Avis : Scream - Page 6

Un slasher qui se moque des slashers fallait y penser de plus se film est remplit de rebondissements, on y trouve aussi des répliques à mourir de rire (merci Dewey) et la magnifique Neve Campbell

Tout premier film d'épouvante que j'ai vu, toute petite, qui a ouvert mon amour aux films d'horreur par la suite, je dois tout à Scream dont le coup le cœur a été immédiat : sympathie rapide avec l'actrice Neve Campbell qui joue la victime sensible, abordable et contraste avec les blondes à forte poitrine qui hurlent sans cesse, ici la femme forte tient tête au tueur, et cela fait plaisir ! Les autres personnages deviennent également vite addictifs : le flic pataud qui n'a pas son mot à dire face à la petite journaliste (délicieux couple de David Arquette et Courtney Cox, qui finiront par s'unir dans la réalité), le dingue de films d'horreurs (comment ne pas s'y identifier aujourd'hui...) qui énonce les codes usés jusqu'à la corde du genre, ce à quoi le film répond par une parodie assumée et jouissive ! On a peur, on sursaute et on rit beaucoup ! Le tueur a un design parfait, l'intrigue se laisse bien suivre avec des doutes persistants sur l'identité de celui ou celle qui se cache derrière le masque hurlant... La BO est délicieuse, alternant les mélodies angoissantes, les silences tendus et les musiques de rock déchirant. Le final est mené tambour-battant, on en perd son souffle et cherche constamment des yeux d'où le masque va surgir... Le film qui a relancé la mode du film d'horreur "slasher" à son époque, quand le genre a failli s'éteindre complètement et sans qui nous n'aurions pas aujourd'hui tous les tueurs (filmiques, j'entends bien !) que nous connaissons depuis. Le film par lequel tout a commencé pour moi, mon coup de cœur, mon film d'horreur préféré.

C'est probablement l'un de mes slashers préférés et avec "Les griffes de la nuit" le meilleur film de Wes Craven. "Scream" redynamise le genre avec en sus un suspense palpitant (qui est le coupable ?). Les révélations finales successives sont vraiment bien trouvées. De plus, les victimes sont loin d'être de simples pantins comme dans les "Vendredi 13". Si les meurtres ne sont pas les plus sanglants du genre, la tension est permanente dès la scène d'ouverture avec le téléphone ("Tu aimes les films d'horreur ?"). Pour le plus grand plaisir des amateurs, le film est bourré de clins d'oeil et de références cinématographiques. A voir absolument.

Craven donne un coup de fouet au genre grâce à un scénario intelligent multipliant les références et les clins d'oeil. L'interprétation est très bonne surtout de la part de Skeet Ulrich et de Matthew Lillard. La scène d'introduction est culte et la mise en scène est irréprochable. Un régal.

Intéressant ! Un slasher sortant du lot qui ne m'a pas juste donné une impression d'une œuvre cinématographie réussite, mais d'un message envoyé aux adolescents qui m'a traversé l'esprit ! Je ne le regarde plus de la même façon qu'avant, un simple divertissement, mais je préfère rester sur le fait que ce film marque une prospérité de la saga « Scream ».
Les tueurs en séries sont un fléau qu’un huis clos come celui-ci peut se permettre d’exploiter. Son image, attachée à un déguisement au masque effrayant amplifie leur fureur. On entre alors dans le cadre d’un thriller organisé sur un entourage bluffeur de la jeune Sidney Prescott (Neve Campbell). Elle représente la victime par excellence, toujours à l’affût d’un drame et de dangers auxquels elle a à faire face.
Le policier Dwight "Dewey" Riley (David Arquette) et la journaliste Gale Weathers (Courteney Cox) se créent une image déterminante pour la suite. Ensemble, leur jeu d’acteur détend l’atmosphère afin d’anticiper le bon ton du film, le moment venu.
Cette œuvre de Wes Craven tient une analyse particulière des films d’horreur. Ce n’est qu’un début parmi tant d’autres essais du genre.

Premier film d'une saga d'horreur mythique, il est clair et net que "Scream" est devenue une légende en terme de slasher. Me concernant, j'ai pas mal la saga "Scream", même si y'a des moments, des passages entre-autres, que je trouve assez nazes et drôles, mais dans le mauvais sens du terme. Concernant ce premier film, je le trouve bon, mais pas si bluffant et effrayant que ça. Y'a quand mêmes des tensions horrifiques qui marchent bien, mais d'autres moments où ça peut virer au nanar, et ça c'est assez dommage. Y'a des soucis au niveau de la mise en scène, des moments horrifiques qui marchent quasiment pas, mais heureusement, le film rebondit bien en nous donnant des surprises et des révélations qu'on aurait jamais pu voir venir. Et puis niveau violence, ça va quoi ! Vraiment, ça servait à rien de faire interdire ce film aux moins de 16 ans, la violence est vite bâclée. Au niveau des acteurs, ça joue plutôt bien. Que ce soit Neve Campbell, Skeet Urich, David Arquette, Rose McGowan, Drew Barrimore, Matthew Lillard ou Courteney Cox (plus le reste que je citerai pas !), ça joue bien à ce niveau-là, les acteurs s'impliquent bien et surjouent pas trop lors des moments horrifiques. Le masque de Ghostface deviendra tellement populaire qu'il est rare de ne pas voir quelqu'un déguisé en Ghostface à Halloween. Donc, "Scream" est un bon film d'horreur-slasher, et même s'il n'arrive pas à la hauteur d'autres films du même genre comme "Freddy les Griffes de la Nuit", "Halloween" ou "Vendredi 13", ça reste prenant et angoissant. Donc matez-le si vous aimez ce genre de film, mais ne vous attendez pas à quelque chose d'énorme, surtout que le suites chuteront en terme de qualité !

Scream LE meilleur flasher qui puisse exister même si ils ne sont pas les plus nombreux ils sont toujours d'une qualité très appréciable hein Jason Leatherface ou bien Freddy.Ce film est un chef d'oeuvre par ses acteurs exceptionnels et une intro qui frôle la perfection que dire franchement. A avoir vu dans sa vie

"Scream" fonctionne par l'hommage réussi qu'il rend avec humour au genre cinématographique dont il se revendique.
C'est un film d'horreur accrocheur qui sent bon les années 90.

Un excellent film d'horreur . Neve Campbell incarne Sydney la principale victime du tueur en série. La figure du masque s'inspire du célèbre tableau Le Cri d'Edvard Munch.

En 1996, Wes Craven redéfini les codes du genre slasher, alors que les films d’horreur pour adolescents sont en perte de vitesse. Film culte à l’ambiance angoissante, ponctué d’effets chocs et gore, de clins d’oeil cinématographiques et plein humour, «Scream» monte en efficacité au fur et à mesure que l’étau se ressert autour des victimes. Le masque du tueur (ghostface) est devenu incontournable et la stressante séquence d’introduction un grand classique. A généré depuis plusieurs suites bien inférieures.

Avant de voir Scream, il faut avant tout savoir cela : Scream n'a rien de vraiment terrifiant, générant tout juste quelques sursauts. Le seul passage qui fiche vraiment la frousse est la scène d'intro qui demeure pour moi l'une des meilleurs scènes de genre dans le cinéma d'horreur. Mais un film d'horreur peut ne pas faire peur et demeurer en même temps excellent. Et heureusement, c'est le cas de ce film. Scream est effectivement excellent et pour plusieurs choses. Déjà il a renouvelé un genre qui était mort même si les films qui suivront après en prenant exemple sur lui seront médiocres pour beaucoup. Le film a aussi de très bons personnages. La mise en scène est un atout majeur, les scènes d'attaque du tueur sont remarquablement bien filmés. La révélation finale est juste géniale. Au niveau de l'horreur, le film marche très bien. Il a une très bonne tension (même si, je le redis, le film ne fait pas vraiment peur). Wes Craven signe un de ses meilleurs films d'horreur aux côtés des Griffes de la Nuit, la Colline a des yeux ou encore la Dernière Maison sur la Gauche. Il livre un film diablement inventif, fun et sensationnel, jonglant habilement entre la comédie satirique et l'horreur pure. Grand classique à visionner pour tout fan de film d'horreur.

L'instigateur d'un nouveau genre dans les annéées 1990, le film d'horreur pour adolescents mettant en scène des adolescents. Un film réussi, sanglant, au suspens efficace. La série des Scream, souvent parodiée, reste en général d'un bon niveau, et en particulier ce premier épisode.

La Revanche du Slasher

Ah, les années 90, cette époque bénie où on croyait que le slasher avait fait son temps, enterré six pieds sous terre avec ses clichés et ses concepts aussi frais qu’un épisode de Derrick. On avait rangé les couteaux de cuisine et les masques de hockey au placard, pensant que le genre avait fait sa révérence après une décennie à faire saigner la rétine des spectateurs. Mais comme un méchant de film d’horreur qui refuse de crever, voilà que Wes Craven débarque avec Scream pour foutre un grand coup de pied dans la tombe encore ouverte du slasher. Craven, c’est un peu le mec qui te dit "T’as cru que c’était fini ? Tiens, prends ça dans ta face, et réveille-toi, bordel !"

L’intro de Scream, c’est un hommage déguisé à tous ces films où l’on sait très bien que répondre au téléphone est une idée aussi brillante que de se gratter une piqûre de moustique jusqu’au sang. Casey Becker, incarnée par une Drew Barrymore qui joue la carte de la blonde en détresse, se fait malmener par un tueur qui aurait pu faire carrière chez les Inconnus avec ses quiz tordus. Sauf que là, c’est pas pour rire. Les règles du jeu sont simples : tu réponds faux, ton copain finit en carpaccio. Et tout le monde sait qu’à ce jeu-là, on finit toujours par se planter. En vrai, c’est un peu comme se dire qu’on va passer un petit moment sympa à mater un film d’horreur sans sursauter : une pure illusion.

Sidney Prescott, la meuf au centre du carnage, est entourée d’une bande de potes qui ont tous un truc en commun : ils connaissent les codes du slasher par cœur. Randy, le pote geek (mais chut, faut pas le dire), c’est le gars qui pourrait te réciter tous les films de John Carpenter comme d’autres te sortiraient la liste des présidents américains. Le mec te balance les règles du jeu sans pression : "Si tu veux survivre, tu ne baises pas, tu ne bois pas, et surtout, tu ne dis jamais 'Je reviens tout de suite'." Ça sent le vécu, ou alors le mec a un abonnement à vie à la VHS.

Scream, c’est aussi un casting en or massif, genre si t’étais un ado dans les années 90, t’as probablement collé leurs posters sur ton mur. Neve Campbell, aka Sidney, c’est un peu la fille idéale que t’as jamais eue. Courteney Cox, avec son brushing parfait, nous sort un contre-emploi total de Monica de Friends et balance du sarcasme comme on balance des mandales. Et puis y’a Drew Barrymore, qui aurait pu être la nouvelle scream queen, mais qui se fait éclater dès les premières minutes. Un peu comme si Luke Skywalker mourait dès l’intro de Star Wars, tu vois le genre ?

Wes Craven, c’est pas le genre à te resservir la même soupe réchauffée. Le mec connaît les ficelles du métier, il les a même inventées. Mais au lieu de te pondre un énième slasher lambda, il te sort un film qui se moque des codes du genre tout en les appliquant à la perfection. C’est du méta avant l’heure, une satire acérée qui te met une claque tout en te faisant marrer. C’est un peu comme si Quentin Tarantino avait décidé de réaliser un film d’horreur après avoir ingéré trop de Red Bull : ça part dans tous les sens, mais c’est maîtrisé au millimètre près.

Scream, c’est la résurrection du slasher, le genre qui revient d’entre les morts plus fort que jamais. Ça saigne, ça hurle, ça te prend aux tripes, tout en te collant un sourire narquois sur le visage. Un coup de maître signé Wes Craven, qui montre que même un genre qu’on croyait mort peut renaître avec un coup de génie. En bref, c’est pas juste un film, c’est un putain de manuel de survie en milieu hostile. Alors, si t’as le cœur bien accroché et que t’es prêt à jouer le jeu, Scream est là pour te rappeler que, dans le slasher, rien n’est jamais vraiment fini.

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Wes Craven relance un genre à bout de souffle depuis quelques années avec ce film.
Il rajoute aux ingrédients classiques du genre de l'humour et beaucoup second degré.
Rires et cris sont indissociables.

cette serie est tout simplement excellente,les acteurs sont remarquables tout comme le scenario et les effets speciaux.