Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Sophie Bonnet
La grande qualité de Emporte-moi qui se passe au Québec en 1963, est d'avoir su éviter le côté chromo artificiel de la reconstitution.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Planetcinema.com
par Rémy Batteault
C'est un film de sensations, tout en émotions subtiles. Allez voir ce film dont l'apparente fragilité dissimule une force de vivre formidable.
La critique complète est disponible sur le site Planetcinema.com
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
Au lieu de travailler (le) mimétisme jusqu'à ce qu'il contamine l'univers plan-plan de sa "dramatique" douce-amère, Léa Pool se contente de nous faire part de son idée sans proposer la moindre hypothèse de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
par Laure Charcossey
Bien que cherchant à se démarquer grâce à quelques originalités des traditionnels films sur l'adolescence, Léa Pool ne parvient pas à éviter l'écueil du lieu commun des étapes nécessaires à l'épanouissement des jeunes filles (...)
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Obs
par François Forestier
(...) le film accroche par instants.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Sincère et manifestement autobiographique, cet itinéraire de formation, coscénarisé par la romancière Nancy Huston, emprunte hélas des pistes trop balisées pour surprendre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Edouard Waintrop
Nulle virtuosité dans Emporte moi: pour raconter cette chronique sentimentale qui la touche directement, Lea Pool a préféré miser sur un style dépouillé, simple, parfois trop.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
Hanna (...) s'éveille au monde (...), en une année 63 marquée par la sortie de Vivre sa vie, de Godard. Le symbole est certes un peu lourdingue mais trouve sa place dans une histoire dont l'économie narrative (...) est d'une pudeur appropriée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
(...) malgré la photographie flatteuse, Emporte-moi est de l'un de ces films convenables, mais déjà vus et aussitôt oubliés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
La grande qualité de Emporte-moi qui se passe au Québec en 1963, est d'avoir su éviter le côté chromo artificiel de la reconstitution.
Planetcinema.com
C'est un film de sensations, tout en émotions subtiles. Allez voir ce film dont l'apparente fragilité dissimule une force de vivre formidable.
Chronic'art.com
Au lieu de travailler (le) mimétisme jusqu'à ce qu'il contamine l'univers plan-plan de sa "dramatique" douce-amère, Léa Pool se contente de nous faire part de son idée sans proposer la moindre hypothèse de cinéma.
Fluctuat.net
Bien que cherchant à se démarquer grâce à quelques originalités des traditionnels films sur l'adolescence, Léa Pool ne parvient pas à éviter l'écueil du lieu commun des étapes nécessaires à l'épanouissement des jeunes filles (...)
L'Obs
(...) le film accroche par instants.
Le Monde
Sincère et manifestement autobiographique, cet itinéraire de formation, coscénarisé par la romancière Nancy Huston, emprunte hélas des pistes trop balisées pour surprendre.
Libération
Nulle virtuosité dans Emporte moi: pour raconter cette chronique sentimentale qui la touche directement, Lea Pool a préféré miser sur un style dépouillé, simple, parfois trop.
Première
Hanna (...) s'éveille au monde (...), en une année 63 marquée par la sortie de Vivre sa vie, de Godard. Le symbole est certes un peu lourdingue mais trouve sa place dans une histoire dont l'économie narrative (...) est d'une pudeur appropriée.
Télérama
(...) malgré la photographie flatteuse, Emporte-moi est de l'un de ces films convenables, mais déjà vus et aussitôt oubliés.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com