Un film simplement décevant. Un scenario décousu, des personnages dont la psychologie est caricaturée, et un genre qui n'est pas du tout identifiable. Un mélange entre science fiction, satire, humour noir et drame familial, qui surprend sans être pour autant interressant. Une étoile tout de même pour le style de la grosse bestiole et pour les effets spéciaux qui restent très bons.
Désolé mais j'ai pas accroché à cette histoire! Pas gore du tout, pas de suspens, pas d'effet de frayeur... histoire pas top! Au pire des cas je vous conseille le dvd de "Relic" un film sorti dans le milieu des années 90, c'est dire...
Je n'ai tout simplement pas réussi à accrocher ce film, pour moi c'est trop absurde, abscons, bébête... je respecte néanmoins, on ne peut pas plaire à tout le monde. Mais vraiment je cherche encore à comprendre le pourquoi de ce film ? On a tous nos limites.
Film assez exeptionel mieux que Godzilla en tous cas ! j'ai adorer même dans des circonstances graves, il y'as toujours une pointe d'humour ! Mais je ne classerais pas ce film en tant que chef d'oeuvre :)
Croyant aller voir un film spectaculaire, suite aux bandes annonces et à plusieurs commentaires de presse, ma déception à été aussi grande que mes espérances.Ce film est plutôt destiné à un public très jeune car certaines scénes sont désuétes. Il y a beaucoup de lenteurs et certaines scénes sont peu crédibles.C'est dommage car l'idée était intéressante.
Un original film de monstres qui nous surprend par son ton dramatique et profond mais ne négligeant pas un certain humour et surtout des scènes de catastrophes ; c'est rythmé et The Host sait constamment garder notre intérêt. On s'attache à cette famille de loosers qui trouve le courage d'affronter le danger dont le montre si bien ce final impressionnant
J'ai aimé sans avoir adoré, film sympathique, une bonne histoire, un poil trop lent, mais intéressant dans son ensemble avec des plans soignés et des acteurs pas mauvais.
Le film "The Host" est ennuyeux, long et répétitif. Sa bande-annonce m'a captivé, il y avait des scènes d'action...je m'attendais à des scènes palpitantes. Hélas, cette bande annonce est trompeuse! Certes, l'idée d'un animal marin modifié génétiquement suite aux rejets toxiques d'un laboratoire, est bonne. Le début du film "the host" est excitant mais s'essouffle vite à cause des scènes ridicules et de l'humour hyper lourd des personnages! Quelle absurdité de l'humour! Les acteurs ne sont pas si talentueux... Les scènes avec le monstre marin sont reussies mais au niveau de scénario, l'histoire est absurde et longue. Franchement, je préfère Godzilla. Mon ami qui est fan des films à faire peur, s'est endormi. C'est bien dommage! Quelle deception j'ai ressenti lors de ma sortie de la salle! je ne vous conseille pas d'aller le voir. Ce serait une perte de temps.
Un conseil : rebroussez votre chemin et évitez ce film... Il n'est même pas digne de se trouver dans une salle de ciné... Le cinéma corréen a quelques années voire quelques décennnies de retard! Un film vraiment affligeant où tout est sur ou sous-joué!!!
Ironie du sort ? C'est sur les bords du Han que j'ai appris l'existence de ce film, par une nuit pluvieuse... Après visionnage mon sentiment est simple, j'ai Adoré "The Host ", ce film est aussi émouvant qu'il est surprenant. Le scénario est d'une originalité vivifiante qui apporte une agréable fraîcheur dans un monde où le cinéma commence à sentir le renfermé. La mise en scéne est habilement menée, nous faisant instantanement passé de l'émotion à l'humour et ainsi de suite, ce qui apporte un résultat qu'il ne vaut mieux pas prendre au premier degrés. La fin de ce film m'a beaucoup surpris, très franchement c'est une bonne chose, et le message écologique passe très clairement. Les acteurs sont tous très très convaincants, on s'attache très rapidement aux personnages. La bande sons est tout bonnement énorme, les musiques orchestrales s'accordent parfaitement en fonction des scénes, le tout est fantastique. Un petit regret cependant, les images de synthése qui ne sont pas vraiment au top du top, et cela, même pour l'époque. Mais très honnêtement, il est clair ce n'est pas le point le plus important du film, donc on peut aisément passer outre. En conclusion un excellent film, émouvant, drôle, palpitant et qui pour ma part m'a rendu très nostalgique.
Memories of murder, précédent film de Jooh-oh Bong, nous avait déjà énormément déçu. Et The Host ne fait que confirmer ce que lon pensait : on nadhère pas au style Bong Avec The Host, le réalisateur asiatique a voulu faire un film de monstres. Soit. On peut donc considérer son film comme une simple B. Sauf que non, parce que le réalisateur se prend bien trop au sérieux. Il ne veut pas faire un film de monstre bête et méchant, et ne nous montre donc sa créature (hideuse) que par instants, pour nous réveiller de lennui dans lequel il nous a plongé. Parce que pendant, ce temps, il fait (soit disant) une réflexion sur la famille, lentraide Là de suite The Host semble intelligent (ouah ! un film de monstre qui réfléchit !), mais il ne faut pas se fier aux apparences. Jooh-oh Bong nous ressort tous les stéréotypes des problèmes de famille (enfant délaissée, frère ivrogne, père qui paraît bête mais en fait ne lest pas ). Mais le carnage ne sarrête pas là : le réalisateur a également la prétention de donner à son film une orientation politique. The Host est donc un film pro-écolo qui vous explique quil ne faut pas jeter les produits toxiques nimporte où parce que ça pollue la planète (le monstre représentant la pollution) et souligne également la manipulation des masses par les gouvernements, de préférence américain: on fait croire aux populations que la créature a répandu un virus mortel Au final, le film de Jooh-oh Bong brasse beaucoup de vide et ne nous apprend rien. Malgré une réalisation intéressante, qui offre de beaux travellings et des scènes très personnelles, le film, qui se veut être un subtil mélange de genres, ne parvient pratiquement jamais a capter notre attention. Les acteurs quant à eux sont souvent dans le surjeu. On ressort donc de The Host avec la désagréable impression davoir vu un film très ambitieux, qui veut être beaucoup de choses à la fois mais qui au final, natteint pas un seul de ses objectifs.
Après Memories of Murder, le réalisateur coréen Bong Joon-ho revient avec un nouveau film pour un nouveau genre. Exit le polar, place au drame fantastique où un père de famille modeste de Séoul va rechercher activement,avec l'aide de sa petite famille, sa fille enlevée par une créature étrange surgie brusquement des profondeurs de la rivière Han. Un changement de genre surprenant qui va définitivement prouver que le metteur en scène est sûrement l'un des meilleurs de sa génération. Car outre une histoire de monstre respectant sans sourciller les codes du genre, Joon-ho va par-dessus rajouter plusieurs couches afin de ne pas sombrer dans le classicisme le plus bateau. C'est donc surtout dans sa manière de présenter son histoire que le réalisateur coréen va étonner : oubliés les innombrables scènes d'action sans âme, les facilités de scénario ou les clichés obligatoires. Bong Joon-ho va bouleverser tout ça en nous livrant l'anti-Godzilla. Le héros est un moins que rien irresponsable qui va se découvrir capable de tous les sacrifices pour retrouver l'être qu'il aime le plus au monde. Pourtant, il va aller jusqu'au bout pour retrouver la petite Hyun-seo pendant que les autorités placent une quarantaine incompréhensible et que les médias affolent la population. Autre point fort : le décor. Dans un réalisme saisissant, le metteur en scène expose un environnement sobre, palpable, où l'on peut facilement s'identifier tout en dressant un portrait acerbe de la société actuelle. Pour le reste, Joon-ho alterne entre survival intense du côté de Hyun-seo dans les égouts face à la bête, drame social poignant avec Gang-du et les siens, thriller sous tension avec les autorités coréennes et film d'action à travers les nombreuses séquences à effets spéciaux (bluffants) intervenant de parts et d'autres dans le métrage, notamment dans un final à couper le souffle. On pourra en revanche regretter quelques inégalités de rythme et surtout des personnages parfois sous-exploités comme Nam-joo la sœur de Gang-du, ce charismatique clochard sans nom à l'importance finalement capitale ou encore la relation entre Hyun-seo et le jeune Se-joo dans les égouts. Bref, en dépit de légers défauts plus regrettables que détestables, The Host est une merveille du cinéma coréen qui prouve que Bong Joon-ho est un réalisateur à suivre de très près.
Plus de 300 personnes le considère comme un chef d œuvre....arrêter le jack daniel's ^^ quelle bouse ya trop d'humour dans ce film les acteurs sont vraiment nul a chier, le monstre pour ceux qui le compare a Godzilla juste Mdrrrr la preuve ils en on fait une pub pour du caprice des dieu ^^ a oublié.....