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De la violence sourde des corrections subies à l'émerveillement de la vie en ville en passant par un assassinat ordinaire, Martin Provost braque sa caméra sur l'actrice, scrutant la moindre des émotions d'un visage merveilleusement expressif.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Conciliant sans accroc peinture sociale et intrigue policière, "Où va la nuit" se caractérise à nouveau chez Martin Provost par la composition de Yolande Moreau qui, comme à l'accoutumée, investit avec une précision confondante une figure ingrate.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Martin Provost orchestre ce guêpier familial avec beaucoup de force, de plaisir aussi, faisant intervenir des personnages secondaires hors des conventions de leurs fonctions.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Nulle afféterie stylistique, nulle profusion scénaristique ne sauraient détourner le spectateur de cette rédemption à la fois déterminée, hagarde et dévastatrice.
La critique complète est disponible sur le site Positif
(...) "Où va la nuit" diffuse une note plus froide, moins évidente, à l'image de son (beau) titre. Une mélodie qui joue le décalage et nous laisse d'abord un peu loin pour mieux nous faire vibrer, au rythme de Rose, à laquelle Yolande Moreau confère l'incomparable alliage de réalisme et de merveilleux qui est le sien.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
"Séraphine", le précédent film de Martin Provost, imposait une rigueur dramatique ; "Où va la nuit", lui, s'échappe en roue libre. Mais ne tient pas tout le temps la distance. Yolande Moreau est (évidemment) formidable, plus que le film, d'ailleurs, qui ouvre des pistes sans jamais les exploiter totalement.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La dimension psychologique de Rose n'est pas toujours très subtilement établie, mais tout son parcours doit la conduire vers une forme de libération du poids de son passé.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Il filme soudain avec aisance la ville, et cette femme qui la redécouvre. (...) Tout n'est pas de cette force-là. Ce que le réalisateur réussit avec l'héroïne, il le rate avec le fils.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Un film dont la progression trahit trop l'hésitation de ses calculs, entre le flou travaillé d'un drame psychologique et criminel, et l'écriture prévisible d'un mélodrame familial.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
En dépit des qualités de son interprète principale (...), "Où va la nuit" évolue dans un registre très désespérant, sans que l'on parvienne à saisir sa réelle tonalité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Dépourvue d'inspiration, la mise en scène souffre de négligence sur le traitement des personnages secondaires et de maladresse dans la conduite du récit. Yolande Moreau est certes une grande actrice, mais il aurait fallu ici un miracle pour qu'elle sauve l'ensemble, d'autant que le sempiternel registre auquel elle est assignée l'empêche déjà de se sauver elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Malgré tous les efforts du film (ou, justement, à cause d'eux) pour compatir au sort de notre gentille assassine, on en vient à n'éprouver que du détachement à son égard.
Le Figaroscope
"Où va la nuit" est un film plein d'humanité grave. (...) Yolande Moreau illumine ce drame de sa bonté.
20 Minutes
De la violence sourde des corrections subies à l'émerveillement de la vie en ville en passant par un assassinat ordinaire, Martin Provost braque sa caméra sur l'actrice, scrutant la moindre des émotions d'un visage merveilleusement expressif.
Le Point
Voir le site du point.fr
Libération
Conciliant sans accroc peinture sociale et intrigue policière, "Où va la nuit" se caractérise à nouveau chez Martin Provost par la composition de Yolande Moreau qui, comme à l'accoutumée, investit avec une précision confondante une figure ingrate.
Marianne
Martin Provost orchestre ce guêpier familial avec beaucoup de force, de plaisir aussi, faisant intervenir des personnages secondaires hors des conventions de leurs fonctions.
Metro
Les sentiments sont ambivalents, l'ambiance oppressante (...). Yolande Moreau porte à merveille cette ambiguïté inquiétante.
Positif
Nulle afféterie stylistique, nulle profusion scénaristique ne sauraient détourner le spectateur de cette rédemption à la fois déterminée, hagarde et dévastatrice.
Première
La démarche artistique entamée par Martin Provost et Yolande Moreau sur "Séraphine" se poursuit avec ce film. (...) Un final bouleversant.
TéléCinéObs
(...) "Où va la nuit" diffuse une note plus froide, moins évidente, à l'image de son (beau) titre. Une mélodie qui joue le décalage et nous laisse d'abord un peu loin pour mieux nous faire vibrer, au rythme de Rose, à laquelle Yolande Moreau confère l'incomparable alliage de réalisme et de merveilleux qui est le sien.
Brazil
Encore une fois, Yolande Moreau est absolument bouleversante.
L'Express
"Séraphine", le précédent film de Martin Provost, imposait une rigueur dramatique ; "Où va la nuit", lui, s'échappe en roue libre. Mais ne tient pas tout le temps la distance. Yolande Moreau est (évidemment) formidable, plus que le film, d'ailleurs, qui ouvre des pistes sans jamais les exploiter totalement.
Le Parisien
Le film manque de relief(s) et peut sembler un peu terne au final, mais il y a aussi de beaux moments.
Ouest France
La dimension psychologique de Rose n'est pas toujours très subtilement établie, mais tout son parcours doit la conduire vers une forme de libération du poids de son passé.
Télérama
Il filme soudain avec aisance la ville, et cette femme qui la redécouvre. (...) Tout n'est pas de cette force-là. Ce que le réalisateur réussit avec l'héroïne, il le rate avec le fils.
Critikat.com
Un film dont la progression trahit trop l'hésitation de ses calculs, entre le flou travaillé d'un drame psychologique et criminel, et l'écriture prévisible d'un mélodrame familial.
La Croix
En dépit des qualités de son interprète principale (...), "Où va la nuit" évolue dans un registre très désespérant, sans que l'on parvienne à saisir sa réelle tonalité.
Le Monde
Dépourvue d'inspiration, la mise en scène souffre de négligence sur le traitement des personnages secondaires et de maladresse dans la conduite du récit. Yolande Moreau est certes une grande actrice, mais il aurait fallu ici un miracle pour qu'elle sauve l'ensemble, d'autant que le sempiternel registre auquel elle est assignée l'empêche déjà de se sauver elle-même.
Studio Ciné Live
Un drame rapiécé qui manque cruellement d'unité.
Cahiers du Cinéma
Malgré tous les efforts du film (ou, justement, à cause d'eux) pour compatir au sort de notre gentille assassine, on en vient à n'éprouver que du détachement à son égard.