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bibtar
31 abonnés
598 critiques
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2,5
Publiée le 28 février 2013
Bien sur qu'il faut se remettre à l'époque pour pouvoir juger au mieux la qualité de réalisation ainsi que le montage, et il est vrai que le tout n'est pas trop mal rendu à l'écran, en faisant abstraction bien sur du côté dépouillé qu'arbore le film, mais qui est voulu afin de conserver cette volonté de réalisme instaurée. Évidement la caméra à l'épaule est la meilleure façon de rendre les mésaventures effrénées de ce dealer qui ne pense pas plus loin que ça propose personne, et de cette façon donne un aspect vif et speed aux différentes scènes. Les personnages ne font pas acteurs, et c'est sûrement ici que repose la clé du film, tout semble vrai, jusqu'à la violence dans le milieu qui parvenait a choquer de par sa réalité. Mais sinon, ce type de film ne semble pas apporter de nouveauté, au moins pour le 1er volet de la trilogie, et parfois se rapproche bien trop de grand film de ce style et de la même époque, comme "requiem for a dream". Pas grand chose permet d'accrocher totalement l'attention et encore moi pour en faire une référence. Par contre il est compréhensible que le film est été apprécié, au moins pour ses qualités de narration simple et sans artifice, ainsi que le rendu de réalisme apporté, surtout par un montage plutôt maîtrisé.
On m'avait dit : " c'est un des meilleurs films de ces dernières années" , mais là j'avoue qu'il y a un truc que je pige pas! Ce film est lent, mal filmé - surement délibérément - même si je saisis pas trop pourquoi...Ok ça a le mérite de nous montrer un peu le milieu du trafic de drogue, des gens qui sniff et se piquent, mais à part ça je vois pas pourquoi les critiques presses l'ont encensé de la sorte....:(
c'est une énorme trilogie une des meilleur de tous les temps on ne rentre pas de le sentimentalisme mais c'est trés intéressant de rentrer de cette maniére la dans la tête des criminel . On peut voir ce qu'il ressente, leurs envie, leur désir et leurs crainte .A voir et à revoir
Pusher est une claque cinématographique tout simplement ! Violent , sombre , réaliste , Nicolas Winding Refn propose un film coup de poing a voir absolument , la mise en scene est génial et l'histoire juste excellente on ne décroche pas du début a la fin . Par contre la VF est tres moyenne favorisez la VO pour ce film .
Nicolas Winding Refn frappe fort pour son premier long métrage. Celui-ci dépeint l'histoire d'un dealer danois qui peine à rembourser sa dette auprès d'un grand trafiquant de drogue. Le réalisateur nous plonge donc dans un univers violent retranscrit de manière crue et sans fioritures. Magistralement intreprété et supporté par un choix judicieux de musique, ce premier volet de "Pusher", que je ne qualifierai aps de chef d'oeuvre, a néanmoins tout d'un grand film.
Pusher est une plongée réaliste dans la petite criminalité , l'énorme point fort réside dans la qualité naturelle des acteurs (Pusher a permit de révéler Madds Mikkelsen) et la tension grandissante de l'histoire. En effet, le début du film m'a laissé un peu indifférent, c'est filmé comme un amateur et il se passe pas grand chose mais la succession d'évènements très maîtrisé de Nicolas Winding Refn nous permet à nous spectateurs de ne pas décrocher du film une seule seconde. Sombrement génial , NWR casse l'image charismatique du trafiquant de drogue toujours sur son 31 , c'est donc forcément plus réaliste. Ajouté à cela des acteurs qui étaient tous inconnus, un réalisateur presque tout autant et une façon de filmé proche de l'amateurisme mais bien évidemment voulu et on a presque d'avantage l'impression d'être en face un docu hyper prenant qu'un film. Culte dans son genre.
Énorme trilogie qui est celle de "Pusher". L'histoire est intéressante et bien construite, les acteurs sont grandioses et nous font vivre un univers fait de violence et sans-pitié. Premier film de cette trilogie, "Pusher" donne le ton à cette univers de mafia. Construit légèrement comme un reportage et aussi ( en parlant de la trilogie ) comme pour "Le Parrain", Nicolas Winding Refn réalise là un de ses meilleur film ( avec Drive ) que j'ai vu jusque là ! Un bijou de 7ème art.
Enorme trilogie qu'est Pusher. Même si elle n'est pas encore très connue, sans aucun doute qu'elle deviendra culte d'ici quelques années. Histoire à chaque fois terrible, avec des acteurs au top interprétant de sacrées gueules du banditisme. Ici les dealers sont en training, la dope est dans des sacs en plastiques, leurs vies ne font pas rêver, ça reste misérable, on les plains. Ca change de ce qu'on peut voir à travers la majorité des films américains où tout le monde il est beau,propre, bien coiffé, en costard, playboy de surcroît, bien accompagné,où la drogue est bien servie dans des valises en cuir. Rien de tout ceci ici, on aimerait pas être à leur place. L'idéal est de s'enfiler les 3 films à la suite pour rester dans l'ambiance mais ce n'est pas un film pop-corn, donc pas spécialement accessible à tout le monde, il n'y a pas spécialement de scènes trash sauf à la fin du dernier volet où âmes sensibles s'abstenir, mais globalement ça reste assez sombre et réaliste. A voir naturellement en VO pour bien savourer les dialogues danish.
Montage nerveux, filmé caméra à l'épaule dans un Copenhague crasseux lieu de tous les trafics avec des acteurs excellents mention à Frank (Kim Bodnia) et à Milo (Zlatko Buric) Le tout avec une bo qui colle bien avec l'ambiance poisseuse et glauque du film. Une première claque de NWR dédiée à la mafia danoise.
Nicols Winding Refn commence sa filmographie par ce "Pusher" de bonne qualité annonçant une trilogie intéressante, qui perdra tout de même en intensité sur les prochains volets. Mads Mikkelsen est méconnaissable et trouve un rôle particulièrement bon ainsi que son acolyte Kim Bodnia qui campera le rôle principal. Le trafic danois avec ses dealeurs et sa pseudo-mafia mis en scène de façon réaliste et moins explosif que nos confrères américains. "Pusher" est plutôt bien construit et promet au réalisateur une belle carrière. La force de cette trilogie est de nous présenter et de nous faire suivre 3 personnages différents, occupant chacun le 1er rôle d'un épisode. Pour ma part, le 1er mérite d'être vu pour son style et sa nouveauté, les 2 suivants ne sont pas indispensables.
Premier film de Nicolas Winding Refn, premier volet de la trilogie et premier rôle important pour Mads Mikkelsen, Pusher nous entraîne dans le milieu de la drogue au Danemark. Très influencé par le cinéma anglais dans son approche des personnages, le film reste profondément danois dans son histoire et dans sa réalisation. En effet, le film est sombre et la réalisation, tourné majoritairement caméra à l'épaule, apporte ce coté percutant typique du cinéma danois. L'histoire de son coté reste assez classique pour ce type de film (un dealer se fait coffrer et doit rembourser ses fournisseurs) mais le style Refn impose ici un film puissant, porté par un casting de qualité. La musique, peu présente, fait malgré tout quelque apparition sous forme de métal, rythmant certaine séquence de façon à leur donner un impact plus important. Au final, Winding Refn début sa carrière avec un film de gangster efficace qui laissait déjà augurer su meilleur pour ce réalisateur qui à depuis, su trouver sa place dans le cinéma.
Comme j'avais cinq heures de libre devant moi, je me suis dit pourquoi pas se faire toute la trilogie "Pusher" du futur réalisateur de "Drive", film que j'ai beaucoup aimé, à la suite puisque je n'avais que ça a foutre. Alors premier volet... Il faut pas longtemps pour deviner qu'on va suivre un trafiquant de drogue et qu'il va être dans la merde. Le tournage réaliste en caméra portée réussit à maintenir l'intérêt lors d'une première demi-heure un peu trop décousue mais une fois notre type bien dans les emmerdes jusqu'au cou, l'adrénaline monte d'un coup pour lui en même temps que l'attention du spectateur. On reconnait déjà la patte du cinéaste rien que par sa façon de suivre ses acteurs de dos.
Ayant vu Drive , Bronson et Le geurrier silencieux il mettais oblige de voir la trilogie Pusher ! Je commence par dire que je ne suis vraiment pas fan de film de drogues ou d'action en general ...Mais ce film que regale ! Le film est filme camera a l'epaule , donc la camera bouge beaucoup , perso. cela ne ma pas du tout derange ! Au contraire ! Je trouve que c'est la touche personnelle au film et cela apporte vraiment du realisme au film ! Parce que le film est vraiment realiste et ca c'est rare d'en voir des films qui en ont autant ! Les acteurs sont vraiment exellents , il jouent parfaitement leurs roles , il choquent eux aussi par leur realisme ! Petite deception , j'ai adore Mads Mikelen dans ce role ! Mais on n'a la pas vu asser ... Franchement meme si vous n'etes pas fan de ce genre de film , n'hesitez pas ! Il vous surprendra !
Le premier volet de la trilogue Pusher est très réaliste, loin du glamour et des clichés qu'on peut retrouver dans certains films américains. Porté par un excellent casting, et notamment par le duo Kim Bodnia/Mads Mikkelsen (Frank/Tonny), des dialogues très bien écrits, Pusher se démarque clairement des autres films du genre.
Premier volet d'une trilogie qui ne sortira que dix ans plus tard en France, « Pusher » est souvent considéré comme le moins bon des trois épisodes. Pourtant, malgré un scénario plutôt classique, celui-ci frappe déjà fort en matière d'intensité et d'enjeux réels, d'autant que Nicolas Winding Refn opte pour des choix de mise scène particulièrement radicaux. Exploitant remarquablement un budget restreint, celui-ci montre beaucoup d'audace et parvient rapidement à accrocher notre attention sur ce truand minable, qu'un style quasiment amateur blindé d'images saturées vient suivre dans ces moindres mouvements. Ce choix permet ainsi de rendre presque attachant un personnage pourtant fort antipathique, car tellement seul et poursuivi par une poisse indescriptible qu'on ne peut que compatir parfois, d'autant que sa quête désespérée d'argent pour payer une dette offre souvent une belle densité à cette tragédie moderne, s'appuyant sur beaucoup de références tout en gardant systématiquement une identité propre. Bref, malgré quelques baisses de rythme, « Pusher » fait forte impression dans un Copenhague quasiment filmé comme une inquiétante ville fantôme : une réussite.