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(...) Jane Birkin s'y révèle une belle cinéaste (...) D'emblée, l'expression des sentiments les plus forts se teinte de cocasseries surréalistes, quelque part entre Buñuel et Arsenic et vieilles dentelles.
Certains seront peut-être énervés par ce déballage intime. On peut aussi apprécier la liberté avec laquelle l'actrice et réalisatrice convoque ses fantômes et saluer la façon dont elle fait, l'air de rien, son autocritique (...)
Narcissisme ? Mais que font tous les auteurs du monde, sinon, toujours, parler d'eux-mêmes ? Indécence ? Sûrement pas (...) Par moments, c'est vrai, l'humour british de Birkin s'affadit et l'absurde qu'elle recherche âprement la fuit. Mais c'est dans la tendresse vulnérable qu'elle excelle (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'ensemble appelle une sympathie de toute manière éprouvée pour sa réalisatrice, laisse supposer quelque chose de joyeux et d'ému dans la fabrication du film - rien pour autant qui en fasse d'avantage que l'addition de ses composants.
C'est un peu triste, car le film n'a rien de superficiel, il est incontestablement habité mais trop facilement conforté dans ses certitudes, engoncé par les multiples références qui l'empêchent de se déployer.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'économie des moyens est au service de l'intimité du récit (...) Boxes confirme la place singulière de Jane B. Quelque part entre Angleterre en France, entre chanson et cinéma, entre naturel et sophistiqué, entre réel et fiction.
(...) une comédie qui nous touche tous (...) Dommage que Jane Birkin ne tienne pas jusqu'au bout cet état d'esprit léger qui peu à peu cède devant des tonalités plus sombres et bavardes.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Au coeur d'une mise en scène plus théâtrale que cinématographique, une Jane Birkin androgyne et "franglaise" offre en spectacle sa quête d'apaisement avec une nostalgie à fleur de peau. Elle signe une oeuvre singulière, aussi agaçante qu'émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le charme anglophile de ce journal intime réside dans une posture de distanciation à la fois magique et comique, et le refus systématique de toute dramatisation.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Birkin (...) ne craint ni de travailler à vif ses cicatrices, ni de filmer des corps vieillissants et d'abord le sien, ni de pallier par une mise en scène aussi passionnelle qu'inventive la faiblesse de ses moyens.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dans ce psychodrame mou, le spectateur n'a qu'une envie : s'en aller sur la pointe des pieds. De toute façon, personne ne s'occupait de lui. Ces boîtes, c'était des cartons sans invitation.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Qui a osé laisser une caméra entre les mains de Jane Birkin? La célébrité est-elle une raison suffisante pour s'improviser réalisatrice? Je peux hélas confirmer que non.
La critique complète est disponible sur le site Metro
L'Humanité
(...) Jane Birkin s'y révèle une belle cinéaste (...) D'emblée, l'expression des sentiments les plus forts se teinte de cocasseries surréalistes, quelque part entre Buñuel et Arsenic et vieilles dentelles.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
TéléCinéObs
Certains seront peut-être énervés par ce déballage intime. On peut aussi apprécier la liberté avec laquelle l'actrice et réalisatrice convoque ses fantômes et saluer la façon dont elle fait, l'air de rien, son autocritique (...)
Télérama
Narcissisme ? Mais que font tous les auteurs du monde, sinon, toujours, parler d'eux-mêmes ? Indécence ? Sûrement pas (...) Par moments, c'est vrai, l'humour british de Birkin s'affadit et l'absurde qu'elle recherche âprement la fuit. Mais c'est dans la tendresse vulnérable qu'elle excelle (...)
Cahiers du Cinéma
L'ensemble appelle une sympathie de toute manière éprouvée pour sa réalisatrice, laisse supposer quelque chose de joyeux et d'ému dans la fabrication du film - rien pour autant qui en fasse d'avantage que l'addition de ses composants.
Chronic'art.com
C'est un peu triste, car le film n'a rien de superficiel, il est incontestablement habité mais trop facilement conforté dans ses certitudes, engoncé par les multiples références qui l'empêchent de se déployer.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
On peut trouver la démarche un peu narcissique, mais Jane Birkin y met une sincérité inquiète, fantasque et touchante.
Libération
Le film devrait plaire aux fans, les autres trouveront l'exercice d'une excentricité un rien forcée.
MCinéma.com
L'économie des moyens est au service de l'intimité du récit (...) Boxes confirme la place singulière de Jane B. Quelque part entre Angleterre en France, entre chanson et cinéma, entre naturel et sophistiqué, entre réel et fiction.
Ouest France
(...) une comédie qui nous touche tous (...) Dommage que Jane Birkin ne tienne pas jusqu'au bout cet état d'esprit léger qui peu à peu cède devant des tonalités plus sombres et bavardes.
Paris Match
Au coeur d'une mise en scène plus théâtrale que cinématographique, une Jane Birkin androgyne et "franglaise" offre en spectacle sa quête d'apaisement avec une nostalgie à fleur de peau. Elle signe une oeuvre singulière, aussi agaçante qu'émouvante.
Positif
Le charme anglophile de ce journal intime réside dans une posture de distanciation à la fois magique et comique, et le refus systématique de toute dramatisation.
Première
Birkin (...) ne craint ni de travailler à vif ses cicatrices, ni de filmer des corps vieillissants et d'abord le sien, ni de pallier par une mise en scène aussi passionnelle qu'inventive la faiblesse de ses moyens.
Brazil
Qui a osé donner une caméra à Jane Birkin, qui ?
Le Journal du Dimanche
(...) une oeuvre singulière, indubitablement personnelle, mais trop inégale, narcissique et impudique pour emporter une totale adhésion.
Le Monde
Tentative d'autofiction foutraque, le film est essentiellement un avatar de plus de la marque Birkin.
L'Obs
Voici un film "sincère". Autrement dit : alerte rouge, tous aux abris, les femmes et les enfants d'abord.
Le Parisien
Dans ce psychodrame mou, le spectateur n'a qu'une envie : s'en aller sur la pointe des pieds. De toute façon, personne ne s'occupait de lui. Ces boîtes, c'était des cartons sans invitation.
Metro
Qui a osé laisser une caméra entre les mains de Jane Birkin? La célébrité est-elle une raison suffisante pour s'improviser réalisatrice? Je peux hélas confirmer que non.