AlloCiné
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La bande annonce avait montré tous les moments drôles du film, je m'attendais donc à quelque chose de très décalé et amusant. Au final ce film n'est pas mauvais, même bien fait pour certaines choses (le côté aseptisé, l'interprétation, quelques scènes sympa comme dans le métro ou au resto), mais au final je dirais : "Tout ça pour ça ?" Un film long, n'allant nulle part, au final, chiant.
un film agreable qui se moque du catalogue ikea et nous rappele que n'importe quelle tentative de société qui se termine par un isme a toujours été, et sera toujours un echec.Rigolons en , qu'on le veuille où non on a de toute façon pas le choix
Franchement j'ai failli mettre 0.
C'est long, chiant, cela veut se la jouer "1984" ou "Farenheit 451" en faisant passer toujours le même message.
C'est un film raté qui tourne au ridicule avec cet homme qui se fait trainer 3 fois pas le train et ce couple qui se roule des pelles comme s'ils machaient un Chewing gum.
Bref n'y allez pas, j'ai failli sortir de la salle, une étoile pour l'éstéthisme qui est correcte mais qui ne fait évidemment pas tout.
A zapper immédiatement.
C'est long, chiant, cela veut se la jouer "1984" ou "Farenheit 451" en faisant passer toujours le même message.
C'est un film raté qui tourne au ridicule avec cet homme qui se fait trainer 3 fois pas le train et ce couple qui se roule des pelles comme s'ils machaient un Chewing gum.
Bref n'y allez pas, j'ai failli sortir de la salle, une étoile pour l'éstéthisme qui est correcte mais qui ne fait évidemment pas tout.
A zapper immédiatement.
Poétique, grinçant et original, une fois de plus la Scandinavie nous donne un film qui sort des sentiers battus.
Un homme perdu dans un monde asceptisé un peu façon Truman Show, sauf qu'il n'y a ni complice ni ficelles. Allégorie du futur? du paradis? de l'enfer? On ne sait pas trop au juste, chacun aura vu un film différent en sortant de la salle.
Un homme perdu dans un monde asceptisé un peu façon Truman Show, sauf qu'il n'y a ni complice ni ficelles. Allégorie du futur? du paradis? de l'enfer? On ne sait pas trop au juste, chacun aura vu un film différent en sortant de la salle.
L'histoire est plutôt classique et a déjà été traitée pas mal de fois sous plusieurs formes : vous prenez une Allemagne de l'Est communiste, un mur de Berlin et un type qui veut passer de l'autre côté, vous y ajouter un peu de fantastique et vous obtenez Norway of Life. Le film est assez bien réalisé et la photo est très bonne mais le scénario souffrant d'un manque cruel de rebondissement s'essoufle assez vite pour plonger le spectateur dans un ennui certain. Plus d'engagement dans la critique de cette société déshumanisée n'aurait pas été un mal. Bref, ce film qui m'a parfois fait penser à un mauvais Brazil n'apporte aucune réflexion sur notre monde Ikea-isé comme le fait Fight Club. Le mieux reste encore de relire ses classiques de SF.
Ce film a bien mérité son prix au festival de Gerardmer , un monde glacé où tout est facile ( si on est docile et que l'on ne dérange pas ) une fable qui ne sera , je l'espère ,jamais la réalité ! il faut des sensations pour que la vie mérite d'être vécue et de l'espoir, telles sont ( à mon avis ) le sens de ce film , à voir.
Quelques références de film à l'esprit ! cube ! play time ! dark city ! brazil ! Il y a une nordic touch en ce qui concerne la dénonciation de la modernité ! Il ont un humour pince-sans-rire qui vous fait vous demander si à certains moments il faut rire ou pleurer de ce qui vous est montré ? Mise en scène minimaliste et efficace, tout est dans le suggéré, dans le vécu de chaque spectateur ! Un film intéressant sans nul doute ! Malaise garanti !
Encore une petite merveille du cinéma scandinave. Un paumé débarque dans une ville où on lui offre un bonheur asseptisé. Derrière la vitrine apparemment
idyllique, les couacs se multiplient. N'y a-t-il pas un monde meilleur ailleurs ? Comme derrière le mur de cette cave ? Même si "presque tout le monde est
content d'être ici"... Un film malin, un peu biblique, un peu allégorique, un peu orwellien, un peu fantastique. Distrayant, intelligent, et norvégien pour l'exotisme.
idyllique, les couacs se multiplient. N'y a-t-il pas un monde meilleur ailleurs ? Comme derrière le mur de cette cave ? Même si "presque tout le monde est
content d'être ici"... Un film malin, un peu biblique, un peu allégorique, un peu orwellien, un peu fantastique. Distrayant, intelligent, et norvégien pour l'exotisme.
intriguant, dérangant, drole ... à voir
Film époustouflant, les Norvégiens ont tout compris de la vie matérialiste qui entoure les gens des pays de la triade! Pas de sentiments, si tu n'aimes pas, tu te débrouilles! Ils savent donc quoi éviter dans leur pays où il fait bon vivre!
Ce film est une critique du systeme norvegien et de ses valeurs. Un tableau au vitriol avec un acteur principal melange de Bob Geldoff de The Wall et Pierre Richard dans le grand blond, tout le long du film on oscille entre Kafka et Mister Bean sans oublier les scenes gores d'anthologies. Au final je suis mitigé, ce film fait tout de meme reflechir.
Un film qui se veut original de par son sujet, mais qui est en fait terriblement superficiel. Cette idée d'un monde "parallèle" n'a rien de nouveau, et on a l'impression que le réalisateur l'utilise comme prétexte pour faire un film incohérent. C'est dommage, car sinon tout est bien filmé, pour faire ressortir le côté froid et artificiel du monde dans lequel est transporté le protagoniste.
Trop brouillon, film labyrinthe, qui a du mal à tenir la longueur et la prétention de film bizarre.
petit chef d'oeuvre qui navigue entre plusieurs frontières : fantastique, social, psychologique, métaphysique, comédie..
On découvre en compagnie d'Andreas, aux traits incroyablement expressifs, un monde sans aucune aspérité où conformisme et bonheur règnent.
Voir Andreas se heurter aux limites de ce monde, tenter d'en démonter les rouages devient alors un véritable bonheur tragi-comique
On découvre en compagnie d'Andreas, aux traits incroyablement expressifs, un monde sans aucune aspérité où conformisme et bonheur règnent.
Voir Andreas se heurter aux limites de ce monde, tenter d'en démonter les rouages devient alors un véritable bonheur tragi-comique
JUBILATOIRE. Et même si je nai pas (encore ?) tout compris, quelle ambiance ! Andréas « le prisonnier Norvégien » est irrésistible, et il fallait bien sa tronche pour exprimer de vraies émotions humaines.
Des répliques cultes drôlissimes parce que décalées, une musique superbe (Edvard Solveig, los Panchos ), des images dignes des peintres surréalistes et une recherche esthétique évidente.
Dépaysement garanti au pays des Trolls.
Des répliques cultes drôlissimes parce que décalées, une musique superbe (Edvard Solveig, los Panchos ), des images dignes des peintres surréalistes et une recherche esthétique évidente.
Dépaysement garanti au pays des Trolls.
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