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Votre avis sur Death Sentence ?
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Thriller dur et haletant avec une tension qui monte crescendo qui commence calmement à coup de machette dans la gorge, et continue avec du plantage de couteau, enchaînant avec ètranglage à l'aide d'une ceinture de sècuritè, tête fracassèe dans la portière, ècrasage en bagnole, arrachage de jambe à coup de shotgun (digne d’un bon "Soldier of Fortune"), d’explosion de doigts a coup de pètard, èclatage de tête au 357, sans parler des perforations par balle dans à peu près toutes les parties du corps humain! Kevin Bacon, impressionnant (surtout dans le final), livre l'une de ses plus belles prestations! Solide et sans fioritures avec une camèra à l'èpaule jamais en repos et un plan sèquence hallucinant dans un parking souterrain! Du très bon boulot avec en plus une excellente B.O...
FaRem
Très bon film avec un histoire touchante, il y a beaucoup d'action, du gore qui est bien réaliser bref on passe un très bon moment.
Caine78
Le pire, c'est qu'il n'est pas mal réalisé et que dans son genre, « Death Sentence » est plutôt efficace. Mais pourquoi une étoile alors ? Et bien parce que c'est tout de même assez assourdissant de bêtise, le résultat n'offrant vraiment rien de nouveau au « vigilante film ». On sent bien que James Wan fait de son mieux pour ne pas rendre le résultat trop « réac », mais ne fait en définitive qu'aggraver la situation tant le film cherche un équilibre entre violence et émotion qu'il ne trouve absolument pas, saupoudré de scènes ridicules et pas crédibles une seule seconde. Après, Kevin Bacon fait le boulot avec son talent habituel, mais même lui ne peut pas rendre l'entreprise ne serait-ce qu'un peu fréquentable, et ce alors qu'avec un scénario et une approche (nettement) plus habiles, cela aurait pu donner une série B tout à fait potable. Dommage.
🎬 RENGER 📼
Nick Hume a tout pour être heureux. Cadre dans une importante société, marié et père de deux enfants et résidant dans un quartier cossu. Mais tout ça, c’était jusqu’à ce que son fils ainé se fasse assassiner sous ses yeux. Quelques jours plus tard, devant assister au procès du meurtrier, Nick apprend qu’il y a peu de chance pour qu’il soit condamné à la perpétuité au profit d’une peine de 5ans de prison. Jugeant cela insuffisant, il refuse de reconnaître le coupable à la barre. Innocenté, le père en profite alors pour échafauder sa vengeance une fois la nuit tombée. Une virée sanglante se prépare pour ce bon père de famille.
Début des années 70, Michael Winner adaptait le roman Death Wish ("A Déguster froid") de Brian Garfield et réalisait l’un des vigilante-movie les plus mémorables : Un justicier dans la ville (1974) avec Charles Bronson. Quelques années plus tard, Brian Garfield publie Death Sentence, qui n’est autre que la suite de son premier roman. Le scénario ne sera jamais adapté au sein de la franchise (qui totalise 5 opus). Pour son 3ème long-métrage (en solo), James Wan adapte librement le roman, s’en inspire et prend suffisamment de distance avec la franchise (il n’est donc pas nécessaire d’avoir vu les films précédents).
James Wan délaisse ainsi le torture-porn (Saw - 2004) et l’horreur (Dead Silence - 2007) pour s’atteler à un vigilante-movie décomplexé, porté par un Kevin Bacon parfaitement crédible et qui va peu à peu, se détacher de son image de bon père de famille pour se transformer en justicier, quitte à virer dans l’autodestruction la plus totale.
Sans le moindre temps mort, James Wan nous entraine dans l’inéluctable descente aux enfers de Nick. Une mise en scène à bâtons rompus, à l’image de cet impressionnante course-poursuite en pleine ville débouchant sur un spectaculaire plan-séquence de près de 3min à l’intérieur d’un parking aérien où la caméra passe d’étage en étage avec une réelle fluidité, on se retrouve au cœur même de l’action. Tout au long du film, le réalisateur ne lésinera jamais sur les scènes d’action, clairement, on en a pour notre argent spoiler: (entre le coup de machette dans la gorge, la voiture qui tombe du 5ème étage du parking, la bagarre qui se termine dans les escaliers du pavillon, les gunfights, sans oublier le final à la John Woo).
Un vigilante-movie terriblement efficace, d’une rare barbarie et sans concession, bref comme on l’aime.
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
Début des années 70, Michael Winner adaptait le roman Death Wish ("A Déguster froid") de Brian Garfield et réalisait l’un des vigilante-movie les plus mémorables : Un justicier dans la ville (1974) avec Charles Bronson. Quelques années plus tard, Brian Garfield publie Death Sentence, qui n’est autre que la suite de son premier roman. Le scénario ne sera jamais adapté au sein de la franchise (qui totalise 5 opus). Pour son 3ème long-métrage (en solo), James Wan adapte librement le roman, s’en inspire et prend suffisamment de distance avec la franchise (il n’est donc pas nécessaire d’avoir vu les films précédents).
James Wan délaisse ainsi le torture-porn (Saw - 2004) et l’horreur (Dead Silence - 2007) pour s’atteler à un vigilante-movie décomplexé, porté par un Kevin Bacon parfaitement crédible et qui va peu à peu, se détacher de son image de bon père de famille pour se transformer en justicier, quitte à virer dans l’autodestruction la plus totale.
Sans le moindre temps mort, James Wan nous entraine dans l’inéluctable descente aux enfers de Nick. Une mise en scène à bâtons rompus, à l’image de cet impressionnante course-poursuite en pleine ville débouchant sur un spectaculaire plan-séquence de près de 3min à l’intérieur d’un parking aérien où la caméra passe d’étage en étage avec une réelle fluidité, on se retrouve au cœur même de l’action. Tout au long du film, le réalisateur ne lésinera jamais sur les scènes d’action, clairement, on en a pour notre argent spoiler: (entre le coup de machette dans la gorge, la voiture qui tombe du 5ème étage du parking, la bagarre qui se termine dans les escaliers du pavillon, les gunfights, sans oublier le final à la John Woo).
Un vigilante-movie terriblement efficace, d’une rare barbarie et sans concession, bref comme on l’aime.
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NeoLain
Film cucu la praline, histoire déja vue plusieurs fois et decevante, seule une scène d'action vaut le coup et encore, il n'y a rien de formidable. Classique du conflit gentil méchant, reglé par les armes, culture américaine au summun, mais même pas bien fait. Kévin Bacon lui même patauge dans la crétinerie, surtout au moment ou il décide de changer de look pour mener sa vengeance jusqu'au bout en un espèce de "skin vengeur".
selenie
Il y a de l'idée ça c'est sur. La descente aux enfers de Kevin Bacon (Magistral !) a de quoi nous en mettre plein la vue, ce qui est la cas. Le problème réside surtoutr dans l'invraisemblance. Un père de famille BCBG devient un tueur pro en 2 secondes, pleine fusillade il tire juste et atteint ses cibkles sans avoir jamais tité ?!?! Il se rase la tête comme une prépa "Rambo"... Bref à vouloir trop travailler la forme il en a oublié le fond notre cher James Wan (Vive "Saw" les suites à jeter aux ordures !). Heureusement notre héros n'a pas de chance et la fin honore au plus haut point un film qui aurait pu aller plus haut.
AMCHI
Death Sentence ou la descente en enfer de la vie bien ordonnée d'un brave type, un film violent comportant des scènes radicales dont une hallucinante course-poursuite finissant sur le toit d'un parking. La mise en scène de James Wan est d'une efficacité redoutable de plus Kevin Bacon est remarquable dans la peau de ce père de famille basculant dans la violence extrême.
Les films de vigilante(d'auto-défense)sont démodés depuis longtemps.Ce qui n'a pas empêché James Wan de plonger dedans goulument avec ce "Death sentence"(2007)à la morale nauséabonde et au traitement expédié.Tout sonne faux dans ce film où un Kevin Bacon,plus inexpressif que jamais,se prend comme Charles Bronson,en plus borderline.Le fils est tué dans une station-service?Il rend la pareille au gamin qui lui a fait ça.Sa famille est sauvagement attaquée?Il s'attaque au gang tel un Rambo des villes.Cette escalade de la violence est engendrée par la loi du Talion,on l'a bien comprend.Mais pourquoi tant d'invraisemblances.Un gratte-seul papier seul ne peut venir à bout de tout un gang,même en se faisant la coupe de Travis Bickle.Les réactions du personnage sont très destabilisantes après la perte d'un proche.Pas le temps de pleurer,mais celui de choisir la meilleure machette!La psychologie ne rîme à rien,les fusillades sont cheap au possible(avec des murs en cartion),et cette apologie de la violence sanglante envoit ce film droit dans le mur.
Yannickcinéphile
Death sentence est un excellent film, une vraie belle bande plus intelligente que son titre ne le laisse supposer.
D’abord il repose sur une interprétation de très grande qualité. Kevin Bacon est remarquable dans le rôle principal, lui donnant une consistance impressionnante. Transcrivant à merveille les émotions de son personnage, le glissement de celui-ci est retranscrit avec une précision et une finesse de tous les instants. S’il est nécessaire de prouver que Bacon est un grand acteur, ce film indéniablement peut servir de preuve. A ses cotés un casting de qualité là encore, même si bien sur loin du niveau de Bacon. Je note quand même un Goodman dans un rôle bien poisseux qu’il joue avec conviction.
Le scénario lui est agréable. En fait il laisse supposer au début un film maigrelet, avec une sombre histoire de vengeance, mais en fait Wan creuse intelligemment son affaire. Il y a une sorte d’inexorable gradation dans la violence, l’envie de vengeance, la montée de la haine, et le travail sur le rendu des sentiments est superbes. Il y a une volonté réaliste le plus souvent, et cela rend fort bien à l’écran avec une histoire au final assez crédible. Très prenant, sans temps mort, la conclusion est par ailleurs excellente. Une belle réussite.
Visuellement, Wan fait un travail très convaincant. Sa mise en scène est précise, audacieuse, avec des effets originaux et efficaces. Il fait un excellent boulot, à la fois courageux et professionnel, sans lacune particulière. La photographie rappellera d’autres métrages du réalisateur. Elle est assez convaincante, collant très bien à l’ambiance austère du film. Elle est peut-être un peu trop éclectique par moment. Les décors pour leur part sont suffisamment solides. Ils manquent un peu de recherche, mais leur sobriété s’harmonise bien avec le reste du film. Alors par le réalisateur de Saw on attend un film sanglant. Death Sentence est relativement sobre de ce point de vue, sauf dans la conclusion qui sans être excessive non plus, propose quelques moments musclés comme un pied arraché. C’est très bien fait en tout cas. La musique, plutôt discrète est cependant soignée et efficace, elle colle bien aux images.
En clair Death Sentence est un très bon film, qui, s’il ne paye pas de mine au début, devient très enthousiasmant ensuite. Film sombre et pessimiste, il ne conviendra clairement pas à tout le monde, néanmoins le résultat est parfaitement réussi, pleinement intéressant sur un postulat finalement banal, et le travail formel est excellent. Il mérite vraiment 4.5.
D’abord il repose sur une interprétation de très grande qualité. Kevin Bacon est remarquable dans le rôle principal, lui donnant une consistance impressionnante. Transcrivant à merveille les émotions de son personnage, le glissement de celui-ci est retranscrit avec une précision et une finesse de tous les instants. S’il est nécessaire de prouver que Bacon est un grand acteur, ce film indéniablement peut servir de preuve. A ses cotés un casting de qualité là encore, même si bien sur loin du niveau de Bacon. Je note quand même un Goodman dans un rôle bien poisseux qu’il joue avec conviction.
Le scénario lui est agréable. En fait il laisse supposer au début un film maigrelet, avec une sombre histoire de vengeance, mais en fait Wan creuse intelligemment son affaire. Il y a une sorte d’inexorable gradation dans la violence, l’envie de vengeance, la montée de la haine, et le travail sur le rendu des sentiments est superbes. Il y a une volonté réaliste le plus souvent, et cela rend fort bien à l’écran avec une histoire au final assez crédible. Très prenant, sans temps mort, la conclusion est par ailleurs excellente. Une belle réussite.
Visuellement, Wan fait un travail très convaincant. Sa mise en scène est précise, audacieuse, avec des effets originaux et efficaces. Il fait un excellent boulot, à la fois courageux et professionnel, sans lacune particulière. La photographie rappellera d’autres métrages du réalisateur. Elle est assez convaincante, collant très bien à l’ambiance austère du film. Elle est peut-être un peu trop éclectique par moment. Les décors pour leur part sont suffisamment solides. Ils manquent un peu de recherche, mais leur sobriété s’harmonise bien avec le reste du film. Alors par le réalisateur de Saw on attend un film sanglant. Death Sentence est relativement sobre de ce point de vue, sauf dans la conclusion qui sans être excessive non plus, propose quelques moments musclés comme un pied arraché. C’est très bien fait en tout cas. La musique, plutôt discrète est cependant soignée et efficace, elle colle bien aux images.
En clair Death Sentence est un très bon film, qui, s’il ne paye pas de mine au début, devient très enthousiasmant ensuite. Film sombre et pessimiste, il ne conviendra clairement pas à tout le monde, néanmoins le résultat est parfaitement réussi, pleinement intéressant sur un postulat finalement banal, et le travail formel est excellent. Il mérite vraiment 4.5.
Malgré ses allures de déjà-vu, ce thriller est efficace grâce à une mise en scène nerveuse et l'interprétation de Kevin Bacon. La dernière partie du film fait penser à "Taxi Driver" (rasage de crâne, balle dans le cou). Les scènes d'actions sont filmées nerveusement et l'apparition de John Goodman est savoureuse.
ffred
Par James Wan le réalisateur du premier Saw. Une histoire de vengeance manquant totalement de crédibilité. Mais ça déménage sec, les scènes sont fortes et on reste scotché au siège. Kevin Bacon est quant à lui, très crédible. Un bon divertissement.
Un film d'une violence et d'une noirceur assez rare, qui n'est pas une justification de l'autodéfense, à ce propos la réplique à la fin d
spoiler:
e la confrontation entre Bacon et Billy est éloquente, "T'as vu ce que j'ai fait de toi ?" dira le bandit avant son exécution qu'on ne verra pas.
Kevin Bacon nous fait une prestation exceptionnelle en interprétant un type inconscient des conséquences de ses actes. Bien sûr on pourra critiquer le fait que le réal ait sacrifié énormément au spectacle avec des gunfights et des poursuites, mais bon on est au cinéma… spoiler: Par contre la survie du second fils me semble une concession aussi inutile que débile imposée par la prod.
Kevin Bacon nous fait une prestation exceptionnelle en interprétant un type inconscient des conséquences de ses actes. Bien sûr on pourra critiquer le fait que le réal ait sacrifié énormément au spectacle avec des gunfights et des poursuites, mais bon on est au cinéma… spoiler: Par contre la survie du second fils me semble une concession aussi inutile que débile imposée par la prod.
Problèmes majeur du film : Si votre fils se vide de son sang il est beaucoup plus utile de crier à l'aide quand il n'y a personne autour de vous que d'appeler une ambulance. Si votre fils fait une hémorragie laissez-le marcher tout seul au lieu de le porter cela aidera surement à arrêter l'hémorragie. Lorsque vous êtes en colère restez au milieu de la route et attendez qu'une voiture passe et vous écrase car les membres de gangs ne se blessent qu'en se faisant renverser par une voiture sur l'autoroute. Les membres du gang ont l'air super cool en lumière rouge. Lorsque vous voulez condamner un meurtrier il suffit d'aller au procès avec une seule preuve à portée de main (un témoin). Vous pouvez tuer le type qui a assassiné votre fils le jour même de sa libération la police ne vous soupçonnera jamais. Et si une jolie policière savait que vous l'avez fait elle vous dirait simplement que ce n'est pas bien. Vos amis au travail ne vous demanderont jamais pourquoi votre main est enveloppée d'un bandage et saigne mais si vous voulez en être sûr mettez votre main derrière votre dos il n'y paraitra rien. Travailler dans un bureau vous vous mettrez en meilleure forme que n'importe quel membre du gang. Aucune balle au monde ne peut toucher Kevin Bacon sauf s'il court au ralenti ou s'il se trouve dans un environnement à lumière rouge ce qui tend à le rendre vulnérable. Kelly Preston n'a jamais appris ce que signifie sur jouer. Si vous avez sécurisé toute la maison et verrouillé toutes les fenêtres vous pouvez ouvrir la porte à quiconque sonne. Si vous travaillez dans un hôpital il est de bon ton de raconter une blague à quelqu'un dont la famille entière vient d'être assassinée. Lisez toujours les instructions avant d'utiliser une arme cela vous apprendra aussi à tirer mieux. Il est important de se raser la tête avant d'aller tuer les assassins de votre famille. Même Kevin Bacon ne peut pas sauver ce film de James Wan...
J'ai adoré !! Ce film de vengeance est une tuerie !! James Wan confirme une fois de plus que c'est un réalisateur à suivre après le premier "Saw" et "Insidious". Sa mise en scène est bonne, le scénario est peu "téléphoné" (comme la plupart de ses films) car là, le gentil est en égalité face au gang... de plus, j'ai trouvé que c'était rarement prévisible quand on compare à des long-métrages du même style. Sinon , Kevin Becon est toujours aussi bon. Il habite son personnage, et se montre convaincant en permanence. Une bonne surprise !
Julien D
Voila un film que j'allais voir à reculons du fait de son pitch sans réelle originalité. Le sempiternel thème de la loi du talion est traité avec une part de psychologie rare dans un film mêlant ainsi les codes du film noir et du western. Finalement, ce qui m'a agréablement surpris c’est la sensibilité troublante se dégageant du personnage central, principalement due à l’excellent jeu de Kevin Bacon, parallèlement à des scènes de violence haletantes très bien filmées. La mécanique du scénario a donc beau être classique, elle est suffisamment bien rythmée pour faire monter la tension crescendo tout au long le parcours tragique de cet homme que le deuil va faire plonger vers une violence autodestructrice.
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