'étioler, faute de renouvellement. Pas de quoi bouder son plaisir, Poelvoorde, lui, tient la distance (...)
TéléCinéObs
Il n'est pas interdit de voir derrière la bouffonnerie ambiante et le cabotinage de Benoît Poelvoorde une amorce de satire sur l'exercice du pouvoir.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
(...) Ce récit initiatique, accessible dès 10 ans, repose sur le talent comique de son interprète principal. On n'imagine personne d'autre à sa place, tant son numéro éclipse un scénario parfois répétitif.
Le Monde
On sort du film avec une impression de gâchis, et de sérieux doutes quant à cette tradition française de comédies hors du temps.
MCinéma.com
Le film oscille perpétuellement entre une loufoquerie bon teint et une volonté inavouée de raconter une histoire sérieuse. (...) Les deux mondes se transforme en téléfilm prêt à être diffusé un lundi soir sur à la télé...
Ouest France
Il se démène, Benoît Poelvoorde. (...) Mais son énergie n'est guère communicative pour un scénario qui cherche toujours sa logique, son rythme, son fondement.
Première
(...) Les situations et les gags n'arrachent que deux ou trois (vagues) sourires. Une bonne idée gâchée.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Ca ressemble fort au jeu Civilisation, et c'est aussi passionnant que quand on regarde quelqu'un d'autre jouer...
aVoir-aLire.com
Gros machin tourné en Afrique du Sud avec de l'argent, une star et des effets spéciaux à foison, Les deux mondes relance le débat sur la légitimité de certains noms derrière la caméra.