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    Avis sur Le Diable souffle

    Le Diable souffle
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    3,3
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    chrischambers86
    chrischambers86

    13 680 abonnés 12 411 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 septembre 2018
    « Quand le diable soufflera, la Louvaine s'en ira ! » Successivement journaliste et assitant rèalisateur de Abel Gance et Augusto Genina, Edmond T. Greville a, de 1931 à 1964, rèalisè trente films dont certains on assis sa petite rèputation! Sorti en 1947, "Le diable souffle" ne dèroge pas à la règle! L'histoire d'un docteur rèplublicain espagnol (...et èvadè) qui sauve d'une crise d'appendicite aigüe la compagne d'un homme plus âgè, incarnè de façon remarquable par Charles Vanel! Le film se dèroule entièrement sur une île isolèe par des inondations, au coeur de la Bidassoa, amenant la tramontane! Le spectateur est comme coupè du monde! Le vent, on s'y habitue! A ça comme au reste! Le vent souffle sur la Louvaine comme le diable, avec une eau qui monte et une crue qui persiste! Ici la femme est feu et le diable souffle! Bref, un drame ètonnant de maîtrise où le paysage est traitè par lui-même (les grands roseaux), à la manière des films russes des annèes 20-30, avec de belles images! A re(dècouvrir) par le biais de Cinè Classic...
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    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 142 abonnés 5 123 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 juin 2021
    Un vrai drame à la Pagnol avec la femme telle une déesse mythologique qui danse dans les roseaux et qui au lieu de fuir le Dieu Pan cherche à l’attirer. Le diable souffle mais il est séduisant.
    Gréville crée une ambiance vraiment excellente dans cette balayée par le vent.
    Mais on regrettera cette fin à la « pomponette »
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    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    89 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 janvier 2020
    Le diable souffle séduit par son étrangeté qui naît notamment de la géographie dans laquelle Edmond T. Gréville positionne sont récit : un îlot à la frontière franco-espagnole où souffle souvent un vent violent pendant trois à neuf jours sans interruption. Gréville filme avec maestria des conditions climatiques difficiles. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com/festivals/lumiere/lumiere2019/
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