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Un visiteur
0,5
Publiée le 24 juillet 2010
Noémie Lvovsky que l'on savait douée et fan de Truffaut,réussit là une comédie très réussie..Une invention de tous les instants..Une séquence animée extra..Marielle et Azéma en super-forme..Un régal d'intelligence et un ton d'une rare liberté
Le seul conseil à donner à tous afin d' économiser du temps et de l' argent : c' est de fuir ce film ! Quel décalage avec la critique positive de la Presse Ce film n' a pas de sens . On se demande ce que certaines scenes grottesques veulent démontrer ?! l' histoire de l'accouchement ?/ celle du tank? Bref : Quelle deception terrible
Une veritable HORRREUR ...comment ose -t-on parler d'un film? ...il s'agit simplement d'une succession d'annecdotes sans lien...degoutantes bien souvent ...Nous avons perdu notre temps !
Un film comique français avec un Jean-Pierre Mariel en pleine dance m'a divertit avec cet humour grinçant. Il y a des situations très réussies dommage que le film s'éssouffle comme un gateau qui a failli à être très bon !
Naze de chez naze! Lvovsky manque totalement de générosité et d'amour envers ses personnages qui sont loufoques mais pathétiques (à l'opposé des pesonnage de Little Miss Sunshine). Azema minaude comme d'habitude, il n'y a aucune profondeur psychologique des personnages, aucune construction dans le scénario, dans la salle silence glauque, personne ne riait. Les jeunes :la fille de Marielle sont égoistes ou à l'ouest: Elmaleh, les vieux ne pensent qu'à eux et n'ont absolument aucune spiritualité que l'âge pourrait leur donner. La scène de l'accouchement dans la bibliotèques est totalement irréaliste. Bulle Ogier est géniale comme d'habitude mais On sort du film totalement déprimé de ce bout d'humanité déplorable. Si c'est çà la vieillesse, au secours!
Déception! JP.Marielle et Sabine Azema sont biens, mais tout ça reste inintéressant. La bande annonce est ce qu'il y a de meilleur dans ce film : franchement, ça ne vaut pas le coup de voir le reste.
Je suis allé voir ce film sans en connaître le contenu et je l'ai découvert (en avant première, sèche) progressivement... Certains morceaux sont déroutants (scène du dictateur, course des haies), d'autres hilarants ou bien sentis (comme l'accouchement, les rencontres). A fait sourire et rire une personne à tendance "déprime". A revoir
dramatiquement triste, absolument rien d'attachant et d'intéressant.....du cinéma qui fait perdre 9euro par personne......je n'inviterai personne à aller voir ce film et pourtant j'aime beaucoup Pierre Marielle et Sabine Azéma
"Faut que ça danse" est une dialectique entre l'ancien et le nouveau, un jeu cinématographique sur la réversibilité du passé et du présent. La vraie jeunesse est du coté des vieux (Jean-Pierre Marielle et Sabine Azéma, qui ont la fragilité des monuments hors d'age, détiennent à eux seuls toute l'ame du film), la névrose de fixation sur le passé échoit à la jeunesse (Valéria Bruni-Tedschi en proie à l'hystérie revancharde pendant que son compagnon endosse l'anonymat d'un profil gris muraille). La dialectique devient historique quand le vieux Marielle s'enveloppe d'un drapeau français dans un musée de la Résistance où passe l'ombre de de Gaulle, en revant d'avoir assassiné Hitler. C'est lorsque la grande histoire se nourrit d'oubli et d'illusion que la vie peut éclore, dans l'innoncence du devenir et l'indifférence à la morale (Marielle se moque aussi bien de sa famille vivante que de ses ancetres morts). Le film emprunte à Woody Allen (micro-coupures des séquences, scène du baiser, musique de Jazz), à Charlie Chaplin (Le Dictateur), et c'est un Sinatra en noir et blanc qui ramène un vieil égoiste à la danse. "Quand on a plus assez de musique en soi pour faire danser la vie", notait Nietzsche. Du face à face entre la jeunesse réactionnaire du ressentiment et la vieillesse cynique de la jouissance ne pouvait surgir aucun "coup de théatre"... Bulle Ogier en amnésique fantasque était dès le départ la véritable morale d'un film qui semble n'en donner aucune. Soient les trois figures existentielles de Nietzsche, le chameau (Bruni-Tedeschi, précisément...), le lion (Marielle), et l'enfant (Ogier): l'enfant seul incarne cet éternel retour du meme ou l'oubli est la source d'une éternité baignée de la lumière du Grand Midi (Bakary Sangaré). Film nietzschéen ? Marielle et Azéma qui décident de choisir leur tombe faute d'avoir un enfant démentent toute possibilité de lecture univoque: sont-ils pathétiques ou admirables, ces deux jeunes vieillards ? Sont-ils vivants ou morts ?
Meme si il y a une véritable fantaisie dans ce film,tout ceci est vraiment trop décousu pour vraiment intéressé.On assiste à une succession de petits sketches plus ou moins réussis(le personnage de Bulle Ogier est de trop alors que la relation Marielle/Azéma assez irrésistible).Malheureusement on s'ennuie souvent dans ce film(scènes de reves complétement ratés).
Qu'est-il arrivé à Noémie Lvovsky ? La cinéaste sensible de "La Vie ne me fait pas peur" s'englue dans une bluette indigeste à la fantaisie laborieuse, dans laquelle le kitsch de certaines séquences (le meurtre de Hitler) se mêle à une succession de saynètes à l'humour décalé bien lourd. En dépit d'une mise en scène gracieuse, voici encore le prototype d'une oeuvrette parisianiste surestimée !
Une horreur ! Rien d'intéressant, aucun scénario, aucune chute ou morale, des acteurs souvent agacants ... Aie ! Ce que j'en ai pensé à chaud en sortant de la salle, c'est: Sans parler de l'argent, comment peut-on oser demander aux gens d'investir 2 heures de leur temps pour voir un truc pareil ? Et quand je vois les critiques de la presse, sans vouloir provoquer de polémique, y'a du copinage la dessous, c'est pas possible autrement.