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Un visiteur
3,0
Publiée le 20 août 2018
Des trois films de Dupieux que j’ai vus, c’est le moins poseur et le plus cohérent. C’est l’univers du teen movie américain filmé et mis en musique comme un film de Carpenter, avec l’humour des Monty Python. C’est plein d’idées comiques géniales, qui auraient quand même gagné à fuser un peu plus. C’est parfois trop lent ou répétitif, et même s’il y a un peu plus de fond que dans les autres Dupieux, ça ne suffit pas à maintenir l’intérêt sur la durée (pourtant courte). Un peu plus d’Eric et Ramzy et un peu moins de Dupieux, ça aurait été parfait!
Je kiff ce film totalement barré. Un OVNI à la française, une pépite du genre. Dans ce film, Eric et Ramzi prouvent qu'ils peuvent aller dans d'autres registres.
Steak est loin de l'intelligence des autres films de Quentin Dupieux. Une entrée en matière timide, puéril, fatigante et terriblement répétitive très loin de l'approche absurde de ses autres œuvres ne transparaît pas encore ici. Même le duo Ramzy/Judor fatigue.
Victime d'une mauvaise campagne promotionnelle, ce film a été descendu lors de sa sortie alors qu'il est loin de mériter une réputation aussi désastreuse. Réalisateur à part au sein de la production cinématographique française, Quentin Dupieux livre une comédie originale doublée d'une satire sociétale très pertinente. Par une relecture absurde d'"Orange mécanique", Dupieux questionne notre société en se moquant du caractère influençable de l'être humain. Le duo Eric et Ramzy, accompagné d'un superbe Jonathan Lambert, assurent bien leur rôle en livrant des prestations respectivement très convaincantes. A titre personnel, l'humour n'a pas toujours bien fonctionné sur moi et j'ai trouvé que Quentin Dupieux était un peu moins inventif dans sa mise en scène que dans d'autres de ses long-métrages. Je n'ai pas pris la même claque que devant "Réalité" mais j'ai tout de même bien apprécié "Steak" dont l'originalité et l'aspect décalé ont su me séduire.
Film musical réunissant la crème de la partie expérimentale de la French touch, décalage totalement réussi ... après on adhère ou pas, mérite une seconde chance quand on a pas accroché au premier coup, les convaincus le reverront de nombreuses fois
On s'en bat les steaks ! Le duo Eric et Ramzy est assez indigeste, d'autant plus que ces compères incarneront une fois de plus des personnages de débiles profonds qui ne manqueront pas de nous taper sur le système. C'est plus des situations gênantes que de l'humour à proprement parler, et ce n'est pas non plus le scénario qui va nous tenir en haleine, ici délaissé au profit d'une longue critique caricaturale de la société et de ses modes à la noix. Le cinéma de Quentin Dupieux divise, ou l'on apprécie l'originalité de son travail sur l'absurde, ou l'on est totalement hermétique et ce dès les premières minutes. Mais c'est avant tout l'ineptie qui règnera en maître dans ce "Steak" nous présentant les péripéties ridicules de ces personnages demeurés aux traits fortement exagérés. Le monde perdu de Quentin Dupieux débarque dans le cinéma, mais ne fera pas belle figure avec ce premier long-métrage.
Simplement Culte. Un OVNI mais pas seulement. Un objet d'art. L'absurde et sa magie. Incompris, ce film est pourtant une merveille. Je n'ai jamais autant ri devant un film. Chapeau bas Eric et Ramzy et surtout Quentin Dupieux et toute sa bande!
Dommage que ce film ce soit fait massacrer par une presse plus que douteuse. Un des longs métrage de Quentin Dupieux, une histoire qui dénonce le futur dans laquelle on assiste et franchement dans le nez ça y ressemble. Ce film est littéralement étrange et complètement WTF mais c'est ça qui est génial le plus drôle dans ce film est nos spoiler: deux héro qui passe leur temps a fréquenter les Chivers , sérieusement j'ai bien aimer ce film et je trouve ça dommage qu'on ai vendu ce film comme une comédie lambda et que Eric et Ramzy ce soit fait incendier alors qu'ils sont excellent dans ce film.
Film intemporel... C'est tout simplement incroyable à quel point ça peut être drôle et dépaysant à la fois. On se laisse facilement porter par l'histoire et on ne réfléchie plus mais on rit tout au long du film. Le duo arrive parfaitement à entrer dans ce monde de Quentin Dupieux et ça donne un chef d'oeuvre tout simplement.
En 2007 Quentin Dupieux sortait son premier long métrage déjà prometteur mas heureusement, il est allé bien au delà depuis. On rentre dans son univers bien transgressif avec un duo que l'on connait déjà pour avoir usé des codes de la comédie jeunesse. Le film c'est vrai ne ressemble à aucun autre, et pour cela même la filmographie de Dupieux donne à être connue, même si pour ma part j'ai commencé par la fin. La présence d'Eric et Ramzy fait pencher le style général dans la comédie lourdingue à leur effigie, avec des personnages bêtas tel qu'on a le droit souvent avec eux, cela aurait surement plus fonctionné si ça n'avait pas été le premier, mais du coup ne joue pas en la faveur de Quentin Dupieux. Sinon les Chivers et leur sport débile (dommage qu'il y ai finalement une cohérence j'aurais encore plus aimé s'il n'y en avait pas vu) et la façon désabusé dont traite le personnage de Ramzy le personnage d'Eric qui a tout pris à sa place m'ont fait bien marrer mais globalement, ça ne fonctionne pas aussi "fluidement" que ses autres films. Moins puissant que ce qu'il vient après, mais attention il ne s'agit pas d'un énième navet avec Eric et Ramzy, on est quand même sur du Quentin Dupieux s'il vous plait.
Un film qui est passé complètement inaperçu, c'est vrai que de le voir 10 ans plus tard , la perception est différente, les acteurs sont plutôt pas mal , l'idée du scénario original et il se laisse regarder avec quelques fourires !
Un film comique un peu déjanté, un peu loufoque, totalement Quentin Dupieux.
Peut-être moins bon que Réalité ou Wrong Cops, il n'en reste pas moins très plaisant à suivre. Un super jeu d'acteur de la par d'Eric et Ramzy, une super bande son, et un scénario qui pourrait dénoncer le côté superficiel de la société, complètement égocentriste, obnubilé par l'apparence, et la place de dominant parmi les autres.
Un bon moment de cinéma français indépendant, ajoutant sa pierre à l'édifice de Quentin Dupieux. Son premier long métrage, traçant la voie américaine de ce réalisateur d'exception.
Commençons donc par exposer le plus gros problème du film: Eric et Ramzy.Quand on vois l'affiche on se dis "Ok c'est le nouveau Eric et Ramzy...". A partir de là 2 solutions: a) Je suis fan donc je regarde b) Je ne les aiment pas donc je ne regarde pas Et là se pose le problème car un fan des films d´E et R (si si y'en a à ce qu'il paraît) à extrêmement peu de chance d´être aussi fan de Quentin Dupieux et ce film est avant tout un film d´auteur surréaliste dans la plus pure tradition des films de Dupieux. Bon étant donné que je tape ça sur une Ps4 à la manette je vais m'arrêter là mais non sans dire à tous les cinéphiles éclairé de faire l'impasse sur les critiques et regarder ce chef d'oeuvre du surréaliste.
Déçu, tout simplement, parce que ce n'est pas drôle. Eric et Ramzy nous avaient bien fait rire avec la tour montparnasse infernale mais là je suis étonné du manque de scénario et du platonisme de ce film. Un groupe d'amis "les chivers", dont on ne comprend pas le but. C'est étrange. Et au final pas intéressant.
Si l'on excepte "La tour Montparnasse infernale", il faut bien avouer que la carrière d'Éric et Ramzy frise le degré zéro. Un sentiment qui n'est que confirmé avec "Steak", même si pour le coup leur démarche est plus méritoire. Les deux compères s'attaquent en effet à un cinéma comique un peu plus ambitieux, néanmoins raté sur la forme. Sorti en 2007, il a été réalisé par Quentin Dupieux. Artiste électro, celui-ci passe pour la deuxième fois derrière la caméra. Il y dépeint 2016 et ses atypiques habitants. Ils portent des blousons rouges, utilisent de nouveaux mots et boivent une étrange substance blanche. On pense évidemment à "Orange Mécanique", en mode hexagonal décalé, dont la plupart des trouvailles tombent à plat. L'ensemble s'avère brouillon et teinté d'un brin de prétention juvénile, pardonnable pour cette fois. L'essai est néanmoins notable et l'on veut bien continuer à suivre ce cinéaste en herbe.