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Souvent aussi moche et mal foutu qu'un film porno, mais mille fois plus libre, vif et intelligent que les trois-quarts du cinéma d'auteur français, "On ne devrait pas exister" perpétue avec panache la tradition de la gauloiserie conceptuelle.
Pas de bouée de sauvetage dans On ne devrait pas exister. Alors parfois le film se plante, mais réussi, le plus souvent, à nous embarquer dans toutes sortes de dérives filmiques expérimentales et excitantes.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Dans ce jeu de miroir entre réel et fiction, sorte de long épanchement désespéré, d'une justesse qui n'évite jamais la cruauté ni l'emphase - aux beaux dialogues écrits à la virgule près - on pense parfois à "La Maman" et "La Putain d'Eustache", la virtuosité cinématographique en moins.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
La mise en scène de cette litanie de l'impuissance est si approximative que l'on pourrait croire que HPG ne le fait pas tout à fait exprès, qu'il est vraiment comme ça, plein d'aspirations mal identifiées, de questions vagues qui ne provoquent que des réponses à côté de la plaque.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
[HPG a] tendance à ne voir le monde que sous forme d'oppositions inconciliables : cinéma X/cinéma traditionnel ; hardeur/acteur ; outrance/modération ...
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) cette comédie esquisse une réflexion sur le jeu qui aurait pu se révéler intéressante si l'ensemble n'était pas desservi par la personnalité horripilante du personnage principal, immature, agressif et narcissique à souhait.
[Une] juxtaposition sans queue ni tête de séquences bavardes, faussement provos et vraiment tartignoles, [qui] fait regretter qu'HPG ne se soit pas d'abord interrogé sur son potentiel de cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Durant quatre-vingt-dix éprouvantes minutes, on a le sentiment d'être enfermé avec un hooligan du 7ème art au Q.I. proche de celui de la moule marinière.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
Souvent aussi moche et mal foutu qu'un film porno, mais mille fois plus libre, vif et intelligent que les trois-quarts du cinéma d'auteur français, "On ne devrait pas exister" perpétue avec panache la tradition de la gauloiserie conceptuelle.
Chronic'art.com
Pas de bouée de sauvetage dans On ne devrait pas exister. Alors parfois le film se plante, mais réussi, le plus souvent, à nous embarquer dans toutes sortes de dérives filmiques expérimentales et excitantes.
Fluctuat.net
Dans ce jeu de miroir entre réel et fiction, sorte de long épanchement désespéré, d'une justesse qui n'évite jamais la cruauté ni l'emphase - aux beaux dialogues écrits à la virgule près - on pense parfois à "La Maman" et "La Putain d'Eustache", la virtuosité cinématographique en moins.
Les Inrockuptibles
Le premier long métrage non X de HPG est risqué, gonflé, irritant. Et surtout, une belle réussite.
MCinéma.com
Libertaire, délirant, subversif, loufoque, bizarroïde, les qualificatifs pleuvent selon le ressenti. Une chose est sûre, le créateur se donne à fond.
Score
C'est à la fois grandiose et ridicule, grotesque et grandiloquent, ce qui dégage une force évidente, brune et sans filtre.
Zurban
(...) un voyage intriguant et novateur sur un homme en quête de connaissance et d'amour.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
On s'amuse un parfois, on s'ennuie un peu, mais on se pose des questions, et ça, c'est bon signe.
Le Figaroscope
Une oeuvre qui commence mal, finit bien, qui sans aucun doute va faire des remous sur la Croisette.
Le Monde
La mise en scène de cette litanie de l'impuissance est si approximative que l'on pourrait croire que HPG ne le fait pas tout à fait exprès, qu'il est vraiment comme ça, plein d'aspirations mal identifiées, de questions vagues qui ne provoquent que des réponses à côté de la plaque.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
[HPG a] tendance à ne voir le monde que sous forme d'oppositions inconciliables : cinéma X/cinéma traditionnel ; hardeur/acteur ; outrance/modération ...
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) cette comédie esquisse une réflexion sur le jeu qui aurait pu se révéler intéressante si l'ensemble n'était pas desservi par la personnalité horripilante du personnage principal, immature, agressif et narcissique à souhait.
aVoir-aLire.com
Maladroit, dérangeant mais terriblement sincère.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Télérama
[Une] juxtaposition sans queue ni tête de séquences bavardes, faussement provos et vraiment tartignoles, [qui] fait regretter qu'HPG ne se soit pas d'abord interrogé sur son potentiel de cinéaste.
Paris Match
Durant quatre-vingt-dix éprouvantes minutes, on a le sentiment d'être enfermé avec un hooligan du 7ème art au Q.I. proche de celui de la moule marinière.
Positif
"On ne devrait pas exister", avec son titre naïvement nihiliste, disparaît (...) sous l'excès.