Derniers Avis : Faut que ça danse ! - Page 7

Un bien joli film plein de poésie, de joie, d'innocence et de bonne humeur (même si c'est parfois un peu bourru !). Les personnages sont parfaitement écrits et on s'attache à tous avec un plaisir immense. Marielle est géant et Valéria adorable et plus belle que jamais. Cependant les scènes de rêve semblent inutile et surtout pas toujours compréhensibles, elles cassent le rythme du film. Dommage le genre de film à qui j'aurais aimé mettre plus.

En 1986, Fellini sortait son « Ginger et Fred », l’histoire de deux artistes vieillissants grands admirateurs du célèbre couple Astaire/Rogers. Cela donnait un film mélancolique et amer sur la vieillesse, le temps passé… Dans le film de Noémie Lvovsky, la fascination autour de grand acteur/danseur est la même mais le discours général à l’opposé. Salomon (Jean pierre Marielle impérial !) est une espèce de Fred qui cherche sa Ginger, il est tonique pour ses 80 ans et n’a aucune honte à dire qu’il est encore un jeune homme. Le bal est ouvert ou plutôt un festival de situations cocasses et burlesques qui tournent autour de Salomon et de sa famille. Sa fille d’abord qui refuse de grandir et rêve toujours d’épouser papa, son épouse qui est partie décrocher les étoiles depuis 25 ans totalement azimutée, la femme de sa vie toujours en attente avant que n’arrive Violette. Le comique de situation repose ici sur l’environnement ou le hasard qui vient frapper les personnages dans des circonstances très décalées et provoque souvent le rire. Le ton général aussi reste corrosif, tout à tour la Shoah, la maladie, la solitude, l’intolérance seront exposées au rire. C’est parfois un peu lourd mais toujours bon enfant. Par contre ce qui est imparable, ce sont les acteurs. Derrière Marielle, on trouve un Bulle Ogier hilarante et totalement à contre emploi, une Azéma très fleur bleue et délicieuse. Mais aussi une kyrielle de troisièmes couteaux excellents qui composent le cinéma français depuis des années : Daniel Emilfork, Tsilla Chelton, Michèle Gleizer ou encore Rosette.

D'une nullité incroyable !!!! J'ai jamais vu un film aussi nul !!! je peux vous dire que les 10 personnes qui étaient dans la salle , ont fait scandale au Gaumont des Champs Elysées !!!! aucune histoire, débile, choquant même !!! HALLUCINEE PAR LA NULLITE DU FILM !

J’ai beaucoup de respect pour Noémie Lvovsky , mais je dois dire que «Faut que ça danse » manque cruellement des ingrédients nécessaires à une bonne comédie (scénario solide, psychologie des personnages fine et crédible, répliques percutantes). Ce film se résume à une succession de saynètes se voulant cocasses, mais qui se révèlent en fait d’une affligeante platitude, quand elles ne sombrent pas carrément dans le ridicule (la scène de l’assassinat d’Hitler, grotesque).
Mais le plus stupéfiant dans tout ça, c’est le concert de louanges saluant la sortie en salle.
Passe encore pour les critiques dithyrambiques de spectateurs dans « Allociné », tout le monde a compris depuis longtemps que leur objectivité était loin d’être garantie.
Mais que des journalistes professionnels attribuent la note maximale à cette oeuvrette, nous incitant à la ranger sur l’étagère des chefs d’œuvre entre Stanley Kubrick et David Lynch, cela laisse rêveur et amène à se poser certaines questions : Est-ce pur copinage parisianiste ? Ou bien est-ce le fruit de réseaux plus occultes ?
Je me fais donc un devoir, pour contrebalancer cette supercherie, de décerner ZERO ETOILE à ce film inepte.

Pas mal du tout.
Les situations hilarantes, les acteurs très naturels dans leur rôles.
J'ai passé un très agréable moment.

Après "Les sentiments", la perle française de 2003, Noémie Lvovsky revient derrière la caméra pour une comédie consacrée à la famille et à l'identité. Un film fantaisiste et grave à la fois sur la douleur du passé et l'absurdité du présent, où se côtoient la comédie américaine légère des années 50 et le drame ironique à la française. Grâce à un casting première classe (Jean-Pierre Marielle plus séducteur que jamais, Valeria Bruni-Tedeschi d'une grande justesse et Sabine Azéma jouissive) et un sens du rythme étonnant (musique entraînante, dialogues piquants et intelligents, imprévisibilité scénaristique) "Faut que ça danse!" - qui porte bien son nom - est une comédie hilarante, tonique et imperturbable, osée et réfléchie (le meurtre d'Hitler, d'une finesse humoristique rare!). Malgré un humour qui tourne à vide pendant les 20 minutes de la moitié du film, cette tendre hystérie communicative propose un discours amusé du passé qui ressurgit quotidiennement et de la fin qui s'approche ; avec humour et pudeur, la réalisatrice brosse des portraits attachants de personnages excentriques mais pourtant normaux, cachant sous leur normalité la peur d'une existence qui s'éteint ou de fantômes qui reviennent. Bref, une comédie subtile et brillante sur la mémoire, le passé, les liens familiaux et l'identité. Une belle manière de rire face à la gravité des thèmes exposés, d'un humour construit avec justesse et sensibilité. Jusqu'au plan final, sérieux, beau, puissant, qui prend source du contraste avec les scènes précédentes, et de l'aspect vital de cette comédie qui consiste, au final, à rire de la mort, passée ou future. Un beau moment de cinéma, fragile et robuste, drôle et touchant, noir et blanc.

Beaucoup de bons moments, mais on se demande ce que viennent faire toutes ces scènes hyper glauques. Personnellement je m'en serais bien passée, et je ne vois pas trop ce que celà apporte, à part peut être la scène de l'assassinat d'Hitler.. et encore..

Le type même du film qui permet de se faire une opinion des gens. Il y a ceux qui n'ont rien compris, ceux qui détestent (parce qu'ils n'ont rien compris), les irréductibles de la comédie à la française niaise... et enfin il y a ceux qui apprécient l'humour décalé, les situations loufoques et les situations acadabrantesques... ceux-là ont passé un bon moment et j'en fait partie!

Très joli film, comédie sur la folie légère, des personnages qui ont compris qu'un pas de danse est le seul remède à la tristesse du monde.
La mise en scène n'est pas toujours à la hauteur du scénario très écrit et bien dialogué, mais on est embarqué par des comédiens exceptionnels que la réalisatrice regarde avec amour et tendresse.

Noémie Lvovsky crée la surprise avec sa comédie burlesque Faut que ça danse ! Entre questionnements et peurs de l’inconnu ou de s’engager, cette comédie « dramatique » aborde aussi différents thèmes, sérieux ou graves, toujours avec une touche de légèreté et d’humour, le tout en musique !
Un humour noir certes, mais drôle et moqueur, comme cette hilarante scène avec un Hitler mégalomane qui entre dans sa chambre pour se coucher et enfile un très « mignon » pyjama (fous rires assurés) avant que le héro ne vienne mettre un terme à son existence. Autres séquences rigolotes, celle du suicide et enfin, chez l’assureur.
Fort de ses répliques et autres séquences bien marrantes, la réalisatrice surprend (on s’attendait plus à du dramatique que du comique), avec une distribution, plus qu’alléchante, où l’on retrouve Jean-Pierre Marielle, Valeria Bruni Tedeschi, Sabine Azéma, Bulle Ogier & Arié Elmaleh. A noter aussi, l’apparition trop furtive de Tsilla Chelton (l’odieuse Tatie Danielle d’Etienne Chatiliez).

je trouve le film d'une tres grande fraicheur, on s'amuse beaucoup, les personnages sont drolissimes et magnifiquement interprétés, c'est une vraiment un tres bonne surprise.

Un film vivant, des dialogues qui font sourire, des acteurs en verve, quelques scènes franchement réjouissantes. On reste toutefois un peu sur sa faim, dommage car j'avais beaucoup aimé son dernier film "les sentiments".

jean pierre Marielle est extra-ordinaire dans un film d'une nullité hors norme.

Je suis surprise de voir tant de critiques presse élogieuses. J'ai trouvé ce film franchement ennuyeux. Les personnages ne sont ni crédibles ni attachants. Plus déprimant que drôle au final ...

Un film agréable, drôle et qui fait du bien.
Un film de femme où l'on constate que les femmes paient le tribut social comme épouse, comme amante, comme fille, comme mère, mais qu'après tout chacun des deux sexes a besoin de l'autre.
Une comédie french touch, où beaucoup de situations sont coquaces: le suicide de Sabine Azéma, l'accouchement dans la bibliothèque de Valeria Bruni Tedeschi, (mais j'ai du mal avec son surjeu limite pathos), la danse de JP Marielle.(Arie Elmalhe est confirme qu'il est mauvais acteur)
Une comédie de la mort et de la vie, traitée avec la désinvolture propre aux rescapés des camps.
A voir donc.