Un film peu convaincant au scénario qui manque parfois de clarté. Quelques moments de peur réussis malgré un jeu globalement moyen de la part de John Cusack.
C'est sur, John Cusack dans un film, c'est jamais l'idéal. Mais ici heureusement l'acteur principal ce n'est pas lui c'est le décor, et bon diable, qu'est ce qu'il joue bien.
Tiré d'une nouvelle de Stephen King (que j'ai lue mais dont je ne me souviens pas grand chose), ce film est vraiment réussi. L'intimité de la pièce est vraiment oppressante. La première partie nous plonge vraiment dans l'angoisse. Néanmoins, le film perd un peu de son ambiance sur seconde partie. L'ensemble est bien filmé et agréable à voir. Bon le scénario est difficile à juger pour un film de ce genre. John Cusack est plutôt convainquant, quant à Samuel Jackson, son rôle est vraiment secondaire... Bref on retrouve un Stephen King plutôt bien retranscrit et qui, perso m'a vraiment beaucoup plu !
Bien que le film est intéressant avec parfois des bons moments de frisson, je me demande que fait de tel acteurs dedans (l'argent?) ! En tout cas il n'en reste pas moins que l'histoire possède de nombreuses similitudes de scénario avec beaucoup d'autres films dans se genre. Entre-autres, jouer avec le rêve pour berné le téléspectateur et rallonger un film en manque d'inspiration sur la fin.
Conseil: C'est un film à voir, mais de la à le conserver, je ne crois pas.
Stephen King n'est pas loin pour le scénar', il n'a plus le monopole de l'épouvante maintenant, et la il nous montre son essoufflement je trouve.
Petit bémol, le titre: 1408 Le jour ou un 13ème étages possède une chambre commencent par 14** posez-vous la question si vous ne vous êtes pas trompé d'étage. De plus pour un étage ou le bouton de l'ascenseur 13 n'existe pas, je trouve qu'il y a beaucoup d'occupant!(femme de ménage, mère de famille, même un réparateur s'invite) Et freeman le monte en personne trop fort
Aller bon courage, vous ne resterez pas plus d'une heure dans se film!
Dès l'entrée du personnage dans la fameuse chambre, un train fantôme se met en marche et entraîne le spectateur au cœur d'un film angoissant, rythmé, et au final réussi.
Un premier tiers de film accrocheur mais sans plus se terminant par la scène de la rencontre John CUSACK/Samuel L. JACKSON, un peu gênante dans sa transition et sa rupture de ton humoristique. Le deuxième tiers qui voit les convictions du héros vaciller est quant à lui très très efficace: réalisation sobre, effets old school, John CUSACK impeccable. Malheureusement le dernier tiers du film sombre lamentablement dans le tout psychologique soit grand-guignolesque dans sa tentative de mettre en images les angoisses du protagoniste, soit par trop larmoyante pour être honnête : en tout cas cela rend l'ensemble du film terriblement décevant.
Basé sur une nouvelle de Stephen King du même nom, ce film en promettait beaucoup, pour finalement offrir des bonnes surprises et des déceptions. En effet le film ne bénéficie d'un début transcendant, au contraire il a tendance à commencer comme un vulgaire téléfilm sans intérêt, ce qui peut pousser le spectateur à ne pas poursuivre le visionnement. Seulement, une fois ces longs passages passés, l'entrée du personnage principal dans la chambre 1408 du Dolphin rend le film plus consistant. D'ailleurs on comprend mieux l'utilité de certaines scènes précédentes à cette entrée dans la chambre maudite. La grande qualité du film se trouve dans l'opposition de deux idées radicalement opposées : l'existence du surnaturel ou non. Ainsi, en donnant au film un héros refusant toute croyance au surnaturelle ou à Dieu ( car au final ces deux visions sont très liées dans les croyances humaines ) cela a pour effet d'accentuer la réalité de ce qui se passe dans cette chambre, et donc de pousser son personnage principal et le spectateur à changer sa propre vision du surnaturel et de l'existence de l'au-delà, de Dieu et du diable. Finalement on se rend compte que le point du fort reste son scénario entre-mèlant différentes idées et mis en scène de façon très classique par Mikael Hafstrom. Effectivement ce dernier reste dans une certaine tradition cinématographique qui sied très bien au scénario, seulement sa réalisation est truffé de maladresses. Le film met du temps à démarrer :la durée de Mike Enslin dans la chambre 1408 n'excède pas la moitié du film, et toute la partie amenant le héros à visiter cette chambre d'hôtel est maladroite. Le réalisateur a ainsi trop développer l'histoire du personnage principal à défaut de développer l'intrigue autour de la chambre. Ce film adapté d'une nouvelle de Stephen King souffre d'un très gros déséquilibre qui poussera les fans de film d'épouvante à passer leur chemin. Le réalisateur s'est trompé de registre, à trop vouloir développer un film psychologique, il a tué le côté épouvante que l'on attendait au vue de la lecture du synopsis : dommage ce film avait un sacré potentiel.
Un film long, certes parfois angoissant mais qui finalement ne parvient pas à effrayer. L'idée est pourtant bonne mais très largement sous exploitée. Si vous voulez regarder ce film dans l'objectif de vous faire peur, vous pouvez passer votre chemin. 2.5/5 et c'est cher payé pour un film classé épouvante horreur.
filmé dans un lieu unique et principalement porté par un seul acteur, John Cusack, cette adaptation d'une nouvelle de Stephen King se révèle efficace, sans pour autant casser des briques.
John Cusack est un bon acteur, (heureusement!), puisqu'il sauve carrément le film. Ce dernier, est souvent confus, brouillon, on ne voit pas le bout, et on se demande quand est ce que ce cauchemar un peu trop long se finira enfin. Une bonne idée, moins bien exploitée que ce que je pensais.. Bref, déçue du spectacle.