Mon compte
    Pusher
    Note moyenne
    3,7
    4519 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Pusher ?

    301 critiques spectateurs

    5
    71 critiques
    4
    125 critiques
    3
    57 critiques
    2
    36 critiques
    1
    8 critiques
    0
    4 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Jadeliro
    Jadeliro

    22 abonnés 750 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 janvier 2012
    Pusher est une plongée dans le monde de la délinquance, de la drogue et de la violence. Un univers mille fois traité, mais Nicolas Winding Refn, le réalisateur, sort des sentiers battus en adoptant des plans tournés à l'épaule, et une violence assez crue. J'ai trouvé intéressant la façon dont le sujet est traité, avec des personnages errants et dénués de sens moral, le tout dans une ambiance sordide. Il est vraiment dommage que l’image ne soit pas digne d’un film sur grand écran, et que l’intrigue soit somme toute classique.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 27 février 2012
    Une plongée hyperréaliste dans la criminalité de Copenhague. Une réalisation très efficace, des acteurs impeccables, un suspense haletant, des décors et une musique qui s'intègrent parfaitement à l'ensemble. Un très bon film qui laisse espérer deux suites de grande qualité.
    matt240490
    matt240490

    83 abonnés 1 062 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 janvier 2012
    Adaptation du réalisateur de l'excellent Drive mais du navet Valhalla Rising, Pusher est sorti en 2006 et est le premier d'une trilogie danoise. Annoncé par mon entourage comme le meilleur des trois, je me dis que la saga ne doit pas être si bonne que cela, si même ce premier opus est .... moyen. Non seulement l'accrochage pour le film prend du temps et est longue mais en plus la fin rivalise de nullité avec L'Ultime Razzia de Kubrick ! Après un évènement des plus énervants qui réussit à gâcher tout un film, voilà que Winding Refn décide de laisser une fin ouverte à tous. Pour un film de ce genre, c'est carrément désespérant. De plus, bien que la violence ravive parfois l'intérêt dans le film et que la musique métal nous fasse bondir, peu de choses dans le métrage réussit vraiment à nous tenir éveillé... Pari raté.
    Guillaume182
    Guillaume182

    130 abonnés 1 194 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 décembre 2011
    Bon moi je vous le dis directement les histoires de petits voyous qui se drogues et passent leurs temps à se battre ou à faire des deals en général ça me gonfle très vite!

    Surtout de nos jours ou le sujet a été exploités des centaines de fois.

    Hormis quelques dialogues répétitifs et sans interêt au début du film Bodnia et Mikkelsen qui parlent de cul :-/ ( on à compris que c'était des hommes), l'intrigue deviens plus vite intéressante au milieu du film.

    Angoissant nerveux Winding Refn film ses acteurs caméra à la main d'une manière très maîtrisé dans un contexte social très actuel!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 décembre 2011
    Je met 5 étoile parcequ'il s'agit de la première oeuvre de Nicolas Winding Ref. L'oeuvre qui le fera connaître à tous les cinéphiles du monde entier : Plus de 3 millions de personnes ont vu la trilogie Pusher dans le monde.
    Le film est un pur bijoux de noirceur.
    L'histoire de Frank, petit dealer sur qui le destin va s'abattre et dont l'issue du film nous laisse dans l'incertitude la plus totale.
    Ce qui marque dès les premières minutes : c'est cette introduction en ralenti sur les visages des personnages. Une marque de fabrique que l'on retrouve chez Refn dans ses 4 premiers films.
    La caméra porté donne un côté réaliste à l'ensemble, sans donné une tonalité documentaire pourtant. Les péripéties s'enchaînent naturellement, et parceque la mise en scène est efficace, tout nous paraît extrèmement crédilbe.
    Pusher I, c'est un coup de poing au regard de la production actuelle des films, un film viscéral.
    Julien D
    Julien D

    59 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 novembre 2011
    Une oeuvre puissante, ultra réaliste, et captivante de bout en bout. La mise en scène, qui utilise la musique et les lumières de façon pertinente (ce sera également le cas dans d'autres films du réalisateur) est tout simplement énorme et les acteurs sont d'un naturel saisissant. Nicolas Winding Refn signe là un pur chef d'oeuvre et ses films suivants le confirmeront comme un metteur en scène majeur. A voir absolument.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 octobre 2011
    C'est un vrai bon film. C'est même assez impressionant pour un 1er film. On vois deja les lignes de forces et les recurrence du cinéma de Refn (la violence fulgurante, les personnage sombre et trés lourd...) Le scénario est un peu classique mais il se tiens bien. Le jeu d'acteur est impécable on se prend trés vite d'affection pour Franck au millieu de toutes ces galére. La bande son et pas mal et contribue grandement a l'ambiance trés lourde qui se degage de se film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 octobre 2011
    Atmosphère sombre, héros mutique,Violence extrême, un univers d'ou on se s'enfuit jamais
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 octobre 2011
    "Pusher" est un film réaliste et assez violent sur le milieu du trafic de drogue au Danemark. Filmé caméra au poing pour une immersion épurée de tout artifice, "Pusher" se déroule sur une semaine durant laquelle on suit le périple de Frank, dealer endetté... Le film sonne très juste et parvient à créer une certaine tension, toujours de façon très naturelle, presque comme s'il s'agissait d'un documentaire. Une très bonne surprise donc, à laquelle il manque peut-être juste une conclusion un peu plus appuyée pour prétendre au statut de film culte...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 19 avril 2012
    Pusher est le premier épisode d'une trilogie réalisée par Nicolas Winding Refn. Cette première partie nous plonge dans le monde de la criminalité de bas étage à Copenhague. Par l'intermédiaire de deux dealers, Frank et Tonny, nous allons découvrir cet univers sale, sombre, et sans pitié, duquel chacun essaie de s'échapper par des plaisirs épicuriens. C'est le cas de nos deux protagonistes, qui vivent de leur trafic, et semblent s'en contenter. Mais lorsqu'un de leur échange se voit contrarié par la police, Frank se retrouve endetté auprès de Milo, un homme puissant et dangereux.

    Pour faire ressortir cette impression poussiéreuse des rues danoises, Refn insiste sur le fait de rendre ses images on ne peut plus réalistes. Les lieux sont délabrés, avec un teint grisâtre constamment présent, du ciel aux bâtiments, qui donne la sensation de baigner dans la moisissure. Images dérangeantes, dans lesquelles chaque personnage se fond sans problème, comme incrustés à l'environnement. Plus marquant encore, le film n'enchaîne quasiment que des gros plans, qui s'attardent sur Frank, personnage qui monopolise l'écran à lui tout seul. En plus de cela, l'utilisation répétitive d'une caméra à l'épaule renforce l'aspect quasi-documentaire de Pusher.

    Tous ces procédés rendent évidemment l'immersion totale, nous avons l'impression de connaître cette ville sur le bout des doigts, et l'intention du réalisateur de nous embarquer dans cet univers glauque à souhait est réussi. Tous les intervenants sans exception ont ce point commun, celui de vouloir s'évader de leur vie quotidienne, par quelque moyen qui soit. La drogue, le sexe, la violence, tout est bon à prendre pour oublier, et c'est ce qui rend chacun de leurs actes compréhensibles. Frank l'est d'autant plus, fortement empathique, on va vibrer avec lui, qui n'est certes pas exempt de tout défauts mais c'est cela qui le rend si attachant. Partageant l'écran sur la première partie avec Tonny, il va ensuite le partager avec Vic, femme avec qui il entretient une relation compliquée. Sous pression, il va devoir trouver de l'argent pour rembourser ses dettes, coûte que coûte. Sa descente aux enfers et sa chute vers le désespoir en devient alors passionnante.

    Progressivement nous allons constaté la faiblesse de Frank, cette même faiblesse qui est la même chez tous les personnages. La peur renforce la cruauté, au point de dénaturer les réactions, et la faiblesse devient alors une force, qui leur permet de survivre. Les dialogues sont par ailleurs très crus et parfaitement dans le ton, enfonçant encore plus le long-métrage dans le film noir par excellence. La fin représente à elle-même toute cette faiblesse, les actions devenant des actes désespérés, qui ne changent en fin de compte rien de fondamental.

    Malgré tout, lee gros défaut, non négligeable, c'est que la qualité se perd à travers l'enchaînement des situations, qui ne sont finalement ni originales, ni haletantes. Le rendu n'est pas bonifié par un scénario impeccable, si la pression est au rendez-vous, elle n'atteint jamais un seuil d'intensité capable de renverser le spectateur. Pusher ne parvient à aucun moment à se détacher et à devenir un film référence, il reste toujours sur un rythme plaisant mais qui n'en demeure pas aussi puissant qu'on aurait pu l'espérer. Comme pour les autres films de Nicolas Winding Refn, je dénote un léger manque de consistance, qui oblige donc le film à rester campé sur sa ligne directrice, sans exploser à un moment ou à un autre.

    Toujours est-il que ce premier épisode est loin d'être mauvais, puisqu'il arrive à nous engouffrer dans cette criminalité ambiante avec aisance, et qu'il se base sur un personnage très humain et plaisant à voir évoluer. Mais le manque de profondeur ne le rend finalement intéressant qu'à un certain degré, sans pousser encore plus loin l'expérience. Peut-être que l'intensité recherchée se retrouvera dans les deux autres volets, c'est vraiment ce que j'en attends. Pour le moment, la déception prend le pas.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 octobre 2011
    Long à la détente, vraiment. Mais les acteurs sont parfaits et le scénario ficelé au millimètre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 juin 2012
    En 1996, un jeune cinéaste danois de 26 ans du nom de Nicolas Winding Refn présente son tout premier long-métrage, dénommé Pusher. Avec cette petite perle cinématographique, qui plonge le spectateur dans la milieu de la mafia à Copenhague, le réalisateur nous dépeint le destin d'un petit dealer, nommé Frank, qui va se retrouver prit au piège dans un engrenage infernal. Intense, psychologique et réalistes, telles sont les mots qui résume parfaitement le film dont la maîtrise de la mise en scène est absolument bluffante, et nous frappe de plein fouet. Winding Refn parvient à nous faire ressentir de manière sensationnelle cette histoire, il n'essaye pas de faire une analyse, c'est un film « sensitif » où le côté viscéral du spectateur est mit à rude épreuve. Le scénario également signé de la main de Winding Refn est excellent, on suit les personnages, sans s’ennuyer une seule seconde, les dialogues sont très crus et la violence est réaliste, mais le plus intéressant, c'est bien sur la façon dont il nous implique viscéralement, on ressent cette engrenage infernal dans lequel c'est embarqué Frank. L'acteur principal est convaincant, sans être exceptionnel, mais la palme revient aux seconds rôles, comme Zlakto Buric dans le rôle de Milo, et Mads Mikkelsen qui interprété Tony, l'ami de Frank. A la manière dont s'est inséré Martin Scorsese dans le cinéma avec son Means Street, Nicolas Winding Refn signa avec Pusher (le Means Street des années 1990), une œuvre culte d'une qualité impressionnante pour un premier film. Une claque...
    Marty08
    Marty08

    19 abonnés 388 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2011
    La semaine de Frank, dealer à Copenhague, où tout et n'importe quoi lui arrive...
    Déjà, ce qui est génial avec "Pusher", c'est d'avoir réussi à me passionner pour un film filmé entièrement à la caméra à l'épaule, style que je n'apprécie généralement pas du tout. Et quand à la fin je trouve le film génial, et bien cela finit de prouver que la mise en scène est exceptionnelle. Dans ma lancée des oeuvres de Winding Refn, "Pusher" est un superbe premier film. Prenant, bien joué, et à l'aspect hyper réaliste, ce déroulement en une semaine de tout les problèmes et bonheurs que peut se procurer un petit dealer est d'une grande maestria. Ca tremble, c'est filmé au taquet, sans esbroufe et chaque geste des acteurs semble signifier quelque chose d'important. Entre drame et polar au ras du sol, "Pusher" étonne de par sa justesse et sa maîtrise narrative et esthétique. C'est sordide et ludique à la fois, strict et libre de même. De ce fait, "Pusher" est une formidable plongée dans le banditisme à la petite semaine, comme celle évoquée dans le film. La semaine est haletante et passe vite, la plongée en question qui l'accompagne va à la même vitesse. Déroutant et virtuose.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 15 octobre 2011
    Malgré une histoire convaincante et des personnages bien pensés, le tout est trop extrême, dans la puissance comme dans la faiblesse.
    annatar003
    annatar003

    63 abonnés 852 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 octobre 2011
    Sortant des films de gangsters en costume de Scorcese, le "Pusher" de Nicolas Winting Refn laisse place aux petits dealers danois.
    On constate très vite l'omniprésence d'un mode caméra à l'épaule qui vous donne l'impression de suivre discrètement le personnage de Frank joué par le très convaincant Kim Bodnia. Les interactions avec les autres personnages mafieux ou avec Vic interprétée par la ravissante Laura Drasbaek sont certes simplistes, mais d'une crédibilité à l'épreuve des balles. Car c'est en ce point que réside tout le potentiel et toute la personnalité de "Pusher" : Dans son réalisme. Le long-métrage a en effet l'air si réel qu'on croirait vivre le quotidien d'un petit dealer bien dans la mer**. Rythmé par une B.O hardrock/métal, le film se suit avec facilité entre quelques scènes de violence non censurées bien sûr et quelques moments plus intellectuels. Le scénario quant à lui n'a rien de mirobolant mais est rattrapé par une mise en scène propre au réalisateur qui joue entre crudité et originalité. Un gros coup de poing en provenance du Danemark qui réussit à se démarquer dans un genre pourtant déjà bien pourvu.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top