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Un visiteur
0,5
Publiée le 26 avril 2014
Ce film est insupportable! Jane Birkin ta vie mais cela intéresse qui, ? Tout cela m'a énervé à mort. Et j'ai quitté la personne qui ma fait voir cette daube immonde Lou Doillon GC-LDC et Adèle Exarchopoulos GP-SDB vous donnerais des envie de meurtre
Une démarche assez originale et atypique , puisqu'il s'agit d'une sorte de "psychanalyse à ciel/coeur ouvert. Au lieu de tout confier, dans l'intimité d'un cabinet sombre,à un Professionnel Jane Birkin expose l'ensemble de sa vie privée , intime, familiale aux yeux des spectateurs.;.. C'est une démarche un peu dérangeante: est-ce bien sain? en quoi cela nous concerne -t-il? On est dans le domaine de l'intime , du privé.. Pourquoi devoir se justifier , ou se guérir par cette thérapie ?? On est parfois mal à l'aise par ces confidences parfois à la limite du "trash" .. Cela ne m'intéresse pas de savoir que Doillon la trompait , était violent , et l'a fait souffrir..Tout cela c'est est très proche de la presse "people".. Il est cependant vrai que Jane est un personnage public et que de toute façon tout cela se savait déjà.;La différence pour ces personnalités publiques c'est l' exposition involontaire et/ou volontaire au Médias.. Le film vaut surtout, au delà de cette ambiguité , par la magnifique intreprétation des acteurs . Là , Jane prouve une magnifique capacité de direction d'acteurs : Piccoli, Girardot , Benichou , Lou, tout le monde est "au top" et donne corps à cette "fausse fiction" ,Et cela donne la 2e étoile au film qui n'en aurait mérité qu'une.. On est comme dans un tableau de Magritte représentant une pipe : " Ceci n'est pas la vie de J.B."
J'ai vu Boxes ce matin et j'ai profondément aimé... J'ai eu un petit peu peur, au début du film, je me sentais un peu exclu de cette histoire dont je ne fait pas partie et j'étais un peu désarçonné par la fantaisie surréaliste et un peu bordelique du film... Et puis tu m'as cueilli, comme une fleur... La tournure plus sombre que prends le film au bout d'un moment m'a fait captif et cette histoire - si personnelle - a trouvé des échos dans la mienne : elle est finalement si universelle... La scène entre Lou Doillon et Maurice Bénichou (Charlotte et Serge) est sublime et distille une vraie émotion qui va crescendo jusqu'au dénouement. D'ailleurs, chaque dialogue père/fille dans le film est un monument d'émotion et la scène où toutes les générations de femmes se retrouvent et s'enlacent est une splendeur... Les douloureuses scènes avec John Hurt (John Barry) et Natacha Regnier m'ont bouleversé et la dernière scène d'Annie Girardot m'a tant ému... Piccoli (Daddy), Chaplin (Ma) et toi (Jane) êtes magistraux... Lou est étonnante en "Camille/Charlotte" et tous tes ex-maris sont au diapason, Tcheky Karyo (Doillon), Maurice Bénichou (Gainsbourg), John Hurt (Barry)... Ce film sur les boites est lui-même en forme de boîte et à force de se pencher sur le passé, il ressemble parfois à un testament... J'espère donc que tu vas bien... Mais le dernier plan est plein d'espoir et je ne pense pas que tu sois comme la tante Maud enfermée dans le congélateur... Alors je vous souhaite, à toi et à toute tes familles (de cinéma comme de la vie), un bon vent, un joli voyage et, à ce film courageux, intime et touchant, une longue carrière !
Un film à la fois attachant et sympathique (j'ai toujours beaucoup aimé Jane Birkin et sa spontanéité) en même temps qu'ennuyeux par moments et un rien trop farfelu. Trop d'artifices tuent l'émotion.
VOICI UN FILM DE JANE BIRKIN OU JE ME SUIS ENNUYER A FOND. JE N'AI REGARDER QUE LA PREMIERE DEMI HEURE TELLEMENT J'AI TROUVER LONG ET INSIGNIFIANT CETTE HISTOIRE DE FANTOMES
Film un peu loufoque, avec une "gentille folie" dans les personnages. On assiste à une suite de questions existentielles (ai-je été une bonne mère ?...) que se pose une femme arrivée à un certain age. Femme entourée de plusieurs générations, de plusieurs personnes qui ont compté dans sa vie : parents, amants, filles. Joli film.
On a ici un film déroutant où Jane Birkin sublime aussi bien en tant qu'actrice que de réalisatrice/scénariste. Car c'est bien elle qui transparait à travers "Anna, 50 ans, qui emménage dans sa nouvelle maison du bord de mer en Bretagne". Elle fait à travers ce film une sorte d'introspection sur elle-même: sa vie amoureuse avec ses 3 maris, sa vie de mère avec ses 3 filles (dont un décallage avec la présence de Lou Doillon qui joue en fait le rôle de Charlotte Gainsbourg dans la vraie vie). Ce film fait ainsi penser à un puzzle qu'il faut assembler petit à petit. Cependant s'il s'agit bien d'un film autobiographique, la non connaissance de la vie de Jane Birkin peut poser problème quand à la pleine compréhension du film. Ce fut mon cas, j'ai malgré tout passé un bon moment de cinéma.
L'idée est magnifique! Et les acteurs sont là pour accomplir cette idée. Mais y a un truc qui manque à la mise en scène, qui râte un peu le film. Un peu de nonchalance peut- être mal appropriée! Pourtant une authenticité intéressante, sans vouloir en faire trop rend le film charmant et comique à la fois. Il fallait juste mieux travailler la mise en scène mais on ne peut pas lui en vouloir, c'est son premier film! Bon quand même!
Ai-je l'esprit trop fermé? Je n'ai pas réussi à rentrer dans les "boxes" de Jane Birkin, trop intime pour moi. Les personnages ne m'ont pas touché, j'ai frolé l'ennui bref ce film n'etait pas pour moi !
Le film en soi n'est pas mal réalisé, la trame est d'ailleurs plutôt bien pensée. Cependant ce qui chagrine un peu c'est que l'histoire racontée paraît assez personnelle, et, à moins de s'y retrouver, le film manque cruellement d'intérêt... Bref, j'en ressort mitigé.
Dommage que cette façon de raconter, théâtrale, maniérée finalement, puisse rebuter d'entrée de jeu... Fort heureusement, après les artifices diminuent. Intéressant portrait de la quinqua équilibrée mais curieusement boulimique d'hommes et d'enfants, et qui se demande quoi faire de sa propre peau au tournant de la ménopause. On rentre parfois un peu trop dans les souvenirs intimes, conciliabules, explosions suivies de bisous-bisous... Il n'empêche qu'au final, Jane Birkin reste l'attachante personnalité que l'on sait, d'une générosité qui s'est élargie en dehors de la famille, la sécheresse de coeur, elle en est loin !
j'avais pas toutes les clefs pour aller voir ce film... j'ai essayer et j'ai a regret du quitter la petite salle ou il etait projetait !! pardon mme birkin mais j'ai pas aimer !! une execption !!pour lou doilon ....
Il y a tout juste vingt ans, Agnès Varda venait nous éclairer sur l’artiste Birkin à travers le documentaire « Jane B vu par Agnès V ». Oeuvre malicieuse où l’actrice chanteuse se montrait tour à tour légère, torturée, passionnée. Elle évoquait alors a vie de femme, d’actrice, sa famille, ses passions… Elle y apparaissait lumineuse, fraîche, futile et rayonnante. La même Birkin nous propose aujourd’hui une variation ambiguë et macabre sur le même thème. Elle se met aux commandes pour mettre en scène une espèce d’autobiographie sans pudeur, entre fantasmes de règlement de compte et déballages tout azimut. A l’image de ce qui se passe dans sa tête, au moment T du film (sa séparation d’avec Jacques Doillon), la maison qu’elle investit est pleine de boîtes de souvenirs et de fantômes vivants ou morts. Un parfum de nostalgie fielleuse et de naphtaline amère envahit tout. Ca part dans tous les sens, c’est parfois poussivement bavard, mais au final, l’œuvre témoigne d’une véritable détresse qu’elle seule saisit. De celle qui fait passer les larmes pour de l’apitoiement sur soi… Touchante et prenante cette œuvre s’immisce peu à peu dans notre esprit voyeur. Elle peut rebuter ou séduire. Pour ma part je me place dans la seconde catégorie.