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Un visiteur
1,5
Publiée le 12 janvier 2015
Je regardais le film de Éric Guirado, Le Fils de l'épicier, dans mon école secondaire classe de français pendant trois jours. Le Fils de l'épicier est un film dramatique. Dans le film, le protagoniste Antoine Sforza a quitte son village pour refaire son vie à Paris. Plus tard, il retourne a la cause de le santé de son père. Pour revenir, il apporte son amour,spoiler: Claire, qui ne veut pas se engager. Antoine aidé Claire entrer à l'école, mais il ne veut pas qu'elle parte... Donc, il sabote son opportunité et elle quitte. Puis, le frère d'Antoine, François, tente de se suicider. Alors, le scénario change encore une fois et Claire et Antoine voir l'autre puis le film se termine maladroitement.
Je dirais que c'est un mauvais film parce que c'est un scénario maladroit et laborieux. Il ya beaucoup de événements qui sont très prévisible. Aussi, la casting et très moyen. Une autre raison que je n'aime pas le film est à cause de sa vitesse. Il est très lente et incompréhensible pendant plus part de le film. Cette film est facile à comprendre quand vous fini, donc il est un décent film pour regarde en classe.
Le Fils de l'Épicier (2007) c’est un joli film qui raconte l’histoire d’une famille dysfonctionnelle et leur épicerie. Aucune des caractères sont sympathique sauf Claire, les vieux clients, et la mère de Antoine. Les deux frères et son père sont méchants et acariâtre, je ne comprend pas qu’ils couraient leurs épicerie avec de mauvaises attitudes. C’est un peu ennuyeux et très prévisible, mais si vous aimez des longues scènes de conduite, des caractères frustrants, et des scénarios très conventionnel, cette film est pour vous!
Une idée potentielle (un jeune citadin instable personnellement et professionnellement, découvre le calme du monde rural et ses habitants âgés), un canevas relativement classique (choc des cultures, conflits familiaux, histoire d'amour), mais un scénario très pauvre : une fois le principe posé tout cela est assez répétitif : les tournées du vendeur acariâtre auprès de vieux majoritairement pingres et teigneux, alternent avec des paysages magnifiques et une jeune fille charmante qui essaie de mettre un peu d'optimisme entre ces gens qui se font la gueule. C'est gentillet, mais très conventionnel, prévisible et très pauvre cinématographiquement.
Il est de ces petits films dont on n’attend rien et que pour tout dire on ne pense pas aller voir au cinéma de peur de se trouver devant un petit drame digne d’un téléfilm (surtout avec l'affiche digne de "Louis la brocante"). J’étais dans cet état d’esprit quand je me suis mis devant « Le fils de l’épicier », plein d’a priori peu flatteurs. Je dois donc admettre avec bonne volonté que je me suis vraiment régalé devant cette histoire pleine de charme et de vérité. Cette immersion dans le quotidien d’un épicier itinérant dans les bourgs d’une campagne désertée où ne reste que les petits vieux est un moment de bonheur absolu. L’intrigue permet de faire fonctionner le film en jetant un regard aigu sur une situation des campagnes, particulièrement dans les régions montagneuses, qui perdent leurs jeunes et leurs commerces. Les scénaristes ont croqué de vrais moments de vie pendant les tournées de l’épicerie volante, franchement j’ai parfois cru reconnaître des gens de par chez moi ! Eric Guirado nous offre un drame convaincant doublé d’un constat véridique sur la désertification des campagnes où des comédiens professionnel aux amateurs, chaque scène sonne juste grâce entre autre à des dialogues ciselés. Un vrai beau moment de cinéma qui sait présenter son sujet avec beaucoup de tendresse sans faire dans un pathos appuyé et qui le fait dans une histoire tout à fait convaincante. Une vraie bonne surprise que je recommande avec le plus grand enthousiasme.
Un film intimiste, profond, émouvant, super bien joué. Un peu dans la veine de Le paradis des bêtes ou de Y aura-t-il de la neige à Noël dans lequel joue également Daniel Duval. Ici, Nicolas Cazalé est prodigieux de vérité, de sensibilité. Un régal.
Hélas, je me suis beaucoup en regardant (ou en tentant de le faire ce film en dvd). Quand comprendra-t-on enfin qu'il faut un scénario pour faire un film ? Ce film en est le cruel exemple et nous plonge dans un ennui abyssal.
Petit film intimiste qui nous conte à travers une épicerie ambulante l’histoire d’une famille qui se déchire à force d’incommunicabilité entre ses éléments mâles. Avec ces scènes de la vie entremêlées les unes aux autres le jeune réalisateur a réussi un film simple et touchant par ses sentiments justes et connus de la plupart d’entre nous. Le jeune homme qui est au centre de cette tranche de vie va apprendre à travers le métier de ses parents - qu’il est obligé d’assumer suite à un accident cardiaque de son père avec lequel il est brouillé depuis dix ans – le goût de communiquer et ensuite l’amour puis la paix avec les siens. Le film nous permet de voir des comédiens un peu perdus de vue depuis quelques années comme Daniel Duval ; Jeanne Goupil et surtout l’immense Paul Crauchet qui garde bon pied bon œil à 85 ans. Les comédiens jouent juste et le film nous donne à voir la vie dans les campagnes reculées de l’arrière pays niçois et marseillais. Le cinéma peut aussi être beau quand il est simple et sans prétention.
Un film qui prend le temps de nous faire évoluer dans la France de nos campagnes. Un parfum de quelque chose que l'on pense perdu. Un second film attachant même s'il comporte quelques longueurs et petits défauts. A voir
TU SERAS MON FILS. Dans l'intimité de la campagne française. Richesse, simplicité et sincérité. Nicolas Cazalé et Clotilde Hesme entourent admirablement des seconds rôles réussis.
Un film d’une grande fraîcheur, totalement dépaysant et humaniste. La justesse du jeu des acteurs, la beauté des paysages, rendent agréable cette plongée dans la campagne profonde, en deçà de la brutalité d’un monde capitaliste.
Petite histoire "sympatoche". Lilian Rovère, je vous A-DO-RE ! Seul bémol : Daniel Duval en épicier de campagne... heu... mouais... épicier ganster ou mafieux alors !