Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
AMCHI
5 926 abonnés
5 936 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 9 décembre 2023
C'est l'unique film américain du réalisateur italien Carlo Lizzani, produit par Dino de Laurentis et tourné à New York. Crazy Joe est librement inspiré de la vie du mafieux Joe Gallo qui a été abattu dans un restaurant en 1972 soit 2 ans avant le tournage de ce film. Peter Boyle l'incarne à l'écran. C'était un électron libre au sein de la mafia qui n'en faisait qu'à sa tête, il fut l'un des premiers membres de cette organisation criminelle à s'associer avec des gangs afro-américain, Fred Williamson joue son acolyte. Niveau casting ce film est pas mal notamment Eli Wallach qui joue un patron de la mafia. Toutefois malgré des qualités réelles comme ne pas vouloir glamouriser la vision des gangsters et un rythme très soutenu par contre tout va parfois trop vite, il y a un manque d'approfondissement. On est entre la série B et le film plus ambitieux. C'est le genre de film avecc lequel on s'ennuie jamais et en même temps à tout instant il manque le petit supplément qui nous marque.
Un scénario dans l'ensemble captivant et ces quelques longueurs étrillées par certains, elles ne sont que le fruit d'un parti pris par le ré que le spectateur s'imprègne de la complexité du personnage principal (confronté à des situations assez singulières dont celle avec la "sainte" des pauvres hères), le metteur en scène explore à bon escient des situations un tant soit peu banales. L'effet recherché, à savoir, accentuer et mettre en relief la violence et le désarroi de ce Joe pas est réussi. Le bougre si "crazy" recueille l'indulgence du public malgré ses exactions.
Film divertissant et bien joué. Ça casse pas des briques non plus mais l'action tient en haleine. Impressionnant de penser que l'histoire est tirée de faits réels!
Un vétéran avec des soucis, un Londres sordide, une religieuse exemplaire... Ce film commence bien. Malgré des longueurs, on ne peut que s'attacher aux personnages, et entrer dans le jeu, magnifié par les gros plans.