Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Brazil
par Eric Coubard
Gloire à la photographie de Luca Bigazzi, ses cadrages splendides et ses choix audacieux. Son génie vient appuyer ici les perpétuels mouvements fluides et nerveux du réalisateur. Une musique parfaite en couleurs et diversité (...) nous entraîne dans un film riche, déconcertant et étonnant.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
par Eric Loret
De l'ouvert, il y en a plein dans ce scénario pourtant tout ficelé (car shakespearien) : Sorrentino manie le coq-à-l'âne avec joie, l'hallucination lynchienne, le lanternement à la Van Sant, sur fond de pâmoison diluée façon cinéma asiatique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Alexandre Zalewski
(...) le film de Sorrentino oscille entre clip survolté et comédie baroque aux accents felliniens. Il en rajoute dans les contrastes et joue la profusion de saveurs pour mieux nous étourdir.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Score
par Léonard Haddad
(...) Sorrentino réactive une tradition de comédie italienne qui mêle regard social, mélancolie, tendresse et férocité, en la nourrissant d'imagerie clip, de musique chic (...) et d'une certaine frime technique.
La critique complète est disponible sur le site Score
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Vous allez aimer le détester, vous allez détester l'aimer et, pour les plus courageux d'entre vous, vous allez adorer adorer ce film punk qui hurle son dégoût du conformisme (...) L'un des films les plus malades que vous verrez cette année.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
(...) tout est laid, d'une hyperlaideur qui pourrait presque passer pour un style tant elle constitue l'unité, la cohérence même du film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Hugo de Saint-Phalle
Paolo Sorrentino (...) façonne malicieusement le portrait tragi-comique d'un parfait salaud, avare, macho, homophobe, pervers... la totale ! (...) Le souci c'est que le cinéaste italien se regarde filmer pendant deux heures (...) L'aspect caustique et sadique de l'histoire se marie très mal à cette lourde approche stylistique. C'est tout le récit qui s'en trouve déshumanisé.
Première
par Christophe Narbonne
Peu de place pour la nuance dans cette fable incontestablement étrange, parfois fascinante, mais finalement assez prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Gueran
Un film singulier dont le personnage principal cousine de façon lointaine avec la cour des miracles (...) Et c'est là où le bât blesse : Sorrentino n'a visiblement que faire de la psychologie traditionnelle et de ses conventions et ferme la porte à toute empathie.
L'Humanité
par Jean Roy
Tout cela serait bel et beau si le scénario offrait quelque intérêt dans ses développements et si la rencontre de Chirico et Molière ne ressemblait à celle d'une poule et d'un couteau.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Paolo Sorrentino lorgne du côté des Affreux, sales et méchants. Mais n'est pas Ettore Scola qui veut.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par la rédaction
Sorrentino met en scène un usurier lubrique (...) avec un luxe inutile d'angles baroques qui remet à l'honneur le style grotesque.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Vincent Thabourey
Bien qu'affreux, sale et méchant, cet ami-là nous fait regretter les authentiques comédies caustiques italiennes des années 70.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Cécile Mury
(...) Paolo Sorrentino (...) ne parvient (...) pas à créer ce petit monde triste et cocasse des éternels endettés et des détresses à la petite semaine. De plus, la mise en scène recouvre d'un prétentieux brouhaha d'images chic et choc l'intéressante petite musique de désir et de mort de son poisseux héros. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
par La rédaction
(...)ce portrait de Paolo Sorrentino, complaisant et confus, convenu et sombre, n'a que peu de rapports avec la tradition de la comédie sociale italienne à laquelle il voudrait se rattacher.
Brazil
Gloire à la photographie de Luca Bigazzi, ses cadrages splendides et ses choix audacieux. Son génie vient appuyer ici les perpétuels mouvements fluides et nerveux du réalisateur. Une musique parfaite en couleurs et diversité (...) nous entraîne dans un film riche, déconcertant et étonnant.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
De l'ouvert, il y en a plein dans ce scénario pourtant tout ficelé (car shakespearien) : Sorrentino manie le coq-à-l'âne avec joie, l'hallucination lynchienne, le lanternement à la Van Sant, sur fond de pâmoison diluée façon cinéma asiatique.
Metro
(...) le film de Sorrentino oscille entre clip survolté et comédie baroque aux accents felliniens. Il en rajoute dans les contrastes et joue la profusion de saveurs pour mieux nous étourdir.
Score
(...) Sorrentino réactive une tradition de comédie italienne qui mêle regard social, mélancolie, tendresse et férocité, en la nourrissant d'imagerie clip, de musique chic (...) et d'une certaine frime technique.
aVoir-aLire.com
Vous allez aimer le détester, vous allez détester l'aimer et, pour les plus courageux d'entre vous, vous allez adorer adorer ce film punk qui hurle son dégoût du conformisme (...) L'un des films les plus malades que vous verrez cette année.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
(...) tout est laid, d'une hyperlaideur qui pourrait presque passer pour un style tant elle constitue l'unité, la cohérence même du film.
MCinéma.com
Paolo Sorrentino (...) façonne malicieusement le portrait tragi-comique d'un parfait salaud, avare, macho, homophobe, pervers... la totale ! (...) Le souci c'est que le cinéaste italien se regarde filmer pendant deux heures (...) L'aspect caustique et sadique de l'histoire se marie très mal à cette lourde approche stylistique. C'est tout le récit qui s'en trouve déshumanisé.
Première
Peu de place pour la nuance dans cette fable incontestablement étrange, parfois fascinante, mais finalement assez prévisible.
TéléCinéObs
Un film singulier dont le personnage principal cousine de façon lointaine avec la cour des miracles (...) Et c'est là où le bât blesse : Sorrentino n'a visiblement que faire de la psychologie traditionnelle et de ses conventions et ferme la porte à toute empathie.
L'Humanité
Tout cela serait bel et beau si le scénario offrait quelque intérêt dans ses développements et si la rencontre de Chirico et Molière ne ressemblait à celle d'une poule et d'un couteau.
Le Journal du Dimanche
Paolo Sorrentino lorgne du côté des Affreux, sales et méchants. Mais n'est pas Ettore Scola qui veut.
Le Monde
Sorrentino met en scène un usurier lubrique (...) avec un luxe inutile d'angles baroques qui remet à l'honneur le style grotesque.
Positif
Bien qu'affreux, sale et méchant, cet ami-là nous fait regretter les authentiques comédies caustiques italiennes des années 70.
Télérama
(...) Paolo Sorrentino (...) ne parvient (...) pas à créer ce petit monde triste et cocasse des éternels endettés et des détresses à la petite semaine. De plus, la mise en scène recouvre d'un prétentieux brouhaha d'images chic et choc l'intéressante petite musique de désir et de mort de son poisseux héros. Dommage.
Ouest France
(...)ce portrait de Paolo Sorrentino, complaisant et confus, convenu et sombre, n'a que peu de rapports avec la tradition de la comédie sociale italienne à laquelle il voudrait se rattacher.