Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
2,5
Publiée le 7 septembre 2008
Dommage, l idée etait bonne mais le scenario est beaucoup trop simple. Le sujet de la manipulation est TOP NUL. Heureusement qu il y a une belle Geisha !!!
étant fan de Rampo edogawa, je me devais de voir ce film, malheuresement l'histoire du livre est trés mal respecté et la réalisation est trés médiocre, de plus l'acteur principal est mauvais, il n'est pas crédible dutout.
Grand artisan du suspense et de la manipulation ("JF partagerait appartement", "l'enjeu", "calculs meurtriers"), Barbet Schroeder a ses fans et ce film, encore plus que tous les autres, ne s'adresse probablement qu'à eux. Très loin des figures imposées hollywoodiennes, des scènes de meurtres sordides ou de la violence démonstrative, Schroeder fait ce qu'il a toujours fait depuis ses débuts et personne ne s'étonnera, quand on connaît le bonhomme, de l'univers feutré qu'il injecte dans "Inju". L'atmosphère du film transpire le Japon de carte-postale avec des décors et des costumes outranciers qui plonge immédiatement le spectateur dans une sorte de "Mystères de Pékin" (le célèbre jeu de société) version live. Fascination, faux-semblants, ombres et masques de carnaval, "Inju" s'identifie par un retour au cinéma des années 50 et 60 (celui d'Hitchcock) qui trouve miraculeusement sa place dans un pays respectueux de ses coutumes ancestrales. Accompagné de Magimel, le vieux Schroeder s'immerge quelques heures dans le style à DePalma et, comme on l'a déjà dit, son meilleur public saluera son courage à ne pas céder aux grosses ficelles du moment. Peut-être aurait-on voulu plus de finesse dans le scénario (twist deviné trop à l'avance) ? Peut-être aurait-on voulu aussi plus de perversité dans l'érotisme (le sexe n'est qu'effleuré) ? La richesse de la forme rattrappe heureusement des faiblesses de fond qui auraient été un désastre pour un blockbuster mais qui ressortent comme une sorte de naïveté bienvenue dans un film artisanal comme "Inju". Ce dernier n'a jamais eu la prétention d'être une oeuvre "bankable' ; juste un bon petit thriller, dernier joyau noir d'un dinosaure du cinéma.
J'ai bien aimé l'ambiance du film. le thème de l'occidental au japon deviens courant, mais il s'agit là de quelqu'un qui croit connaitre et qui finalement est complètement paumé. Ce n'est certes pas le thriller sulfureux annoncé, mais un film qui se laisse voir. Pour ma part, j'avais démasqué le méchant avant la fin, ce qui est dommageable pour le suspens (ça vaut pas Usuel suspect). Ne pas trop attendre de ce film et l'on est pas déçu.
A trop vouloir faire des références cinématographiques (Hitchcok, Kitama...), le film manque cruellement d'originalité. Le propos (la fascination, la manipulation voulue ou subie) aurait mérité bien plus d'audace.
Côté comédiens, Maginel cabotine a n'en plus pouvoir.
L'intrigue enfin: cousue de fil blanc, prévisible au bout d'un quart d'heure pour un twist final qui tombe à plat et le personnage de Magimel se fait avoir par des astuces niveau bibliothèque verte. Ca se veut sulfureux, c'est au mieux démagogue, ça se veut inventif, ça ne l'est jamais. Ca se veut palpitant et envoutant, c'est ennuyeux et poussif.
Voila un film qui déçois. Il manque de rythme et on commence à trouver le temps long durant la projection. Lorsque l'on sort de la salle on est déçus par l'histoire qui manque d'un petit ...
Confrontation entre deux monde sous fond d'histoire d'amour perverse. On est dépaysé, mais le film manque parfois de rytme. Ce n'est pas non plus son but. On s'interresse beaucoup à la psychologie des personnages; les apparences sont trompeuses...A voir en DVD.
Le suspense, même s'il n'est pas soutenu, est plutôt bien entretenu, quoique prévisible sur la fin. Lika Minamoto - mannequin de son état et égérie de Kenzo- est très convaincante comme actrice. Benoît Magimel l'est nettement moins et ce, dès le départ, dans l'amphi : à côté de la plaque tant dans la voix que dans les postures, même avec cette intention de jouer les "furansu gaijin" qui a bien appris son petit manuel de savoir- vivre à la japonaise. Quelques approximations (cérémonie du thé, danse,...); beaucoup de clichés et au final beaucoup de "japonaiseries". Les autres acteurs japonais sont très bien. Mention spéciale pour certains décors et maquillage, notamment de la "geiko". Dans l'ensemble, un thriller à voir, d'honorable facture.
J'ai vu le film en croyant que celui ci serait bien filmé, me suis trompé lourdement. Benoit Magimel joue très mal, je me demande comment il a fait pour se faire connaitre...Et le scenario est vraiment previsible. Le seul bon point reste la toute derniere scene du film...
En tout cas, film à deconseiller pour ceux qui aime les bons acteurs et/ou scenario !!!
Le film ne passionne pas du début à la fin, B. Magimel ne semble pas s'être intéressé à son personnage et les suggestions de double histoire tombent a l'eau.
pas mal ! pas mal du tout meme. on se retrouve pris dans un engrenage qui nous trompe et ce jusqu'a la fin du film. ce qui me dérange c'est que je trouve que ca va pas assez loin..... l'univers sordide voire absurde n'est pas exploite a fond (enfin a mon sens ) ce qui gache un peu le plaisir car au final faut bien l'avouer a reste somme toute classique et deja vu... Le cote reve j'ai vraiment aime mais toujours il manque ce petit truc qui manque. Bref a voir tout de meme.
Un thriller plutôt bien mené mais où Benoit Magimel semble bien perdu, ce qui pour ma part est plus ou moins légitime compte tenu de la faiblesse et la crédibilité de beaucoup de dialogue qui, par ailleurs, gâchent une intrigue qui nous emporte avec une aisance maladroite. Un film à voir pour sa mise en scène, pour un dénouement compensatoire, et un scénario qui tiens la route.