une bonne fausse bande annonce tel que le rotisseur , ou the fatties. avec un magistrale kevin sardet. pêre noel vs prédator est une parodie hillarante faite par allocine. à voir aussi sa tourne pour allocine ( avec la petite voix et la grosse voix ) , et alerte rouge( avec coach et grégou) .
Une idée orginale et amusante au service d'un manque de moyens qui rend le film encore plus drôle. en somme, un beau pied de nez aux blockbusters du même genre tel que "Darth Vader vs Hannibal".
Pour le fun et le délire, cette fausse bande-annonce avec Kevin Sardet dit le coach (l'émission Allociné Merci Qui ?), en père noël est assez amusante sans vraiment trop l'être. Bon on perçoit très bien que les effets spéciaux à la fin sont dérisoire (explosion, le personnage Predator).
Excellent! Mais on en veut plus! Le Predator va en prendre pour son grade. A tous les coups, le "chasseur d'Alien" sera bientot coaché façon vieux barbu a coups de pied au cul, et ça va filer droit! Hein mon bonhomme!
Dieu que c'est mauvais. Et ça date de 2005. Merci Allociné pour cette nouvelle preuve que tout ce qui vient de ce site est à chier. Mais c'était pas la peine, vous prêchez inconvertible, on était au courant. Au fait, c'est quand que vous répondez à mes mails de menace ?
En 1989, René Manzor avait amené la figure du Père Noël dans le cinéma d'angoisse avec "36.15 Code Père Noël" (dont Patrice Chéreau préparerait un remake intitulé "www.pere-noel.fr"). En 2006, le réalisateur Al Hocine Ay choisit d'aller encore plus loin en orchestrant un duel absolument titanesque. Malgré l'absence de neige nous sommes le 24 décembre (ou le 1er avril mais c'est ça la magie du Cinéma). Après une année de préparation physique intense, le barbu débonnaire démarre sa tournée rue du Louvre, dans les modestes locaux d'une entreprise sur Internet. Soudain un frisson lui parcourt l'échine. Il sent une présence inhabituelle... Est-ce le rédacteur en chef, à une heure aussi tardive ? Ou alors un technicien acharné en train de corriger un bug ? L'homme en rouge l'aurait souhaité, car en réalité c'est un impitoyable prédator qui a décidé d'en faire sa proie ! Le scénario habile imbrique un drame à deux niveaux : d'une part la terreur d'un homme poursuivi par un monstre, d'autre part le désespoir de Yoann Sardet qui risque de ne pas avoir son camion de pompiers à l'heure. Opposition de style annoncée, "Père Noël vs. Predator" ne déçoit pas son cinéphile. La première demi-heure du film, lorgnant sur "Die Hard", tient le spectateur en haleine. La longue traque se prolonge dans le bois de Boulogne, on tient là la plus belle poursuite depuis "Seven". Réalisés avec le concours du Ministère de la Défense, les effets de caméra thermique accentuent le malaise. Vous en frémirez. Les auteurs du film revendiquent leur passion pour Rambo (le troisième essentiellement) et Sylvester Stallone a accepté d'être conseiller technique. Ça se voit. De la promo efficace on retiendra tous le percutant : "Ce soir il passera en r'tard". Cependant, SPOILER, lorsqu'on comprend que désormais c'est le prédator qui assurera la distribution de joujoux, on se dit qu'on ne verra plus jamais Noël du même oeil. Un climax aussi étonnant que bouleversant donc. Le plus grand survival depuis "Delivrance".
Une fausse bande-annonce qui donnerait presque envie de voir ce merveilleux blockbuster sur grand écran, le père Noël assurera certainement la relève de Schwarzenegger avec brio face au terrible Predator.
Le manque de moyen de ce chef d'oeuvre de la bande annonce, est en parfaite accord avec le fond (et les tréfonds) du mini film : sobre, et inpitoyable dans son message ! Un réalisateur qui faut suivre de pres ! J'attends avec impatiente la suite, enfin la prequelle, enfin, ce qui suite !