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Un visiteur
0,5
Publiée le 10 mars 2008
L'heure d'été dans la vie c'est une heure de soleil en plus, dans ce film c'est une heure d'ennui en plus! Dans un film, même moyen, il y a toujours une histoire avec une trame, des rebondissements, des attentes, des fausses pistes, un développement... Ici, c'est encéphalogramme plat! Rien, aucune scène n'est aboutie, l'intrigue est plus mince qu'une feuille de papier à cigarette, les acteurs font ce qu'ils peuvent mais que c'est dur de mettre son talent au service de rien! Un long tunnel d'ennui! Aucune imagination, aucune situation qui apporte un début d'émotion ou de réflexion, sans parler de la caricature de nos "pauvres" petits enfants riches, pathétique! En plus c'est mal filmé! Mal monté! Un conseil n'y allez pas, ce film est une escroquerie ennuyeuse!
Une jolie histoire. Une mère qui meurt (Edith Scob est merveilleuse), des enfants qui s'interrogent sur le poids et le sens à donner à leurs souvenirs, à leur patrimoine personnel. Les thèmes de la mémoire et de la famille touchent forcément le spectateur. La lumière est très belle, le décor et la maison reposants. Seul petit bémol, l'extrême sagesse des relations fraternelles, malgré les désaccords entre chacun. Pas assez réaliste, pas assez crédible à mon goût.
Un film sur une famille confronter à un partage d'héritage est le thème plein de nostalgie. Hélas, un scénrio palt pour de belles images, je me suis ennuyé.
"L'Heure d'été" est la chronique d'une famille face au deuil. Une réflexion sur la transmission, sur la fidélité à la mémoire des morts, la perte de l’héritage familial, la décomposition de la famille. Ainsi, à travers l'histoire très concrête de cette succession, Assayas nous interroge sur le temps qui passe, et le contrat qui unit temps passé, présent et avenir. Sur le passé qui paralyse, sur la place donnée à nos racines à l'heure de la mondalisation mais aussi sur la sacralisation de l'art.
Assayas effleure. Sa caméra délicate témoigne sans vraiment juger. Ainsi, le film ne prend pas partie entre Charles Berling, nostalgique et contemplatif - commentateur de la Vie, qui veut pouvoir conserver et protéger les objets qui ont fait son passé et le duo Juliette Binoche-Jérémie Rénier qui se servent des vestiges du passé et s'en débarrassent pour avancer plus vite et mieux.
L'Heure d'été est un joli film que j'oublierai sans doute très vite mais qui a su capter mon intérêt pendant 1h40. Un joli moment sans lendemain, c'est déjà beaucoup.
A signaler la présence de Dominique Reymond, actrice remarquable qui ne cesse, dans ses discrètes compositions, d'éclairer de son immense talent les comédiens vedettes.
Comme beaucoup de films français de ce genre on lit soit des critiques ditirambiques soit des critiques assassines. J'hésitais après les avoir lues à aller le voir et finalement j'ai franchi la porte de la salle. Le résultat est plutôt positif même si ce film n'est pas transcendant. C'est assez bien écrit , filmé de manière agréable avec de belles images et bien interprété dans l'ensemble. J'avais juste le sentiment que Juliette Binoche n'était pas pleinement dans son rôle. Par contre j'ai revu avec plaisir Edith Scob que j'avais découvert dans Didine. Il est vrai que peu de personnes en France peuvent être confrontées à ce type de situation en matière d'héritage mais il est possible de retrouver certaines choses ou réactions familiales que l'on peut vivre.
Olivier Assayas sait filmer, on est contetn pour lui! Mais un film ne se limite pas à la qualité des plans! Il faut savoir narrer, donner du rythme à l'histoire, une profondeur aux personnages! Or l'Heur d'été oublie tout ça! On tombe dans une plate, lente et surtout très ennuyeuse histoire familiale. Que penser de cette famille, si ce n'est qu'elle est à des années lumières d'une famille normale! Les enfants travaillent presque tous à l'étranger, ou on fait HEC! C'est plutôt la famille bobo-intello rive gauche à Paris. Assayas veut toucher le spectateurs avec des personnages qui évoquent pour la majorité des gens un univers élitiste qui se chercher un souffle de légèreté! Le début peut aller où l'on retrouve tout les clichés de cette famille censsée être moderne! Mais plus on avance plus on se rend compte qu'on est tombé dans un désert! La scène de présentation des meubles au président du musée d'Orsay est si mal jouée, qu'on dirait une pièce de théâtre de collégiens! Et puis la cerise sur le gateau, c'est cette fête d'adolescents, que nous a mis dans, un manque d'inspiration total, Assayas, à la fin de son film! Comme si il conduisait lui-même son navire contre les recifs!
J'ai envie de dire, mais dans quoi on nous embarque là, prend on le spectateur vraiment pour un abruti ? Encore au début ca peut aller mais on nous assène de stéréotypes et de prototype de la famille modèle qui vit aux 4 coins du monde. PLus on avance plus on avance dans le stéréotype dont le summum doit être la fête entre adolescents, enfin j'ai plutôt là encore envie de dire de prototype de l'adolescent. Le jeu des acteurs est aussi plus que médiocre pour ce film, dont je me demande ce qu'il essayait de nous démontrer, denous apporter.
de même que la rivière qui prend sa source dans la montagne coule inexorablement vers la mer, ce film coule selon un scénario sans aucune surprise : on attend qu'il se passe qcq chose d'un peu original et il n'y a que le vide avec des bobos qui ont de superbes carrières , sillonnant le monde grâce à leur talent et les éloignnat de la maison familiale qu'il faut donc vendre; les critiques ont mis 3 à 4 étoiles, ce n'est pas compréhensible
"Objets inanimés, avez-vous donc une âme" ? Ce film de commande nous donne des pistes pour tenter de répondre à cette question obsédante, et ce faisant donne beaucoup à voir, et n'est donc pas (ou le moins possible) prétexte à théorisation et bavardages sur l'Art. Il a en effet comme support une vraie histoire de famille, servie par de bons comédiens, avec ses grandes joies, et ses petites disputes et mesquineries, quelque chose qui sonne juste, comme une petite musique intime, dans une vaste maison qui va passer de "l'Heure d'été" à l'heure de l'abandon quand le récit s'achève - ses objets sont dispersés et les héritiers l'ont vendue. Plus de maison de famille : quid de la famille ?...
Je ne mettrai pas 4 étoiles à ce film même s'il est très bon. En effet, le film traite de l'histoire d'une famille et d'un problème de succession mais "l'heure d'été" se traine un peu longueur dans des dialogues sur les problèmes de notariat...ect. L'histoire est par contre traité avec un léger recul et humour. L'avantage est que le synopsis ne se perd pas dans un simple histoire d'héritage mais qu'au contraire il est bien ficelée autour d'un personnage principal : celui de Frédéric qui nous fait découvrir les autres personnages. Les personnages sont liées avec le film et suive un fil, on commence par l'histoire de la grand-mère, la vie de ses enfants pour finir par l'espoir de la jeunesse intégrée par les petits-enfants. En bref, le film nous rappelle forcément une pente de notre vie : la jeunesse.
Film magnifique, gràce aux dialogues d'une grande justesse et aux acteurs habités. La mise en scène est fluide et les choix musicaux sont très appropriés. Dommage que la dernière scène ne me convainc pas, sinon nous aurions eu un très grand film totalement bouleversant, qui par certains aspect pouvait rappeler l'immense "Un dimanche à la campagne" de Tavernier.
Ce film à l'image prometteuse et au casting attirant est en vérité très médiocre. Les dialogues sont d'une platitude telle qu'on peut les deviner à l'avance ; le scénario est inexistant ; les meilleurs acteurs, parce qu'ils sont mal dirigés, y jouent mal. On ne nous épargne aucun poncif des drames atroces dont souffrent les riches. Le tout est d'un ennui mortel. Et c'est un gâchis, car le thème pouvait intéresser, à condition qu'il soit traité avec finesse. Le spectateur que je suis se sent floué