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Délassant, ce film n'en finit pas de dérouter le spectateur, assis entre deux chaises. On s'y délecte et s'insurge à la fois d'être cahotés dans un maelström de clichés, de situations de roman à deux sous et de répliques naïves (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Barber Schroeder adapte un best-seller Japonais et s'en sort plutôt bien. Le seul reproche que l'on fera à Inju (...) c'est de ne pas prendre assez de distance avec le héros.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
(...) le scénario quelque peu embrouillé fait qu'on a du mal à suivre cette intrigue souvent sanglante et violente, voire perverse par moments. Reste que Barbet Schroeder (...) maîtrise totalement sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
A suivre Benoît Magimel, excellent, et la sublime Lika Minamoto, le spectateur se perd souvent dans les méandres de ce labyrinthe entre fastasme et fiction. Pour se faire avoir in fine avec délectation ou agacement par cet étrange thriller à dessein rocambolesque.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
L'essentiel (...) est dans un dosage extrêmement ardu à obtenir et surtout à tenir, entre la sophistication de la manière et la simplicité nue des conclusions (...) Or ce dosage, Inju ne le réussit qu'inégalement.
Dans ses meilleurs moments, "Inju" revisite un registre SM que Barbet Shcroeder a autrement mieux exploré dans "Maîtresse". Au pire, il tombe dans le piège qui consiste à compliquer une intrigue initialement simple.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
Un magnifique polar plus noir que la nuit (...) une réussite magnifique.
Les Inrockuptibles
Un brillant thriller sexuel dans un Japon en trompe-l'oeil, traversé de réminiscences cinéphiles.
Le Figaroscope
Ce n'est pas seulement un bon thriller, c'est un superbe exercice de style sur le thriller.
Le Monde
Délassant, ce film n'en finit pas de dérouter le spectateur, assis entre deux chaises. On s'y délecte et s'insurge à la fois d'être cahotés dans un maelström de clichés, de situations de roman à deux sous et de répliques naïves (...).
Positif
De fiction en documentaire, Schroeder est fasciné par une chose: l'emprise. (...) Le voici à Kyoto pour une adaptation très plaisante d'Edogawa Rampo.
20 Minutes
Barber Schroeder adapte un best-seller Japonais et s'en sort plutôt bien. Le seul reproche que l'on fera à Inju (...) c'est de ne pas prendre assez de distance avec le héros.
Chronic'art.com
Difficile d'entrer dans ce récit à ficelles et tiroirs, dont les angles parodiques et distanciés finissent par heurter.
Ciné Live
Voir sur le site www.cinelive.com
Le Parisien
(...) le scénario quelque peu embrouillé fait qu'on a du mal à suivre cette intrigue souvent sanglante et violente, voire perverse par moments. Reste que Barbet Schroeder (...) maîtrise totalement sa mise en scène.
Libération
Le film n'est réussi qu'à demi (...). Son idée (..) est d'oser bâtir quelque chose avec un personnage impossible à aimer.
Ouest France
Barbet Schroeder un peu trop sage pour un sujet qui ne l'est pas.
Télé 7 Jours
A suivre Benoît Magimel, excellent, et la sublime Lika Minamoto, le spectateur se perd souvent dans les méandres de ce labyrinthe entre fastasme et fiction. Pour se faire avoir in fine avec délectation ou agacement par cet étrange thriller à dessein rocambolesque.
aVoir-aLire.com
Un exercice de style très étrange qui sous son apparence académique ressemble à son auteur fasciné par l'ambiguïté et le mal.
Cahiers du Cinéma
L'essentiel (...) est dans un dosage extrêmement ardu à obtenir et surtout à tenir, entre la sophistication de la manière et la simplicité nue des conclusions (...) Or ce dosage, Inju ne le réussit qu'inégalement.
L'Express
Voir le site lexpress.fr
L'Humanité
Nous voici en plein film noir, avec le lot de références qui va avec. Seul problème, on y croit peu.
La Croix
Hélas les clins d'oeil à Hitchcock commme au cinéma japonais sont trop appuyés et le suspense tourne vite court.
Le Point
Voir le site www.lepoint.fr
MCinéma.com
Si l'idée de départ est fascinante, son développement en détruit toutes les promesses.
Mad Movies
Quelques bribes de vrai Barbet Schroeder au coeur d'un long-métrage incapable de prendre le taureau par les cornes.
Première
Dans ses meilleurs moments, "Inju" revisite un registre SM que Barbet Shcroeder a autrement mieux exploré dans "Maîtresse". Au pire, il tombe dans le piège qui consiste à compliquer une intrigue initialement simple.
Studio Magazine
Voir le site www.studiomag.com