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    Au-delà du réel
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    S M.
    S M.

    34 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 août 2014
    "Altered States" est un film fantastique expérimental complètement allumé et barré signé par le grand Ken Russell. Ce qui m'a frappé, c'est l'intelligence du scénario, les effets spéciaux réussis pour l'époque et le très bon jeu des comédiens. Je trouve que malgré les années, le film n'a pas pris une ride et se regarde toujours avec grand plaisir. Transcendant, jouissif et inoubliable.
    Le comptoir du cinéphage
    Le comptoir du cinéphage

    27 abonnés 351 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juin 2014
    Le film de Ken Russell réalisé en 1980 est un long métrage que je rêvais de voir depuis de nombreuses années, surtout à l'époque ou je m’intéressais particulièrement aux psychotropes et à leurs effets sur notre encéphale, sujet fétiche de tout djeun's qui se respecte.

    Au delà du réel, aka Altered States, c'est l'histoire d'Edward Jessup, un chercheur à l'université de Cornell qui tente de percer le mystère des visions provoquées par les hallucinogènes. Selon lui, les phases de trip intense nous informent d'une chose: Dans notre cerveau, il y aurait peut être un lieu où toute la mémoire de l'humanité serait stockée. Cette mémoire vieille de 5 milliards d'années serait peut être accessible au cerveau humain par la prise de psychotrope. Après un voyage au Mexique, Jessup ramènera dans ses valises des champis avec lesquelles il se fera exploser la tronche. Bardé de capteurs, enfermé dans un caisson et la tête pleine de came, le héros découvrira des choses inexplicables et bien dangereuses...

    En commençant le film, j'avais peur d'une seule chose: Que le film soit un hymne à la came. Pas que je sois réactionnaire, loin de là, mais je craignais le discours hippie du style: "Mec, prends du LSD, toutes les réponses que tu te poses sur l'univers se trouvent en toi. Demain je pars pour Katmandou avec des copines, j'ai réparé mon combi Wolkswagen donc on partira avec. Tu veux venir? On va se faire un trip de malade tu vois...". J'avais peur aussi du délire trip philosophique au Mexique avec le voyage du héros dans une tribu indienne. Pour avoir déjà lu la littérature des djeun's qui rêvent d'aller prendre de l'ayahuasca en Amazonie ou du peyotl au Mexique, j'avais pas envie d'entendre les citations philosophiques de Carlos Castaneda! De triste mémoire, le dernier réal qui a fait un trip chamanique et qui en a fait le sujet de son film, c'est Jan Kounen avec le foireux Blueberry.

    Miracle! Au delà du réel évite de sombrer dans l'apologie neuneu des psychotropes grâce à un scénario de série B ultra solide. Le film de Ken Russell est un mélange entre le film de genre et le film expérimental à la Jodorowsky. En dépit d'un côté un peu kitsch dû à l'âge du film, Au delà du réel est un film unique, étrange, mystique et surtout passionnant à regarder. Sur une trame basique de savant fou qui délaisse sa femme pour ses expériences de barjots, Ken Russell injecte dans son film des questionnements philosophiques à la 2001 l'odyssée de l'espace. Alors OK, on a pas affaire à du Gilles Deleuze ou à du Jankelevitch, mais le film va au bout de son délire mégalo. Au delà du réel, c'est un film qui questionne les origines de notre existence dans un mix original de violence, de visions, de spiritualité mystique, de suspense et de divertissement. Quand on pense que la Warner a produit un film de ce genre, cela prouve une nouvelle fois que l'on vit actuellement une époque bien fadasse en terme d'originalité dans les productions cinématographiques américaines d'aujourd'hui.

    La réussite d'Au delà du réel vient également de son charme rétro. Les questionnements philosophiques et la manière dont ils sont abordés dans ce film respirent les 70's. A cette époque, les états altérés de conscience passionnaient la communauté scientifique, d'autant plus que les jeunes chercheurs qui planchaient sur le sujet venaient de découvrir récemment le LSD! Quelques années auparavant, le fameux parapsychologue Charles Tart avait publié le bouquin Altered States of Consciousness et créé la psychologie transpersonnelle, une école de psychologie qui intégrait en son sein les grandes traditions spirituelles du chamanisme et des religions. Un courant de pensée qui a obligatoirement influencé Ken Russell et son scénariste.

    Heureusement que je n'ai pas vu ce film à l'âge de 18 ans! En plein questionnement philosophique sur l'existence et manquant totalement de maturité, même si je pensais être un génie à cette époque, j'aurais certainement pris au pied de la lettre le film de Ken Russell. N'oublions pas que le but premier d'Au delà du réel est de divertir, chose qu'il exécute avec brio. C'est quand je vois des spectateurs écrire sur allociné des choses comme: "Une déchirure spatio-temporelle s'est produite dans mon esprit à la vision de ce film. J'ai pu à travers elle accéder à la vérité de toute chose : à l'immatérialité de mes pensées et de ma conscience. Au reflet étincelant de mon âme à travers ce que je perçois comme être la réalité. Durant cet instant trop éphémère, j'ai su..." que j'ai peur de l'influence de certains films sur des cerveaux fragiles. Au delà du réel reste un film de genre et pas une propagande new age!

    En revanche, je pense malgré tout que vivre une expérience chamanique doit être dantesque. Ressentir un véritable EMC (état modifié de conscience) doit sincèrement nous ouvrir les yeux sur de nouvelles choses, je n'en doute pas.
    Léa H.
    Léa H.

    32 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mai 2014
    Ken Russell s’attaque au fantastique et, comme d’habitude, ne fait rien comme les autres. Il mélange thriller psychiatrique, chronique psychologique et quête métaphysique pour l’un de ses films les plus aboutis. Son goût pour l’ésotérisme et le baroque trouve idéalement sa place ici, sans pour autant étouffer le récit, comme c’est souvent le cas chez lui. « Altered states » est une bonne surprise, le film d’un iconoclaste qui a su insuffler sa folie dans le cadre d’un film de genre. Le questionnement sur le couple et la quête identitaire se font poignants, tandis que les séquences de régression simiesque sont très impressionnantes (et très flippantes). Même si l’on est loin de 2001, la dimension hypnotique des séquences de transe (évoquant l’univers de Dali et Chirico) est très réussie et parvient à donner un frisson métaphysique à cette quête éperdue des origines. A découvrir !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 mai 2014
    Film contemplatif qui ne laisse pas indemne. La scène de délire où le couple central se change en statues de sable balayées par le vent et finissant par disparaître m'a bouleversé.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    394 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mai 2014
    Sur le papier ça laissait présager un sacré film, la quête d'identité via des substances hallucinogènes, en plus avec William Hurt, un acteur que j'apprécie beaucoup, mais le résultat est un peu mitigé ... "Au-delà du réel" porte bien son nom, c'est littéralement un voyage aux frontières de l'esprit et de la perception de notre état d'être humain, l'univers visuel est très ingénieux pour l'époque (1981), mêlant images de synthèse et expérimentations colorimétriques. Le début de l'histoire est très bonne, il y a de bonnes idées bien exploitées autant scénaristiquement qu'esthétiquement, on est clairement dans un registre de SF et les personnages tiennent la route, par certains aspects ce film m'a un peu fait fait penser à "La Mouche" (même si il ne sera réalisé que 5 ans plus tard) au niveau du thème de l'expérience scientifique, la métamorphose et la romance. Mais force est de constater que justement je m'attendais à autre chose et que le film dérive trop vers le fantastique et devient vraiment trop abusif en ce qui concerne son côté métaphysique, la transformation morphologique m'a beaucoup dérangé et intrigué, et la dernière demi heure est un peu en roue libre, les rôles deviennent caricaturaux et on perd ce qui avait fonctionné sur le début du long métrage. Et puis le final est vraiment perché et trop symbolique, on se demande si on ne se fout pas un peu de nous, je trouve que le film aurait gagné a d'avantage garder une certaine simplicité. "Au-delà du réel" est une expérience autant intrigante que dérangeante, avec son lot d'exagérations, mais on saura tout de même saluer les idées avant gardistes et les séquences psychédéliques qui valent vraiment le coup d'œil.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 mai 2014
    Oubliez les Las Vegas parano, les Requiem for a Dream, les Limitless et autres films psychédéliques, nous avons là une véritable perle du genre. Altered States est pour le coup un sacré numéro, au point où, à certains moments, j'ai posé mes mains sur ma tête d'un air de dire "Haaaaaaaa" (en hurlant). Car oui, regarder ce film équivaut à vouloir s'enfuir telle une belette sur laquelle on aurait tiré un coup de fusil, tellement ce film est coup de poing. Si la trame principale est tout simplement la réflexion de l'amour chez une personne, on retiendra essentiellement les courts passages d'un bad trip total qui font vivre à William Hurt un périple de la rivière du Styx jusqu'au confins de l'enfer. Si le personnage, par les drogues qu'il ingère, va jusqu'à ressembler à un cornichon ignoble quand il se voit en pleine remontée acide, il n'en reste pas moins que c'est le sentiment amoureux de ces deux êtres (lui et sa femme), accroché comme les sangles d'une salopette à un point commun, situé au niveau de la nuque, qui tient en haleine. Cette nuque dans le film (pour ne pas abuser des métaphores) est en réalité le fondement de notre monde, et c'est ce que va chercher notre scientifique dans le film. Fini la recherche de l'ordre suprême, bonjour la recherche de la constitutionnalité des choses. Notre scientifique s'intéresse à la base de la connaissance, à chercher la pure vérité comme les philosophes de l'Antiquité souhaitaient le faire. Car Altered States est avant tout un film philosophique, qui traite de la folie des scientifiques à vouloir tout savoir, tout démontrer, et repartir à la base de toute chose aux périls de leurs vies, tel le docteur Frankenstein et sa folle créature. Si la forme cinématographique n'est pas d'une beauté exceptionnelle, c'est plus le fond auquel il faut s'attacher, au sens de ce film, et c'est d'ailleurs pour cela que je ne m'attarderais pas sur le jeu des acteurs (qui est très bon rassurez-vous) ni à la musique du film qui à l'air d'avoir été faite à partir d'un simple xylophone tellement les sonorités paraissent redondantes. Cependant, les effets spéciaux sont très bien réalisés pour l'époque et pour un film de cette nature, et l'univers oppressant créé est tellement bien retranscrit que je vais qualifier ce film de chef d'oeuvre, pour le moment intense qu'il m'a fait passer devant mon écran et parce que c'est un film qui ne s'oublie pas. Amis frillants de sensations fortes en soirée (de préférence), foncez !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 mai 2015
    Une oeuvre très mystique pour gens mystiques. De la folie à l'état brut. Pour ceux qui savent l'apprécier, ce film sera comme un voyage astral.
    Julien D
    Julien D

    1 194 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 novembre 2013
    Ce que l’on retiendra finalement de Au-delà du réel (qui n’a en fait de commun avec la série télé culte des années soixante que le titre français) ce sont irrémédiablement ses courts passages hallucinatoires car, hormis ces expériences sensorielles prégnantes et la prestation mémorable de William Hurt, la trame autour de la métamorphose régressive est alourdie par son approche scientifique et la relation avec sa femme est trop peu développée. Ce dernier scénario signé par le brillant Paddy Chayefsky n’en reste pas moins un excellent support pour Ken Russel de mettre des effets spéciaux, sidérants pour l’époque, au profit d’un propos qui relève de la métaphysique et non pas d’une des énième séries B qui ont ponctué sa filmographie. C’est en effet à partir d’une impressionnante réflexion sur la nature humaine que le film va dévier vers des théories mêlant la science au mysticisme et des scènes psychédéliques qui, à elles-seules, rendent le film intéressant à voir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 août 2013
    Le docteur Edard Jessup, anthropologue à l’Université de Cornell, n'a qu'une seule obsession : trouver une origine à l'apparition de la vie. Il soutient la théorie qu'une mémoire résiduelle de l'histoire de l'Univers s'inscrit et subsiste dans les gènes de tous les êtres vivants. Il pense aussi y trouver dans les hallucinations humaines un témoignage de ce processus. Pour y parvenir, il monte avec son équipe des expériences en "caisson d'isolation sensorielle", une boite noire coupée du monde et remplie d'eau dans laquelle les sujets décrivent leurs sensations. Mais les expériences sont limitées, bridées par la conscience. Pour arriver à un état de conscience altéré, les drogues hallucinogènes sont nécessaires. En visite au Mexique, le docteur obtient auprès d'indigènes un puissant psychotrope utilisé pour les transes. L'effet est immédiat. Jussep rentre alors au labo et tente personnellement l'expérience du caisson sous injection. Son équipe est sceptique. Des hallucinations au délires, Jessup rentre dans une nouvelle dimension psychique. Toutefois, le voyage intérieur aura cette fois des conséquences réelles, insoupçonnées et terrifiantes....
    "Au delà du Réel" fait partie de ces films uniques des années 80, mêlant fantastique et science-fiction. Les nombreuses interrogations qu'il suscite accentuent l'angoisse et alimentent l'intrigue mais aussi captivent. En effet, malgré des considérations métaphysiques vertigineuses, le chemin de croix kaléidoscopique d'un homme, somme tout ordinaire, vers une vérité universelle et lumineuse est exaltant. On en ressort aussi vivant et métamorphosé que le héros. Si les effets spéciaux se résument à quelques effets visuels spectaculaires, c'est surtout l'atmosphère lourde, sombre et énigmatique qui domine et donne le cachet du film. Si la fin est aussi déroutante que le début, la conclusion est détonante. Un scénario qui n'a, à mon simple avis, jamais eu d'équivalent au cinéma tant il est novateur et étrange.
    ned123
    ned123

    154 abonnés 1 680 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2013
    J'ai vu un film... qui, bien que daté, m'a complètement bluffé par la finesse de son scénario, la nature de ses dialogues et le jeu de ses comédiens... On est typiquement dans le film à thèse, avec des idées de fond et des comédiens qui s'approprient complètement leur partition. William Hurt est tout super, en scientifique habité par sa théorie et ses expérimentions... en oubliant presque sa vie et son quotidien pour se consacrer à son intuition... Il faut accepter également de rentrer dans un univers où les dialogues, et les situations prennent le temps de se poser... Malgré de moyens sommaires -budget et époque-, les phases de transformations, de rêves et de délires psychédéliques sont incroyables, originales, et fortes. Lorsque l'hominidé envahit la ville, on est carrément bluffé par sa souplesse, sa démarche et les situations auxquelles il doit faire face... Blair Brown est à la fois sexy, passionnée et totalement dans son rôle... Le scénario est vraiment brillant... Ce film est une pure découverte et ça fait du bien de voir que le cinéma recèle d'autant de pépites lorsqu'on recherche un peu...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 février 2013
    Pas trop mal pour l'époque mais assez bizarre tout de même.
    landofshit0
    landofshit0

    274 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mars 2013
    Les scènes de régressions sont visuellement déstabilisantes et réussites,scientifiquement le discourt est très proche de le thèse se qui le rend parfois hermétique et pénible à suivre. Les rapports humains ne sont pas non plus le meilleur atout du film. La folie et l'obsession de cet homme qui cherche à trouver l'origine de l'homme explore tout de même des pistes rarement empreintés au cinéma.
    stebbins
    stebbins

    497 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 novembre 2012
    Film culte un peu vieillot quand on le (re)découvre aujourd'hui, Altered States reste un beau voyage méta-physique habité par son acteur principal : William Hurt. Le propos et le contexte historique, pertinemment accompagnés des références culturelles contemporaines, valent à eux seuls le visionnage du film de Ken Russell. Empruntant beaucoup à l'esthétique et aux symboles ésotériques du cinéma de Kenneth Anger le réalisateur des Diables semble toutefois tomber dans la démonstration grand-guignolesque dans les moments purement psychédéliques. Altered States reste - si l'on renverse l'argument - tout à fait généreux en matière d'effets visuels et d'inventivités oniriques. Vision intéressante de la quête obsessionnelle de la Vérité de son personnage principal le film montre avec une certaine intelligence la multiplicité des aspirations au Bonheur... c'est ce pourquoi on aurait aimé davantage de contrepoint, Ken Russell ne semblant pas beaucoup développer la dimension familiale de l'existence de Jessup ( privilégiant surtout le mysticisme à des fins spectaculaires ). Légère déception.
    Akamaru
    Akamaru

    3 075 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 juillet 2012
    "Au-delà du réel"(1980),adaptation de la cèlébre série télévisée des années 60,est un film fantastique fascinant et morbide,qui patît d'un scénario qui ne maîtrise pas totalement ses coutures entre réalité et surnaturel.Par rapport à son concurrent "La quatrième dimension",le film de Ken Russell a le mérite d'être sans concessions et visuellement très destabilisant.Sans contestations,les séquences fantasmagoriques sont les plus mémorables.Baroques,grandiloquentes,inventives,hypnotives;elles représentes un gros trip sensoriel à la "2001".Et les effets spéciaux gardent toute leur puissance,déluge de couleurs pétantes et de difformités physiques.Le personnage de William Hurt(dérangeant et borderline comme il faut)ne semble plus distinguer le réel de ses fantasmes.Il perd ses repères,il devient fou et se métamorphose même physiquement(grisante séquence de l'attaque du singe).Seul la femme qu'il aime pourra le sauver...Ken Russell expérimente un délire personnel,s'éloigne quelque peu de la série,mais malheureusement échoue dans l'ensemble,par désintérêt pour un scénario vertigineux et psychédélique.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 juillet 2012
    film incroyable empreint de mysticisme et de sciences, mêlant le délire hallucinatoire aux angoisses primaire. Les effets spéciaux malgré les 32 ans du film donne un effet poétique à l'ensemble. je recommande chaudement aux amateurs de bon cinéma...
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