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Un visiteur
2,0
Publiée le 11 décembre 2011
Cà "aurait" pu être une version différente de "l'avocat du diable" situé ici dans le milieu de l'enfance. Toutes les séquences choc étaient là! Renée Z. jouait certes à contre emploi et j'ai pourtant complétement oublié que c'était Bridget Jones donc franchement çà passait. Seulement la fin du film m'a décu ou du moins on aurait pu se passer de... spoiler: même si je déteste les happy end dans les films américains, un final "dessin animé" qui était de trop mais nécessaire p'tet pour le réalisateur qui a parfaitement bien gerer les séquences d'angoisses. A voir et p'têt à oublier malheureusement.
Après un début plutôt étonnant on découvre de quoi il est question et d un seul coup on perd un peu d intérêt. Il n empêche qu il y a tout de même de belles séquences notamment celle des frelons dans la salle de bains . Un film un peu convenu mais qui tient ses promesses.
Le scénario n'a rien d'original. Une gosse malveillante de plus, et bien que Jodelle Ferland joue bien son rôle et est souvent très inquiétante, je lui préfère largement Isabelle Furhman dans Esther. Peut-être parce que j'ai trouvé le côté "possession démoniaque" un peu à côté de la plaque. Ça vire vite au grand-guignolesque, même si certaines scènes font mouche (celle des grosses guêpes par exemple, sans vouloir faire une mauvaise blague), et on arrive à une fin bien vite expédiée et surtout attendue. Quitte à voir un film sur ce sujet, préférez The Omen...
Un bon thriller qui aurait pu vraiment être réussi si il ne se perdait finalement pas dans des méandres surnaturels un peu inutile... Mais cela reste un bon thriller bien interprété et quelque peu innovant !
Lé thème des enfants diaboliques a ses fervents partisans depuis la déferlante provoquée par "L'exorciste" en 1973 et prolongée par "La malédiction" en 1976. Deux films de 2009, "Esther" et "Case 39" reviennent sur le sujet mais sans les effets gore de leur deux célèbres prédécesseurs ce qui est somme toute osé quand on connaît le goût irrépressible de notre époque pour les effets spéciaux. Les deux films sont pareillement réussis mais "Esther" a bénéficié d'un lancement relativement conséquent alors que "Case 39" a du se contenter d'une sortie directe en DVD. On se prend rapidement au jeu de cette chargée d'éducation qui prend faits et causes pour cette toute jeune fille qui semble martyrisée par ses parents. Mais l'auteur nous démontre qu'il faut se méfier des apparences souvent trompeuses qui nous font foncer tête baissée dans des solutions toutes trouvées. On pense bien sûr à Outreau. Le film est basé sur l'hypothèse assez peu réaliste que l'enfant sera prise en charge directement au domicile de l'éducatrice. Hormis cette incohérence nécessaire à la suite de l'action, le film se laisse voir avec plaisir grâce au jeu convaincant de René Zellweger et de sa jeune partenaire Jodelle Ferland particulièrement convaincante dans l'incarnation du démon.
L’échec relatif de Case 39 ne tient pas à son scénario ou à sa mise en scène, tous les deux convaincants ; de même, les acteurs s’avèrent plutôt investis. Non, il se trouve tout entier dans la lisibilité et l’explicitation de chaque situation, dans l’absence de caractérisation profonde et d’ambiance qui résulte d’une approche algorithmique de l’épouvante, soit le fait de cocher des cases, de suivre des recettes qui ont déjà fonctionné auparavant pour concurrencer l’excellent Orphan (Jaume Collet-Serra, 2009) sorti la même année et qui, lui, offre à son monstre tapi dans l’ombre une ampleur démoniaque et jubilatoire.
Ici l’image comme les personnages sont gris, les scènes se succèdent sans nécessité et semblent s’annuler les unes les autres : la séquence d’attaque dans la salle de bain, fort réussie au demeurant, est balayée une fois Doug sous terre ; celle de traque par un zombie, idem. De plus, le retournement de situation, qui se saisit d’une pauvre petite fille victime de ses parents pour la changer en bourrelle, ne se conçoit pas par paliers successifs : on le devine depuis le début. C’est dire que la mise en scène ne manifeste aucune intelligence, ne prend pas de hauteur vis-à-vis d’un spectateur avec lequel elle refuse le jeu ; elle illustre platement un récit terne qu’essaient de dynamiser des effets horrifiques déjà vus.
Case 39 vaut moins comme production que comme produit fabriqué pour s’écouler sur le marché du dvd et sur les plateformes peu scrupuleuses quant à la qualité du contenu qu’elles diffusent.
Un petit film d'épouvante plutôt sympathique, mais qui évente très vite ses effets, pour en arriver à un final façonné à la truelle. Si les acteurs, Renee Zellweger en tête, font le job avec application, la mise en scène recourt à des ficelles déjà bien usées, et l'histoire en elle-même ne réserve pas tellement de surprises. Visuellement bien troussé mais trop ordinaire pour rester mémorable, ce Cas 39 permet de passer la soirée, mais en matière d'angoisse on aura vu bien mieux avant comme après. Un bon point quand même: avoir évité le côté horrifique purement gratuit.
S'il y avait un mot qui devait ressortir de ce long-métrage de genre, ce serait manipulation. La jeune Jodelle Ferland a été parfaite pour ce rôle, et elle nous scotche littérallement. Un scénario superbement bien maîtrisé, de but en blanc, sans de scènes trop longues, sans excès d'hémoglobines, sans trop de blabla, tous les ingrédients pour passer un bon moment. Même si le sujet principal a été traité à de nombreuses reprises, il est pour le coup, dans une situation assez marginalisé. Cependant, quelle voie désagrable qu'à Renée Zellweger, peut-être vaudrait-il mieux voir le film en VF ! Tout est assez bien ammené et coordonné avec entre autre quelques bons passages sons. Je n'avais jamais entendu parler de "Case 39" et je suis tombé dessus carrément par hasard et je pense que l'on devrait plus mettre en avant ce genre de création car comme "épouvante, horreur, thriller", on joue au haut niveau. Donc, une superbe décourverte, qui je le pense, raviera les puristes. A vos écrans !
Ca commence pas trop mal, un certain mystère plane. Mais à partir du milieu du film, on tombe dans des figures convenues. Même si le réalisateur a eu l'indulgence de nous épargner les murs qui tremblent et les effets spéciaux trop appuyés, le moins qu'on puisse dire est qu'il ne renouvelle pas le thème de l'enfant diabolique, qui a déjà beaucoup servi. Ca se laisse donc voir, mais tout juste, car on devine à peu près tout ce qui va se passer. Sans compter l'idéologie de la chasse aux sorcières...
Je ne suis pas fan de Renée Zellweger mais elle m'a convaincue dans ce rôle dramatique. Quant à Jodelle Ferland, elle est tout simplement parfaite dans le rôle de cette gamine au comportement étrange, dérangeant, et terrifiant ensuite, elle m'a foutu les jetons ! "Le cas 39" est un thriller horrifique efficace qui pourrait bien vous apprendre ce que c'est que d'avoir peur ! En tout cas, si vous avez apprécié "Esther" ou "Le bon fils", vous apprécierez sûrement ce film !
J'ai beaucoup aimé! Je ne m'attendais pas à ce que le film soit si bon! Il faut dire que ce petit film horrifique joue tout au long de sa durée avec vos nerfs, et que plus le film avance et plus on a envie d'étrangler cette accorte gamine au sourire d'ange ; tandis que Renée Zellweger sombre de plus en plus dans le chaos déclenché par cette petite furie d'1m30. Seul point discutable, le final qui nous dévoile le pot aux roses de manière discutable et un brin trop facile. Mais bon, j'ai beaucoup aimé, et surtout pour ses similitudes avec "la malédiction". Pour conclure, "Le Cas 39" est une bonne surprise, un bon petit film à savourer!
J'ai eu beaucoup de mal avec Renée Zellweger qui m'insupporte avec sa voix aiguë.. du coup je n'ai aucune empathie pour ce personnage, par-contre j'adore Jodelle Ferland qui est une actrice formidable (surtout dans Tideland). Le film démarre plutôt bien, le spoiler: passage avec les guêpes m'a bien fait flippé mais ensuite ça part en eau de boudin.. ça devient ridicule, digne des plus mauvaises productions américaines. Divertissant..
Un assez bon film. Seulement ce sujet a été traité mille et une fois! Le scénario ressemble à d'autres. Une petite fille paraissant innocente cache, en réalité, un démon en elle. On anticipe les scènes, les dialogues et la scène finale! Dommage car Renée Zellweger joue assez bien son rôle d'assistante sociale. Il y a, néanmoins, du bon dans ce film "Direct To DVD"! A voir durant une soirée canapé
« Le Cas 39 » est un bon film d’épouvante, reposant sur un scénario correct, une mise en scène convenable et disposant d’un casting approprié. On aura apprécié les prestations de Renée Zellweger et surtout celle de la jeune Jodelle Ferland, qui nous aura provoqué quelques sueurs froides. Le rythme est bon, et l’intrigue est satisfaisante. On reste bien attentif durant toute la durée du film. Un bon divertissement qui aura su nous accouardir …
C’était vraiment pas mal ! L’ambiance du début et les questions sur les parents , ne nous fait pas nous douter une seconde que ça vient de cette enfant innocente . Et de plus qu’est ce qui vient en fin de compte ? Très sournois et machiavélique , vrai cillent de terreur . Pas mal