Derniers Avis : Dante 01 - Page 14

J'y suis allé parce que j'aime l'ambiance de science fiction. J'ai eu l'impression de voir une bande dessinée filmée, avec un scénario aussi épais qu'un annuaire téléphonique amish. Un final proprement débile, je m'excuse, mais débile : j'ai fermé les yeux tellement c'était lourd. Un bon point pour le décor, qui respire quand même le manque de moyen. Lambert Wilson. Peut on parler de rôle ? L'acteur, que j'admire par ailleurs, fait le gaga tout du long. Franchement, un mec comme ça, qui a la classe internationale, peut faire vraiment mieux. Bref, déja vu, pas de scénario, des dialogues sans aucune nuance. Et une voix off à la noix ! Il n'apprennent rien, dans les écoles de cinéma ? Je suis triste pour le cinéma français, ce film a 25 ans de retard.

Bizarre autant qu'étrange... Voila les trois mots qui me sont venus à l'esprit dès la fin de la scéance. Un jeu d'acteur très performant : Pinon très très for, Wilson casse la baraque dans ce film complétement unique. Une refelexion sur la condition humaine : un criminel est-il toujours un être humain comme les autres ou peut-on lui faire subir toutes sortes d'atrocités sous la seule justification de leurs actes ?
Une photographie très sombre (on est dans l'espace), un décor futuriste très agressif, voire même oppressant, de très fortes images et une bonne son à ravir...
Un conseil : si vous cherchez un bon film franchouillard ou grand public, passez votre chemin, sinon, allez-y !!!

Indépendant, sans contrainte, libre... Ca fait plaisirs de voir le cinéma francais comme ca

Bouse cosmique ou chef d'oeuvre métaphysique? Plutôt bon publique habituellement j'avoue avoir eu beaucoup de mal a ne pas décrocher. Sons suraigu qui déchirent les tympans, flashs visuels quasi aveuglants, on se sent vraiment dans la peau de l'excelent mais peu bavard (4mots) Lambert Wilson. Peu d'explications, on ne sait pas qui est qui et qui fait quoi ni où on est ni pourquoi on est là. Belles images cependant et fil conducteur sur l'implantation de nanotechnologies dans le corps humain interessant mais à mon goût mal exploité.
Bref un film brouillon, fatigant tant au niveau visuel que sonore, je suis passé à côté. Dommage pour un des rares films de cience fiction français.

Ennuyeux !!! Qu'est-ce que c'est ennuyeux !!! POurtant la 1e partie du film est bien, avec un bon de science-fiction, des bonnes iédes de mise en scene, et un bon jeu d'acteur de Lambert Wilson meme si son texte est tres limité. Mais alors les 20 dernieres minutes sont d'un ennui ou l'on tourne en rond, et une fin se rapportant au theme de la crucifiction (comme le savent si bien faire les japonais dans certains mangas) qui laisse un arriere-gout d'amertune et surtout la sensation d'une fin baclée.

Après quelques collaborations fructueuses avec son compère J-P Jeunet, Marc Caro nous revient pour sa première réalisation solo, un film de SF, fait rarissime dans un paysage cinématographique français ultra formaté (quoiqu'on constate un petit regain d'intérêt pour le genre ces derniers temps, avec Chrysalis, Eden Log – dont le réa Franck Vestiel assiste ici Caro – ou prochainement Babylon A.D.). Du coup, malgré un accueil critique assez catastrophique, la curiosité est bien là, et l'envie de soutenir ce genre de projet nous pousse à aller découvrir la bête. Pour au final mieux prendre la mesure du naufrage qu'elle constitue. Car oui, « Dante 01 » est raté de A à Z.
Principal problème, un script indigent qui n'a rien à raconter, et peut se résumer tout entier dans sa bien lourde symbolique. C'est simple, on croirait voir un brouillon de scénario, réduisant ses personnages à leurs patronymes mythologiques sans leur donner une once de profondeur. Des accessoires dont on se fout éperdument. Alors « la métaphore pour les nuls », ça donne ça : dans une prison spatiale (en forme de croix), inexorablement attirée par une planète maléfique (Dante), un nouvel arrivant aux pouvoirs miraculeux (St Georges) va tenter de libérer ses congénères des forces obscures qui les torturent. Bonjour la subtilité. Et puis voilà, il ne se passera strictement rien d'autre. Du coup, même sur moins d'1h30, cet embryon d'intrigue se traîne piteusement. Une succession de scènes répétitives (oui, Lambert va les délivrer du mal un à un), dans des décors d'une pauvreté déconcertante (budget trop serré?), des acteurs en roue libre, une mise en scène pompière et brouillonne comme un Aronofsky dont les freins auraient lachés, un final hideux qui atteint des sommets de portnawak... Non, vraiment, rien à sauver du massacre, si ce n'est le plaisir de revoir la trogne de Dominique Pinon. En espérant que Caro nous revienne avec quelquechose de plus consistant et maîtrisé.

Un film pour le moins...ennuyeux. Heureusement que Lambert Wilson releve le niveau du film avec un bon jeu d'acteur. La 1e partie du film est interessante, mais une fin abracadabrante digne de certains mangas, faisant rapport notament a la crucifiction. On en ressort avec un gout d'amertune devant tant de lenteur et une fin laissant un gout de "baclé"

Ce n'est même pas un film de science fiction.
Mais un pseudo exercice de style cosmique …
Une bonne qualité d'image mais pas d'histoire, ni même de reflexion.

Une affiche de cinéma attrayante,
Des cadres et compositions d'images riches en couleurs et originales.
De belle lumières et beaux décors, nous donnes un mélange intéressant.
Les maquillages sont vraiment bien fait.

Mais la pauvreté scénaristique abyssale associé à un script dégarni, ne donne pas beaucoup l'occasion au metteur en scène et aux acteurs le moyen de s'exprimer.

Je trouve important de se sentir impliqué par des personnages d'une histoire, même fictive, et ce n'est vraiment pas le cas dans ce film.
Les objectifs des personnages sont obscurent et sans intérêt. Ont s'en moque…mais le niveau est "relevé" par un jeux d'acteur proche d'un bestiaire intergalactique caricaturé.

La mise en scène frustrée nous assomme. Des plans balancés pour une seul action font passer certaines séquences pour des lenteurs cataleptiques.
Ont croirait regarder un court métrage d'étudiant français qui essaye de faire comme… ou qui ce devrai de le faire aussi bien que …
gâchis ou juste une démonstration technique ? juste dommage …

je ne suis pas resté au bout de ce film qui m a decu à un point!. ca commence comme un "fortress", non pas que ce film soit d une grande qualité mais à coté de ce dante, c est un chef d oeuvre!!..au final, un film tres decevant.

Et bien j'ai vu ce film cet après-midi, seul, ce qui m'a permis de bien réfléchir dessus (ouais, mes potes, AVP 2 ça passe, ça moins). Et franchement, belle décéption.

Car oui, Dante 01 comporte bon nombre de défauts, et ce dans bons nombre de domaines. A vouloir être trop ambitieux dans beaucoup de tableaux, le film se noie. Sans réel intrigue, le film semble juste vouloir souligner sa comparaison avec La Bible. Sauf que voià, au lieu de la jouer finement, Caro en rajoute 36 couches : les noms des persos, le vaisseau en forme de croix, le tatouage et des répliques appuyés bien trop fort (seuls mots de Lambert, "aaah la lumière"). Au final, on a le droit a un gloubi-boulga de religion chrétienne + boudha + un peu de muthologie greque.

Ajouter a cela des hommages non-avoués a beaucoup de films de SF tel que 2001; mais le pire reste Alien 3, le film commençant de la même manière : une navette dans l'espace, avec des passagers prisonniers et rasés, et un inconnu, ayant une bête en lui permettant de voir en eux. MMmmm. Les acteurs sont franchement moyens, même le grand Dominique Pinon n'est pas au top de sa forme. Reste Lambert, réussissant a livrer un rôle tout en silence, joli. La réal très ambitieuse vire malheuresement au tappe-a-l'oeil pas forcément obligatoire, a cause d'SFX pas toujours au top et un décor kitsh. Cause de budget surement.

Ce qui est dommage, c'est que la forme est plutot bonne, dans un cinoche français qui prévilégie le fond. Sauf qu'il faut un minimum pour soutenir les images, et là, ça se vautre. Vraiment dommage, je pense que Caro s'est fait son plaisir a lui.

Une étoile pour l'amibtion et Lambert Wilson

Film intéressant dans le sens où des prisonniers sont enfermés dans l'espace...Mais ensuite le scénar se perds un peu dans le vide, et la suite en est assez déçevante et trop basé sur un seul personnage.L'intrigue est un peu trop mystique et moins rationnelle ce qui était un choix, mais le divinatoire avec la sf...Ca le fait pas trop,malgés tout, les images , décors et fx sont trés réussis (pour un film français...)

Dommage qu'on ne puisse pas mettre d'étoiles négatives! Pitoyable! Apres Eden log voici le second gros, gros navet SF français en deux semaines! (World record!!!)Sérieux ce film aurait été une prouesse technique il y a 40 ans, mais de notre jour, même les "effets spéciaux" sont pourris!!!!!

Je mets la moyenne à ce film de science-fiction qui pour une fois provient de notre cher pays. Alors je vous avoue tout de suite n'allez pas voir ce film pour de l'action ni pour une quelconque morale métaphysique (ou alors n'hésitez pas à m'expliquer). Autant la situation de l'action est bien ainsi que la mise en scène, les décors et les acteurs mais le scénario...le scénario !? Expliquez-moi ! C'est ce même scénario qui m'empêche de mettre plus que deux étoiles à ce film et je le regrette un peu car j'aurais aimé pouvoir encourager la science-fiction française. Sinon nous avons ici affaire à un retour en arrière pour les décors jusqu'aux premiers Aliens, ces même décors sont relativement bien soutenus par des effets spéciaux de très bonne qualité et une manière de filmer qui rajoute bien à cette ambiance de malaise qui règne dans cette prison spatiale. Pour mon premier film de l'année 2008 je suis un peu déçu mais bon pour une fois que notre cher drapeau tricolore nous fait des effets spéciaux, je ne vais pas cracher dessus! Un film à ne pas aller voir au cinéma mais que je vous conseille de voir en DVD ou à la télé.

Après plus de dix ans d’absence (Delicatessen - 1991 & La Cité des Enfants Perdus - 1995), Marc Caro revient enfin, avec un film de science fiction aussi particulier que le dernier film de Danny Boyle : Sunshine (2007). Alors que son confrère Britannique s’en sortait avec les félicitations, Caro a plus de mal à nous satisfaire. Un film alliant de la S.F et de l’expérimental, quoi de mieux pour nous embrouiller l’esprit ? Déjà que Dante 01 n’est pas simple à suivre (parce qu’il est lent, long et très soporifique), Caro patauge dans le futuriste à base « d’Elu » ou de « Réincarnation » auquel on ne voit pas vraiment la réelle utilité ou logique.
En fin de compte, après avoir lutté pendant toute la durée du film contre le sommeil, on constate qu’au final, Dante 01, c’est beaucoup de bruit pour rien, au contenu aussi vague et plat malgré la réussite des effets visuels (images de synthèse et autres trucages).

Non mais de qui se moque-t-on ?
Faire un long metrage avec un scenario adapté à un court ?
En 1h20 (durée pourtant courte) Marc Caro trouve quand même le temps de nous faire des longueurs...
Côté technique, on notera quelques innovations, une volonté de faire différemment, mais soyons franc, ça file la gerbe. Plans nauséeux + BO assomante + décors de séries B = déjeuner rendu sur la moquette du ciné.
Seule la coloration est sympathique.

Je ne parle pas de la fin du film par respect pour les courageux qui comme moi iront jusqu'à la fin, mais là aussi, on se marre : "Lambert el bombero"

Bref, le budget à dû passer dans le cachet des acteurs...