Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
MCinéma.com
par Camille Brun
(...) un voyage intersidéral dont le sens est certes obscur, mais qui représente bien un trip sensoriel impressionnant dont les cinq dernières minutes, totalement psychédéliques, sont le point culminant. Et l'on y plonge avec un vrai plaisir.
Elle
par Héléna Villovitch
On peut trouver ça drôle, à condition d'apprécier les scènes où tout le monde se roule par terre en hurlant (...) L'auteur de La cité des enfants perdus aurait-il perdu son âme d'enfant ? Non. La preuve, le vaisseau spatial (...) a été construit tout en Rubik's Cube.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce que raconte le film (...), les rapports violents des personnages (...), le dispositif psychodramatique ne convainquent guère (...) Dommage, car Marc Caro montre un réel talent plastique.
Le Parisien
par La rédaction
(...) Malheureusement, si l'on est plus ou moins tenu en haleine par la seconde moitié du film, il faut s'accrocher pour comprendre ce scénario obscur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Bayon
Le filmage, la progression dramatique à huis clos stratosphérique, relevés d'effets spéciaux filtrés, déploient une vraie vision, à la cinétique stricte; c'est le thème du Messie qui laisse rêveur, et le dialogue.
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
Profusion d'effets visuels et sonores pour le premier film en solo de Marc Caro (...). Las : son odyssée bunker (...) n'est pas la petite merveille espérée.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Jérémie Couston
Huis clos spatial avec des éclairs de philosophie boursouflée, Dante 01 sonne désespérément creux. Hors d'âge et pourtant démodé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Dante 01 reste un nanar intergalactique en forme de trou noir dont Caro aura bien du mal à se sortir.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
On attendait le film de Caro avec curiosité. Il nous livre un délire abscons de science-fiction messianique avec Lambert Wilson en Christ revival.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Et, le septième jour après la sortie du précédent film futuriste pessimiste (...), le cinéma français se paya le luxe d'un second film pessimiste futuriste (...) Malheureusement, les producteurs oublièrent d'y consacrer les moyens nécessaires.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Alain Spira
(...) la maigreur anorexique de l'intrigue (...), l'humour inexistant, le premier degré affligeant, les dialogues autistes et un final christique ridicule précipitent les ambitions du réalisateur dans un trou noir.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TéléCinéObs
par Charlotte Lipinska
Avec des dialogues aussi abscons que plats (...) impossible de prendre une seconde au sérieux ces six criminels enfermés dans une prison spatiale qui en sont les héros (...) Quel enfer !
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
On vogue sur un océan de lourdeurs qui vient renier l'appartenance même de ce film à un type de cinéma d'auteur, certes fauché, mais signifiant. Ici, rien n'a de sens, ni sur un plan commercial (point de frisson, point d'émotion), ni sur un plan cérébral (et n'oublions pas : point de réflexion).
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
MCinéma.com
(...) un voyage intersidéral dont le sens est certes obscur, mais qui représente bien un trip sensoriel impressionnant dont les cinq dernières minutes, totalement psychédéliques, sont le point culminant. Et l'on y plonge avec un vrai plaisir.
Elle
On peut trouver ça drôle, à condition d'apprécier les scènes où tout le monde se roule par terre en hurlant (...) L'auteur de La cité des enfants perdus aurait-il perdu son âme d'enfant ? Non. La preuve, le vaisseau spatial (...) a été construit tout en Rubik's Cube.
L'Humanité
Ce que raconte le film (...), les rapports violents des personnages (...), le dispositif psychodramatique ne convainquent guère (...) Dommage, car Marc Caro montre un réel talent plastique.
Le Parisien
(...) Malheureusement, si l'on est plus ou moins tenu en haleine par la seconde moitié du film, il faut s'accrocher pour comprendre ce scénario obscur.
Libération
Le filmage, la progression dramatique à huis clos stratosphérique, relevés d'effets spéciaux filtrés, déploient une vraie vision, à la cinétique stricte; c'est le thème du Messie qui laisse rêveur, et le dialogue.
Télé 7 Jours
Profusion d'effets visuels et sonores pour le premier film en solo de Marc Caro (...). Las : son odyssée bunker (...) n'est pas la petite merveille espérée.
Télérama
Huis clos spatial avec des éclairs de philosophie boursouflée, Dante 01 sonne désespérément creux. Hors d'âge et pourtant démodé.
Chronic'art.com
Dante 01 reste un nanar intergalactique en forme de trou noir dont Caro aura bien du mal à se sortir.
Le Journal du Dimanche
On attendait le film de Caro avec curiosité. Il nous livre un délire abscons de science-fiction messianique avec Lambert Wilson en Christ revival.
Le Monde
Et, le septième jour après la sortie du précédent film futuriste pessimiste (...), le cinéma français se paya le luxe d'un second film pessimiste futuriste (...) Malheureusement, les producteurs oublièrent d'y consacrer les moyens nécessaires.
Paris Match
(...) la maigreur anorexique de l'intrigue (...), l'humour inexistant, le premier degré affligeant, les dialogues autistes et un final christique ridicule précipitent les ambitions du réalisateur dans un trou noir.
TéléCinéObs
Avec des dialogues aussi abscons que plats (...) impossible de prendre une seconde au sérieux ces six criminels enfermés dans une prison spatiale qui en sont les héros (...) Quel enfer !
aVoir-aLire.com
On vogue sur un océan de lourdeurs qui vient renier l'appartenance même de ce film à un type de cinéma d'auteur, certes fauché, mais signifiant. Ici, rien n'a de sens, ni sur un plan commercial (point de frisson, point d'émotion), ni sur un plan cérébral (et n'oublions pas : point de réflexion).