Moi je dis que y'a jamais trop de cinéma. Tu peux pas dire, y'a trop de cinéma, quand y'en a trop sur un blog bon, oui, mais tu peux pas...tu vois...
C'est un plan-séquence, au début, qui débouche sur un truc, et là tu te dis, c'est le plan-séquence qui a permis ce truc, tu vois. Lui, et pas un autre.
La vie, elle est là-dedans.
Dans une prise d'otages, c'est pareil, y'a des gens à gauche, et des gens à droite, un méchant, un gentil, et PAF, quoi, PAF, t'as pas le choix.
Même que si on te fait monter sur une grue, c'est comme si t'étais au sommet de ton art, mais en fait, t'es au sommet de rien du tout, t'es en bas de tes faiblesses, ptêt, au fond du trou, et là tu ponds des phrases et ça fait rire tout l'monde mais il a pas compris, tout le monde! tout le monde c'est qui? C'est personne, en fait, et il a pas compris que pendant qu'il rie, toi tu chiales.
Tu peux avoir un nom de gâteaux pour les mômes, ça te colle à la peau, et apparaître comme un dur, tu vois. Mais en fait t'es rien.
Et l'amour, moi, "ça m'a déchiré...au point que...j'm'en suis sorti".
Tout ça pour dire que j'ai laissé derrière moi...et ce que j'ai laissé, il est là, pas ailleurs, et les autres qui te diront le contraire diront jamais l'inverse, et ça, c'est clair pour ceux qui le comprennent.
(J'ai laissé la parole à Jean-Claude Van Damme pour parler de son film, J.C.V.D., dans les salles en ce moment, un concentré d'O.V.N.I. original, trippant et...touchant, et ouais!)