Un film étonnant et extrèmement réaliste! Dès la première seconde, on est plongé dans l'univers malsain de la drogue et aspiré pendant 1h40 dans un film très bien rythmé! Excellent à voir absolument!
Un excellent film dans le milieu de la drogue, on voit comment sa peut tourner dans ce monde la. on s'ennui à aucune seconde. Vraiment une réussite, ya du potentiel dans les films Danois Suedois
Mélange entre les meilleurs Scorcese (bienvenue dans la mafia), Requiem for a dream (la descente aux enfers) et Sin City (tous pourris!), Pusher frappe très très fort! Servi par un casting ultra-crédible, un scénar en béton armé et une réalisation au plus près des personages, voila un film qui va rester dans ls mémoires. Et dire que la suite est encore mieux....
ce film est vraiment super avec une ambiance pesante du début à la fin, on est à fond dedans quoi, pas mal aussi la façon dont c'est filmé, alors pourquoi à un super film selon moi je met 2 étoiles, et bien tout simplement à cause de la fin qui arrive beaucoup trop rapidement, on reste vraiment sur notre faim, on se dit bon alors qu'est-ce qu'il va faire maintenant pour s'en sortir et paff, on nous claque les écritures de la fin, alors voilà vraiment déçu mais ça vaut le coup de le voir à coup sûr.
Premier volet d'une trilogie de Nicolas Winding Refn sur le banditisme. Jamais un film n'a dépeind le milieu criminel avec tant de justesse et de réalisme. Les préstations de Kim bodnia et Mads Mikkelsen contribuent beaucoup à la réussite du film.
Un film à part, tourné de façon presque "amateur" et à voir en VO absolument. De très bons acteurs, on se trouve véritablement dans l'action et si en sortant on se trouve un peu abasourdi, en y repensant on trouve ce film très bien conçu et diablement efficace !
Cette saga est un chef-d'oeuvre. Tourné de manière hyper-réaliste, Pusher 1 est peut-être le meilleur film de la trilogie de Nicolas Winding Refn. Ce talentueux réalisateur fait bel et bien parti de la nouvelle école danoise de cinéastes (voir aussi le réalisateur de "festen", en autre): style amateur, pas de maquillages, pas de spots lumineux utilisés... On est plongés dans le monde de la drogue et de la criminalité à travers quelques personnages passionnants. Le film est sombre et violent mais ne tombe jamais dans le trash, ou même la simple provocation. Un film de gangster (pour moi le meilleur jamais vu), mais qui aborde sans le dire beaucoup de sujets différents. Cest dans ce sens que Pusher peut se rapprocher de La Haine, dans le cinéma français. Le scénario est parfait, et pusher est très bien rythmé. On se familiarise avec deux dealers de Coppenhague, Frank et Tonny, puis les ennuis commencent rapidement. Le film est divisé en journées, puisque lhistoire dure le temps dune semaine, qui se révèle dailleurs très mouvementée. On sent ainsi dautan t plus la fatalité qui pèse sur les personnages. L'ambiance du film est fantastique. Kim Bodnia, Zlatko Buric, Mads Mikkelsen sont nés pour jouer dans ce Pusher. La B.O. est de plus excellente.
A voir absolument! Un film sur le milieu de la drogue qui se focalise sur certains protagonistes. Des personnages ni noirs, ni blancs, attachants malgré leur nombreux défauts ...
Sur un univers inlassable visité et revisité et qui ne cessera de l'être tant il est au coeur sombre de nos sociétès. Pusher à de très nombreuses qualités, notamment ses acteurs jouant admirablement avec conviction et détermination. Une série de portraits de cailleras tous aussi pathétiques les uns autant que les autres. Tous capable du pire comme du plus pire. Nous plongeons au coeur de la noirceur de la drogue, prostitution, dealers, proxénètes, tortionnaires en tout genres, mais surtout de sombres abbrutis de tous accabis aux faciès effrayant que pour rien au monde nous voudrions croiser et que pourtant nous cotoyons sans doute chaque jour. Brrrr !
Des contraintes horaires m'ont fait découvrir le premier épisode de le série après le dernier. D'après l'affiche, on peut voir les films dans n'importe quel ordre. Oui, sauf qu'en 10 piges, le réalisateur a pris du galon, et, on a beau essayer de faire abstraction de ce qu'on a vu avant, cet opus, tout en restant intéressant, ne souffre pas la comparaison avec Pusher 3. On suit cette fois un petit dealer sur une semaine, de ses tournées passées à débiter tout un tas de conneries, à ses relations gâchées avec une amie junkie, en passant par ses coups fumeux. Le film pose les bases de la série : générique présentant les personnages éclairés en plongée au son d'un rock épique, style documentaire, univers récurrent du traffic de drogues diverses et variées, introduction de protagonistes amenés à prendre de l'importance dans le reste de la série... Erreur de jeunesse (?), le réalisateur en fait peut-être un peu trop dans les dialogues (Reservoir dogs était passé par là), mais, globalement, le film passe bien. On a de la chance de voir la trilogie sortir au cinéma (fût-ce dans une combinaison de salles ridicules), et, pour apprécier le 3 à sa juste valeur - qui est grande !, la vision préalable des deux autres opus est indéniablement un plus, aussi, si vous êtes amateur de polars poisseux et avez un peu de temps devant vous, faites-vous l'intégralité de l'oeuvre, vous en le regretterez pas.
Un film rare, c'est certain, pas absolument convainquant notamment dans sa fin, mais extrêmement humain. Les personnages qu'il fait vivre sont d'une humanité véritable, il est impossible de les haïr ou de les mépriser, pas vraiment non plus de les aimer. Mais le réalisateur nous fait ressentir une véritable empathie pour ce dealer minable, pour son "ami" serbe ou bosniaque, pour son copain à qui il casse la gueule sans doute injustement, pour sa mère, à peine entre-aperçue... Bref, tous sont pathétiques de nullité, tous n'ont qu'une envie c'est de sortir de cette boue, mais aucun n'est capable d'arriver à se fixer d'autre but dans la vie que le fric. L'argent roi, il est là, dans ce milieu où aucune relation humaine d'aucune sorte ne vient surpasser le fric en importance : c'est le fric qui rend les individus, isolés comme des monades, amis ou ennemis, c'est le fric qui les rend forts ou faibles, heureux ou malheureux, doués d'amour ou d'un égoïsme absolu. Enfin, la mise en scène et les mouvements de caméra très proches du corps, avec une image souvent surexposée facilitent cette empathie du spectateur. Très fort.
Pusher 1 raconte la vie mouvementée dun caïd, un dealer raté. On suit son périple de jour en jour étalé sur une semaine. Il doit beaucoup dargent à son trafiquant Serbe et va tout tenter pour le rembourser, en vain. Un premier long-métrage, réalisé tout de même en 1996 et qui va donner lieu, presque dix ans plus tard, à deux autres suites (Pusher 2 - 2004 & Pusher 3 - 2005). Pusher (qui signifie dealer) se transforme donc en une trilogie. Et ce nest pas plus mal, car à en voir le potentiel de ce premier opus, on a fort à parier que les deux autres seront aussi réussis. Une descente aux enfers dans un monde de dealer où tout ce qui compte, cest largent et lhéroïne. Entre rail de coke et règlement de compte, Nicolas Winding Refn assure, nous rappelant par la même occasion certains films de Guy Ritchie ou encore Les Affranchis (1990) de Martin Scorsese.
N'a d'autre interet que voir le milieu d'un dealer. Un film violent, qui malheureusement ne mène a rien. Je suis resté complètement exterieur au film. Un univers trop loin du mien pour que je puisse m'y integrer. Un monde trop loin de mon Utopie... Je ne veux pas détruire mes rêves, je ne veux pas voir un monde comme celui là. Cependant, le film est très bien réalisé.