Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Brazil
par Eric Coubard
Le feu sous la peau (...) possède un certain esprit indépendant et rock (...) le scénario est assez décalé et violent. [le film] évoque des sujets graves (...) tout en gardant une dérision et en pratiquant un humour noir de bon ton.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Positif
par Pierre Eisenreich
Bien que la direction d'acteurs soit convaincante, la réalisation plutôt habile se cantonne dans un premier degré illustratif, réduisant les protagonistes à leur intérêt événementiel.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Cécile Mury
Tout l'intérêt de ce jeu de massacre, de facture un peu trop tape-à l'oeil (...) est là : dans la présence physique teigneuse, poissarde de ce personnage féminin déglingué, interprété avec une rage convaincante par la jeune Emily Barclay. Défoulant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cette équipée sauvage, version australienne (...) est plombée par de pseudos interviews télévisuelles des proches de la destructrice, qui accentuent le caractère grotesque du récit.
Le Monde
par Thomas Sotinel
C'est beaucoup pour une seule femme, fût-elle incarnée par une comédienne aussi enthousiaste que la jeune Emily Barclay (...) Car lorsqu'il essaie de donner un peu de profondeur à son récit (...) il verse dans une démesure inopérante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Malgré son agitation forcenée, le film n'assume pas ses excès et se veut réaliste, voire sociologique (...) Le cinéma australien peine à jouir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La rédaction
Un sanglant mélodrame australien déjanté, qui fonce avec le tempérament de la jeune Emily Barclay. Mais, même au plus fort de la dérision du second degré, c'est lourd et dur à avaler.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Le portrait d'une mère-fille en pleine dérive, condamnée dès les premières minutes par un script démonstratif et une mise en scène pataude.
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Ni fable féministe, ni critique sociale, ni portrait psychiatrique, on se demande bien à quoi sert ce futur flop austral.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Tourné souvent à l'épaule, par facilité, tapissé de rock et voulu rock, le film ne part nulle part et ne mène à rien (...) Il n'est pas interdit, dans un film, de s'occuper de narration, de personnages et de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Dès les premières minutes du film, le spectateur est plongé dans un calvaire qui durera 90 minutes. La réalisation, laide comme un mauvais clip, ne laisse aucun répit, tandis que les oreilles sont constamment agressées par une bande son pseudo branchée vite épuisante. Ne parlons même pas du scénario.
Première
par La Rédaction
Cette histoire d'une manipulatrice parricide se la joue trash, mais nous rappelle surtout qu'en anglais, trash veut dire poubelle.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Dépourvu de la moindre rigueur, le résultat repose sur le vide et se roule dans une fange provocatrice avec une certaine complaisance (...) D'un bout à l'autre, le film est juste ridicule.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Brazil
Le feu sous la peau (...) possède un certain esprit indépendant et rock (...) le scénario est assez décalé et violent. [le film] évoque des sujets graves (...) tout en gardant une dérision et en pratiquant un humour noir de bon ton.
Positif
Bien que la direction d'acteurs soit convaincante, la réalisation plutôt habile se cantonne dans un premier degré illustratif, réduisant les protagonistes à leur intérêt événementiel.
Télérama
Tout l'intérêt de ce jeu de massacre, de facture un peu trop tape-à l'oeil (...) est là : dans la présence physique teigneuse, poissarde de ce personnage féminin déglingué, interprété avec une rage convaincante par la jeune Emily Barclay. Défoulant.
L'Humanité
Cette équipée sauvage, version australienne (...) est plombée par de pseudos interviews télévisuelles des proches de la destructrice, qui accentuent le caractère grotesque du récit.
Le Monde
C'est beaucoup pour une seule femme, fût-elle incarnée par une comédienne aussi enthousiaste que la jeune Emily Barclay (...) Car lorsqu'il essaie de donner un peu de profondeur à son récit (...) il verse dans une démesure inopérante.
Les Inrockuptibles
Malgré son agitation forcenée, le film n'assume pas ses excès et se veut réaliste, voire sociologique (...) Le cinéma australien peine à jouir.
Ouest France
Un sanglant mélodrame australien déjanté, qui fonce avec le tempérament de la jeune Emily Barclay. Mais, même au plus fort de la dérision du second degré, c'est lourd et dur à avaler.
TéléCinéObs
Le portrait d'une mère-fille en pleine dérive, condamnée dès les premières minutes par un script démonstratif et une mise en scène pataude.
Cahiers du Cinéma
Ni fable féministe, ni critique sociale, ni portrait psychiatrique, on se demande bien à quoi sert ce futur flop austral.
Chronic'art.com
Tourné souvent à l'épaule, par facilité, tapissé de rock et voulu rock, le film ne part nulle part et ne mène à rien (...) Il n'est pas interdit, dans un film, de s'occuper de narration, de personnages et de mise en scène.
MCinéma.com
Dès les premières minutes du film, le spectateur est plongé dans un calvaire qui durera 90 minutes. La réalisation, laide comme un mauvais clip, ne laisse aucun répit, tandis que les oreilles sont constamment agressées par une bande son pseudo branchée vite épuisante. Ne parlons même pas du scénario.
Première
Cette histoire d'une manipulatrice parricide se la joue trash, mais nous rappelle surtout qu'en anglais, trash veut dire poubelle.
aVoir-aLire.com
Dépourvu de la moindre rigueur, le résultat repose sur le vide et se roule dans une fange provocatrice avec une certaine complaisance (...) D'un bout à l'autre, le film est juste ridicule.