Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Studio Magazine
par Béatrice Toulon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Florence Ben Sadoun
Prix du Jury à Cannes, ce film sombre est porté par une actrice au physique brisé.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Entre photographie glaciale, construction millimétrée du cadre, et mixage son ingénieux, elle [Andrea Arnold] confère à Red Road une ambiance délétère et oppressante, jouant habilement sur les non dits.
Paris Match
par Christine Haas
(...) Malgré une construction parfois artificielle et un dénouement improbable, la cinéaste s'impose dès ce premier film avec une signature d'une singulière puissance.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TéléCinéObs
par Charlotte Lipinska
(...) Le film séduit par l`intelligence psychologique d`un scénario qui n`abat ses cartes qu`au compte-gouttes.
Télérama
par Frédéric Strauss
D'une manière ou d'une autre, Red Road veut remuer. Certains diront : trop. En tout cas, ce film tout en tension fait plus que retenir l'attention.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain le Vern
Red Road est donc un diamant noir sulfureux qui dessine en filigrane un très beau portrait de femme que Jane Campion n'aurait certainement pas renié (...) et révèle le talent d'une artiste qui n'a pas peur de se cogner à l'indicible, aux fantasmes interdits, aux aspérités de la vie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
A l'image de son héroïne, Red Road, prix du Jury à Cannes, est d'abord mal-aimable. (...) Insensiblement, émotion et humanité reprennent le dessus (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-François Rauger
L'intérêt du film est ailleurs que dans son simple récit. Il est dans la mise en scène très maîtrisée et dans la façon dont certaines séquences isolées prennent une authentique épaisseur par leur durée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Porté par un vrai sens de l'incarnation, ce premier film écossais opère une fine et tangible progression dans la perception des personnages et constitue, au final, une bonne surprise.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gilles Renault
Où l'on assiste, bien qu'imparfaite, à l'émergence d'un concept, d'une réalisatrice et de deux comédiens (dont une comédienne) pour le prix d'un seul et même film. Autant dire, avec en ruban un prix du jury au dernier Festival de Cannes, qu'on a déjà connu pire investissement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un sujet riche au départ, mais dont Andrea Arnold atténue trop vite la portée, en le réduisant à une simple (!) et parfois peu crédible opération de vengeance.
Première
par Isabelle Danel
Il faudra suivre avec attention le parcours d'Andrea Arnold et de sa comédienne Katie Dickie, masque en apparence impassible qui vous bouleverse d'un hochement de tête.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Alex Masson
Premier volet d'une trilogie initiée par Lars Von Trier, Red Road a souvent l'air d'une délocalisation des thématiques fétiches du Danois (...) Peut-être même en plus brillant, puisque Andrea Arnold y ajoute une vision moins théorique de la réalité d'aujourd'hui (...).
La critique complète est disponible sur le site Score
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Film bancal. Ambitieux, mais ne sachant que faire de cette ambition. Piétinant au lieu d'avancer. Andrea Arnold ne manque pas d'idées, mais après, pour les agencer et en tirer quelque chose, c'est plus compliqué. Elle a des idées, mais pas une idée, une seule, qui conduirait le film. Or un film réussi, c'est avant tout un film qui a une idée, et qui la suit comme un fil.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
le film, qui s'enferre dans le déterminisme et le moralisme, n'est qu'un banal mélo social aux oripeaux modernistes.
Positif
par Fabien Baumann
Red Road déçoit un peu. Gêne un effet de déjà vu : ces écrans, ce voyeurisme, cette incommunicabilité, ces souffrances enfouies, Egoyan en a parlé, et mieux encore, il y a longtemps déjà.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cahiers du Cinéma
par Hervé Aubron
Arrivant à son terme, le scénario s'affiche comme un grand bluff (...)
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Prix du Jury à Cannes, ce film sombre est porté par une actrice au physique brisé.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Entre photographie glaciale, construction millimétrée du cadre, et mixage son ingénieux, elle [Andrea Arnold] confère à Red Road une ambiance délétère et oppressante, jouant habilement sur les non dits.
Paris Match
(...) Malgré une construction parfois artificielle et un dénouement improbable, la cinéaste s'impose dès ce premier film avec une signature d'une singulière puissance.
TéléCinéObs
(...) Le film séduit par l`intelligence psychologique d`un scénario qui n`abat ses cartes qu`au compte-gouttes.
Télérama
D'une manière ou d'une autre, Red Road veut remuer. Certains diront : trop. En tout cas, ce film tout en tension fait plus que retenir l'attention.
aVoir-aLire.com
Red Road est donc un diamant noir sulfureux qui dessine en filigrane un très beau portrait de femme que Jane Campion n'aurait certainement pas renié (...) et révèle le talent d'une artiste qui n'a pas peur de se cogner à l'indicible, aux fantasmes interdits, aux aspérités de la vie.
Le Journal du Dimanche
A l'image de son héroïne, Red Road, prix du Jury à Cannes, est d'abord mal-aimable. (...) Insensiblement, émotion et humanité reprennent le dessus (...).
Le Monde
L'intérêt du film est ailleurs que dans son simple récit. Il est dans la mise en scène très maîtrisée et dans la façon dont certaines séquences isolées prennent une authentique épaisseur par leur durée.
Les Inrockuptibles
Porté par un vrai sens de l'incarnation, ce premier film écossais opère une fine et tangible progression dans la perception des personnages et constitue, au final, une bonne surprise.
Libération
Où l'on assiste, bien qu'imparfaite, à l'émergence d'un concept, d'une réalisatrice et de deux comédiens (dont une comédienne) pour le prix d'un seul et même film. Autant dire, avec en ruban un prix du jury au dernier Festival de Cannes, qu'on a déjà connu pire investissement.
Ouest France
Un sujet riche au départ, mais dont Andrea Arnold atténue trop vite la portée, en le réduisant à une simple (!) et parfois peu crédible opération de vengeance.
Première
Il faudra suivre avec attention le parcours d'Andrea Arnold et de sa comédienne Katie Dickie, masque en apparence impassible qui vous bouleverse d'un hochement de tête.
Score
Premier volet d'une trilogie initiée par Lars Von Trier, Red Road a souvent l'air d'une délocalisation des thématiques fétiches du Danois (...) Peut-être même en plus brillant, puisque Andrea Arnold y ajoute une vision moins théorique de la réalité d'aujourd'hui (...).
Chronic'art.com
Film bancal. Ambitieux, mais ne sachant que faire de cette ambition. Piétinant au lieu d'avancer. Andrea Arnold ne manque pas d'idées, mais après, pour les agencer et en tirer quelque chose, c'est plus compliqué. Elle a des idées, mais pas une idée, une seule, qui conduirait le film. Or un film réussi, c'est avant tout un film qui a une idée, et qui la suit comme un fil.
L'Humanité
le film, qui s'enferre dans le déterminisme et le moralisme, n'est qu'un banal mélo social aux oripeaux modernistes.
Positif
Red Road déçoit un peu. Gêne un effet de déjà vu : ces écrans, ce voyeurisme, cette incommunicabilité, ces souffrances enfouies, Egoyan en a parlé, et mieux encore, il y a longtemps déjà.
Cahiers du Cinéma
Arrivant à son terme, le scénario s'affiche comme un grand bluff (...)