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chrischambers86
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2,5
Publiée le 5 octobre 2018
Chantage, passion et meurtre! Un thriller français qui ne renouvelle pas le genre mais qui se laisse facilement voir dans un train ou dans un appartement design même s'il n'a pas vraiment contentè les spectateurs à sa sortie en 88! C'est le premier long-mètrage de Miguel Courtois et c'est à seulement 27 ans que le rèalisateur espagnol dèvoile sa « Preuve d'amour » qui s'inscrit dans l'air du temps des annèes 80! Le style de cette dècennie est bien là avec une bande son à coup de saxo! Gèrard Darmon incarne un critique de cinèma fumant clope sur clope dont l'animal de compagnie est un camèlèon qui se nomme Hypocrite! Moue boudeuse et mystèrieuse, Anaïs Jeanneret est très belle, plus belle encore quand elle joue à poil! Heureuse èpoque [...] Quelques incohèrences dans le scènario mais on se laisse prendre par l'histoire malgrè une fin convenue! A noter que le film (redècouvert sur les ècrans de tèlèvision grâce à la VOD) est dèdiè à Michel Auclair, mort quelques semaines après le tournage...
Découvert grâce au service à la demande qu'offre le satellite. Et franchement, ce film, j'aurais préféré ne jamais le découvrir... Voilà ce que le polar français peut offrir de pire. On est en plein dans les années 80. L'esthétique est bien typée avec cette couleur criarde bleue qui revient à plusieurs reprises. Et la musique aussi. Ou du saxo ou une basse volumineuse. Mais bon, finalement, là n'est pas le problème. Le problème, c'est tout le reste. A commencer par l'intrigue. C'est tout simplement incompréhensible. La fin du film arrive qu'on ne sait toujours pas qui a servi à quoi. Et qu'on ne me dise pas que c'est fait exprès. C'est juste décousu et complètement bidon. La réalisation, on en parle même pas, sous peine d'avoir des mots durs envers Courtois. Et puis l'interprétation, c'est un peu nul aussi quoi. Anaïs machin est très belle; c'est sûr, mais c'est bien tout ce qu'elle a. Malheureusement. La présence de Gérard Darmon dans un truc pareil ne me chagrine pas plus que ça. Par contre, ça me fait mal au coeur d'y voir Jean Rougerie et surtout Michel Auclair qui interprétait, qui plus est, son dernier rôle au cinéma. C'est bien dommage pour un acteur de cette trempe que de finir une telle carrière sur un tel navet. Oui, je dis bien navet. Car si potentiel nanardesque il y avait, on ne se marre jamais. On oublie cette piteuse contribution.