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Plutôt bon enfant, cet exercice de style assez drôle, agrémenté d'une bande-son référentielle (...) vaut surtout pour le caractère mi-désabusé mi-cocasse des dialogues.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Nostalgique, le jeune écrivain-réalisateur rend hommage aux films noirs (...) mais fait aussi sourire. (...) Enfin, il sublime la belle Anna Mouglalis.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Pour : Son [Samuel Benchetrit] petit film d'escrocs n'est pas un film d'escroc (...). C'est plus un agréable album de reprises qui s'écouterait confortablement entre deux verres de bourbon.
La critique complète est disponible sur le site Première
Pour : On ne manquera pas de lui [Samuel Benchetrit] reprocher d'un même élan (...) maniérisme et recyclage. Mais cette fable déglinguée fait preuve d'une passion du cinéma tout à fait rassérénante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Quelques saynètes (...) n'en sont pas moins plaisantes par instant (...) Cela le serait davantage si chaque plan ne trahissait l'admiration que le réalisateur se porte à lui-même.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Un charme indéniable et un humour sous-jacent qui font de ce film, en dépit de ses petites complaisances coupables, une alternative intéressante à un cinéma français plus traditionnel.
Cela ne vous rappelle pas un certain Pulp Fiction ? Dommage, encore une fois, car l'ensemble est assez plaisant même s'il ne parvient jamais à s'échapper du domaine de l'anecdotique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
J'ai toujours rêvé d'être un gangster pourrait être la devise de Samuel Benchetrit, nouvelle coqueluche d'une aristocratie culturo-tévé en mal d'écorchés vifs. Lequel se fantasme en baladin cool du cinéma français, en quête d'une liberté absolue dont il ne sait finalement pas quoi faire.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Il n'y a bien que les Belges géniaux Serge Larivière et Bouli Lanners pour se sortir d'un pareil traquenard et apporter quelques failles marquantes à cette mécanique trop bien huilée.
Le problème c'est qu'il (Samuel Benchetrit) n'est ni Scorsese ni Jarmush (...), et qu'il s'invite à une table où l'on n'est pas certain qu'il ait sa place.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Le metteur en scène semble n'avoir aucune idée de ce qu'il pourrait bien faire jouer à ses acteurs (...) Il invente un nouveau concept : un film où il n'y aurait que des guest-stars.
Vaine compilation du cinéma qu'aime le réalisateur. Populaire mais arty, stylé mais intello, tout y passe. Le tout donne la fatigante impression de consulter toute la vidéothèque du beau gosse ou de subir une interro surprise au Trivial Pursuite de la référence.
Contre : Une série de portraits anodins et insipides.. (...) Les dialogues volontairement ternes de Benchetrit sont aussi mémorables que des courants d'air dans un parking vide.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Le film de Samuel Benchetrit (...) vaut le détour. C'est chouette, c'est épatant, on est pour.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La Croix
Dialogues savoureux et antihéros attachants apportent un charme fou à cette fantaisie.
Le Figaroscope
(...) quatre saynètes drolatiques, absurdes et pittoresques (...)
Le Monde
Plutôt bon enfant, cet exercice de style assez drôle, agrémenté d'une bande-son référentielle (...) vaut surtout pour le caractère mi-désabusé mi-cocasse des dialogues.
Le Parisien
Nostalgique, le jeune écrivain-réalisateur rend hommage aux films noirs (...) mais fait aussi sourire. (...) Enfin, il sublime la belle Anna Mouglalis.
Ouest France
Un plaisir de cinéma subtil et sophistiqué que l'on déguste dans le raffinement.
Première
Pour : Son [Samuel Benchetrit] petit film d'escrocs n'est pas un film d'escroc (...). C'est plus un agréable album de reprises qui s'écouterait confortablement entre deux verres de bourbon.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
(...) un magnifique ovni sur pellicule.
Télérama
Pour : On ne manquera pas de lui [Samuel Benchetrit] reprocher d'un même élan (...) maniérisme et recyclage. Mais cette fable déglinguée fait preuve d'une passion du cinéma tout à fait rassérénante.
20 Minutes
(...) amusant film à sketches en noir et blanc autour d'une bande de paumés attachants.
L'Obs
Quelques saynètes (...) n'en sont pas moins plaisantes par instant (...) Cela le serait davantage si chaque plan ne trahissait l'admiration que le réalisateur se porte à lui-même.
Le Journal du Dimanche
Un charme indéniable et un humour sous-jacent qui font de ce film, en dépit de ses petites complaisances coupables, une alternative intéressante à un cinéma français plus traditionnel.
TéléCinéObs
L'exercice de style, trop inégal et superficiel, ne convainc qu'à moitié.
aVoir-aLire.com
Cela ne vous rappelle pas un certain Pulp Fiction ? Dommage, encore une fois, car l'ensemble est assez plaisant même s'il ne parvient jamais à s'échapper du domaine de l'anecdotique.
Chronic'art.com
J'ai toujours rêvé d'être un gangster pourrait être la devise de Samuel Benchetrit, nouvelle coqueluche d'une aristocratie culturo-tévé en mal d'écorchés vifs. Lequel se fantasme en baladin cool du cinéma français, en quête d'une liberté absolue dont il ne sait finalement pas quoi faire.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Il n'y a bien que les Belges géniaux Serge Larivière et Bouli Lanners pour se sortir d'un pareil traquenard et apporter quelques failles marquantes à cette mécanique trop bien huilée.
Positif
Le problème c'est qu'il (Samuel Benchetrit) n'est ni Scorsese ni Jarmush (...), et qu'il s'invite à une table où l'on n'est pas certain qu'il ait sa place.
Télérama
Contre : Le film n'est pas méchant - à tel point qu'on s'en veut presque d'être aussi sévère. Mais nom d'une pipe, que c'est lent et indigent !
L'Humanité
Il faut deux minutes pour saisir l'inanité du projet (...) Du sous-Michel Audiard.
Les Inrockuptibles
Le metteur en scène semble n'avoir aucune idée de ce qu'il pourrait bien faire jouer à ses acteurs (...) Il invente un nouveau concept : un film où il n'y aurait que des guest-stars.
Libération
Vaine compilation du cinéma qu'aime le réalisateur. Populaire mais arty, stylé mais intello, tout y passe. Le tout donne la fatigante impression de consulter toute la vidéothèque du beau gosse ou de subir une interro surprise au Trivial Pursuite de la référence.
Première
Contre : Une série de portraits anodins et insipides.. (...) Les dialogues volontairement ternes de Benchetrit sont aussi mémorables que des courants d'air dans un parking vide.