AlloCiné
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Votre avis sur P.S. I Love You ?
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Un bon gros navet. Tout est trafiqué: les dialogues, le romantisme, les sentiments. C'est complétement raté. Dans la même veine, vaut mieux voir "Le Zébre" avec Caroline Cellier et Thierry Lhermitte, il est franchement mieux réussi.
Ce film est une vraie calamité. C'est long, c'est chiant, c'est soporifique, c'est dégoulinant et larmoyant à en donner la nausée.C'est un très mauvais mélo. Cette chose réalise tout de même l'exploit de rendre Gerard Butler énervant et Hilary Swank agaçante. Avec ce film, 2 heures, qu'est ce que c'est long!!!!!!!!! 0/5
Beaucoup trop romantique, irréaliste et à l’eau de rose pour moi
Ca pue la morale à deux balles et ne m’apporte absolument rien
Ca pue la morale à deux balles et ne m’apporte absolument rien
Une comédie romantique gentillette sans originalité.L'idéé des lettres du défunt était pourtant intérèssante mais c'est mal exploité.On y croit pas, on sourit à peine pour une comédie. Au bout de quarante minutes vous sombrerez dans un ennui profond.
Un film nul, inutile, très mal joué, très mal réalisé. Quel déception après le fabuleux Ecrire pour exister. Un film rempli de clichés.
Dès son titre (pourtant accrocheur) « Ps : I Love You » annonce la couleur. On sait d'emblée qu'il s'agit d'un film romantique à l'eau de rose. Néanmoins, on ne s'attend pas à quelque chose d'aussi niais, mielleux et prévisible. En effet, le synopsis nous annonce la mort d'un mari Jerry dans un couple d'amoureux qui plongera Holly sa femme en dépression (déjà notons la subtilité des prénoms, on se croirait dans un cartoon), cette dernière anéantie s'en sortira grâce à une série de 10 lettres rédigées par ce dernier avant sa mort afin que sa femme reprenne goût à la vie sans lui. Eh bien voilà tout est dit, vous n'avez qu'à lire ces quelques lignes et vous n'aurez même pas besoin de regarder ce pseudo film épistolaire, tire larme qui ne fait qu'enchaîner des dialogues moralisateurs à souhait, des flash back trop nombreux qui se soldent par des prises de conscience sur l'importance d 'être en vie et d'en profiter à fond...
Certes l'intention est bonne mais il est regrettable qu'il n'y ait eu aucune prise de risque de la part du réalisateur qui ne fait qu'enchaîner des plans séquences composés de gros plans et de fondus enchainés. Ainsi, le film paraît interminable et ce dès la scène d'ouverture de la dispute du couple dans l'appartement qui n'en finit plus. On aurait pu largement remonter le film dans l'ensemble et lui ôter plus d'une heure de rush inutiles ! De plus, excepté quelques répliques pertinentes, l'ensemble des dialogue est assez catastrophique. A se demander pourquoi Hilary Swank a voulu jouer dans ce long métrage. Une erreur de parcours à côté de petits bijoux comme « Million Dollar Baby » ou « Écrire pour exister »... Enfin, ne parlons même pas du contraste insupportable effectué entre New York (symbole des Etas Unis donc grande puissance, toujours en activité, regorgeant de musées et de galeries d'art...) et l'Irlande que l'on montre complétement rurale (gros plans sur les vaches et les tracteurs...) et déconnectée du monde. Bref, ce genre de visions du vieux continent revisité par les Américains sont tellement clichés, révoltantes et triste à la fois.
Le seul point positif serait la présence d'acteurs de séries comme James Masters (Buffy), Lisa Kudrow (Friends) et Jeffrey Dean Morgan (Grey's Anatomy) qu'il est agréable de retrouver dans le même film. Sinon, ne perdait pas votre temps et passait votre chemin avec ce film plat qui trouvera sans doute un public de jeunes adolescentes en mal d'amour.
Certes l'intention est bonne mais il est regrettable qu'il n'y ait eu aucune prise de risque de la part du réalisateur qui ne fait qu'enchaîner des plans séquences composés de gros plans et de fondus enchainés. Ainsi, le film paraît interminable et ce dès la scène d'ouverture de la dispute du couple dans l'appartement qui n'en finit plus. On aurait pu largement remonter le film dans l'ensemble et lui ôter plus d'une heure de rush inutiles ! De plus, excepté quelques répliques pertinentes, l'ensemble des dialogue est assez catastrophique. A se demander pourquoi Hilary Swank a voulu jouer dans ce long métrage. Une erreur de parcours à côté de petits bijoux comme « Million Dollar Baby » ou « Écrire pour exister »... Enfin, ne parlons même pas du contraste insupportable effectué entre New York (symbole des Etas Unis donc grande puissance, toujours en activité, regorgeant de musées et de galeries d'art...) et l'Irlande que l'on montre complétement rurale (gros plans sur les vaches et les tracteurs...) et déconnectée du monde. Bref, ce genre de visions du vieux continent revisité par les Américains sont tellement clichés, révoltantes et triste à la fois.
Le seul point positif serait la présence d'acteurs de séries comme James Masters (Buffy), Lisa Kudrow (Friends) et Jeffrey Dean Morgan (Grey's Anatomy) qu'il est agréable de retrouver dans le même film. Sinon, ne perdait pas votre temps et passait votre chemin avec ce film plat qui trouvera sans doute un public de jeunes adolescentes en mal d'amour.
Même si votre moitiè insiste, ne cèdez pas à la tentation. "P.S. I Love You" est ce qu'on a vu de plus aberrant, larmoyant et navrant depuis longtemps, dans le genre sentimental / cucu la praline / clichès indigents qui fait pleurer dans les chaumières!
spoiler:
Holly et Gerry s'aiment d'un amour fou! Ce dernier meurt d'une tumeur au cerveau et Holly est profondèment dèsemparèe! C'est alors qu'elle reçoit une lettre de Gerry avant sa mort! Puis deux, puis trois,en fait dix...une sorte de jeu de pistes au fil des saisons pour l'encourager et l'aider à se reconstruire!
Voilà! C"est du joli! Non, c'est nul, long, invraisemblable, archi convenu et les acteurs sont exècrables! Le pompon, c'est la première rencontre de Holly et Gerry en Irlande (rires garantis). Ah les murs de pierre d'Irlande et ses paysages verdoyants! Un faux pas de la part du scènariste formidable de "The Bridges of Madison County" et "Erin Brockovich". Même les seconds rôles tels que Kathy Bates ou Jeffrey Dean Morgan sont èteints! A èviter...
Voilà! C"est du joli! Non, c'est nul, long, invraisemblable, archi convenu et les acteurs sont exècrables! Le pompon, c'est la première rencontre de Holly et Gerry en Irlande (rires garantis). Ah les murs de pierre d'Irlande et ses paysages verdoyants! Un faux pas de la part du scènariste formidable de "The Bridges of Madison County" et "Erin Brockovich". Même les seconds rôles tels que Kathy Bates ou Jeffrey Dean Morgan sont èteints! A èviter...
Cette comédie si on peut la nommer ainsi est d'une platitude à faire peur, aucune émotion et aucun sourire ne se dégage de ce navet à tiroir. On part de rien et on arrive à rien. C'est affligeant de nullité.
J'avais quelques écho comme quoi ce film était plutôt mal jugé par la presse et finalement pouvait faire figure de film "culte". Et bien ces échos ont été trompeur. Il s'agit probablement d'un des plus mauvais film de l'année. On a l'impression que le réalisateur se fout un peu de nous (Les funérailles se passent dans un bar, les gens rient, le prêtre fait des blagues, et un mec se permet de draguer la veuve, on est où la? à un mariage?) Tout commence avec une scène de dispute pas crédible du tout qui dure trop longtemps et qui est finalement totalement inutile pour la suite du film. Dès les 10 premières minutes, on commence déjà a avoir des envies de meurtres. Ensuite vient le moment ou la veuve se retrouve toute seul, on pourrai croire a une sorte de période où ce personnage apprend a se connaitre ... Que nenni, on se contente de voir une femme qui attend les lettres de son défunt mari pour savoir quoi faire de sa vie, et c'est gonflant, on passe notre temps a attendre la moindre humanité, le moindre bon sens, mais rien. Et le film atteint des sommets lorsque cela se passe en Irlande. Les conditions de lieu n'ont aucun impact sur la situation. Elle aurait du allé a 100 Km de chez elle, c'était pareil. En ce qui concerne les dialogues, c'est assez pourri, faut le dire, on dirai des dialogues d'un feuilleton que diffuse M6 pendant les périodes de noël. Et on enchaine clichés sur clichés. Le réal a tout de même tenter d'émouvoir grâce a ses plans de flashback en parallèle avec elle sans son mari, mais rien n'y fait. Le but de ce film était d'émouvoir, il en a fait tout le contraire (En même temps il a réaliser Écrire pour Exister, on pouvait pas lui en demander de trop). Coté acteur Hillary Swank est bien pâle ici tout comme Gérard Butler. Les acteurs de second plan sont pas extra non plus. Mais cela vient du scénario avant tout. La bande original est vraiment molle, n'inspire rien. Bref le néant.Au final Ps I love You est mauvais, bête, naïf et déni de tout bon sens
L’idée de départ est original mais c’est tellement mauvais, le scenario, les acteurs, c’est long, pas drôle, ça sonne faux… encore ? aucune émotion… encore ? Hilary Swank et Gerard Butler mis en scène par LaGravenese (qui est déjà meilleur scénariste), ca ne pouvait pas donner un chef d’œuvre. Je ne sais d'ailleurs même pas pourquoi j’ai regardé ce film, y avait mieux à faire. Film à conseiller aux adolescentes.
P.S : c'est une daube , la niaiserie à l'état pur, la millionaire baby n'est plus ce qu'elle était
Horripilant. Les acteurs, qui ont fait leurs preuves ailleurs sont ici mauvais, essentiellement en raison d'un scénario et de dialogues indigestes. C'est long, maladroit, sans émotion. On dirait un pauvre roman de chick-lit transformé en roman-photo période Nous-Deux sur fon de compil musicale brinquebalante. Exaspérant de voir Hilary Swank et ses deux copines (la quarantaine bien tapée) jouer les gamines qui pouffent quand passe un playboy. Quant à la rédemption après le deuil, on n'y croit pas une minute.
🎬 RENGER 📼
Holly et Jerry vivaient dans l’harmonie d’un jeune couple, entre amour et disputes sans grande importance. Mais un jour, Holly se retrouve seule, abandonnée. Jerry vient de décéder des suites d’une tumeur au cerveau. Ainsi commence pour elle un lourd travail, celui du deuil alors qu’au même moment, elle reçoit des lettres rédigées par Jerry avant sa mort.
Aux vues des bandes-annonces, on imaginait ce film « cul-cul », nier et ennuyeux. On constatera avant la fin du film que nous n’avions pas tort. Car dans P.S. I Love You (adapté du roman éponyme de Cecelia Ahern), ce à quoi nous ne nous attendions pas, c’est de voir Gerard Butler mourir au bout d’un ¼ d’heure ! Ensuite, on a droit aux pleurs de Hilary Swank, non pas durant quelques minutes, mais durant tout le film !! Entre les moments où elle se plaint, où elle doute d’elle et où elle se ressasse de lourds souvenirs, on assiste péniblement à des scènes de pleurs répétitives, sans importances et lassantes !
Le manque de rythme au sein de ce film est flagrant et en conséquence, on s’ennuit à mourir durant les deux heures que compte ce film.
Aux vues des bandes-annonces, on imaginait ce film « cul-cul », nier et ennuyeux. On constatera avant la fin du film que nous n’avions pas tort. Car dans P.S. I Love You (adapté du roman éponyme de Cecelia Ahern), ce à quoi nous ne nous attendions pas, c’est de voir Gerard Butler mourir au bout d’un ¼ d’heure ! Ensuite, on a droit aux pleurs de Hilary Swank, non pas durant quelques minutes, mais durant tout le film !! Entre les moments où elle se plaint, où elle doute d’elle et où elle se ressasse de lourds souvenirs, on assiste péniblement à des scènes de pleurs répétitives, sans importances et lassantes !
Le manque de rythme au sein de ce film est flagrant et en conséquence, on s’ennuit à mourir durant les deux heures que compte ce film.
Ultra mièvre, ce film qui marque une absence totale de crédibilité est consternant. Enfilant les scènes de flashs back qui ne parviendront pas à émouvoir les gens censés, le réalisateur bafoue l'image et la sincérité déjà trop faible de notre cinéma contemporain. On nous sert de gros sentiments bien épais pour qu'on les comprenne. La subtilité, c'est ici inconnu. Hilary Sawank se plante, nottament en montrant trop ses dents de chevals. Gerard Butler ne cesse de nous placer son sourire charmeur pour que les femmes oublient que son rôle est absolument idiot, Harry Connick JR n'a jamais été aussi terne, Lisa Kudrow fait du sous "Friends" et même la talentueuse Kathy Bates semble se demander où est passé son gilet de sauvetage. Nul!
On le savait déjà, Richard LaGravenese n'a jamais été l'un des plus subtils cinéastes de son temps, mais tout de même, de là à atteindre un tel niveau de médiocrité... on ne peut pas dire que le temps bonnifie tout le monde. Sur un pitch pourtant malin et étrangement inexploité auparavant, LaGravenese signe un film interminable, d'une mollesse et d'une épaisseur consternante : c'est incroyable à quel point un film peut-être aussi ennuyeux, dénué d'idées et de chaleur humaine. La comédie romantique ne demande pas forcément à être tout ce qu'il y a de plus complexe dans la manière, mais il y a au moins une magie quelconque qui doit se dégager ; ici, rien, juste des gros morceaux de scénario éparpillés dans un foutoir ridicule et d'un cucul qui confine à l'incompréhension. Un cinéaste peut-il encore poser un regard aussi niais sur un tel sujet? La réponse est oui, merci Richard. De plus, la réalisation est d'une platitude exaspérante, la musique artificielle, le cadrage d'une inanité presque étincelante, et les acteurs momifiés dans des costumes clownesques de gamins attardés. Sauf Hilary Swank, à peu près potable quand la caméra ne vient pas surligner ses moues de chagrin pitoyables, ce catastrophique mélo-mielleux ne présente aucun interêt : ni celui d'émouvoir, ni celui de rire à gorge déployée, ni celui d'envoûter, ni même celui de simplement divertir. A la rigueur nous fait-il rattrapper les nuits de sommeil perdues, généralement, à visionner des nullités comme celle-ci et qui malheureusement, arrivent à exister plus, sous prétexte d'un ou deux acteurs connus, qu'une des nombreuses merveilles qui attendent encore au portillon de la distribution minimale.
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