Un film incompris par beaucoup, qui pense y voir une comédie populaire signée Eric & Ramzy dans la lignée de leurs autres films, tels "La Tour Montparnasse Infernale". Or, ils ne sont présents dans ce film qu'en tant qu'acteurs, et non pas en tant que réalisateurs, ou encore scénaristes, même si leur manière de jouer reste très proche de ce qu'ils ont l'habitude de faire. Il s'agit finalement plus d'un film d'auteur que d'une comédie, avec un univers et une ambiance très marquée. On peut y trouver quelques références à "Orange Mécanique", notamment par le goût des jeux violents de la bande des Chivers. En bref, un film qui ne ressemble pas aux autres, et une bande-son très travaillée, pour un petit bijou cinématographique qui divise même ceux qui ont compris qu'il ne s'agissait pas d'une comédie populaire classique.
Je m'attendais a une purge me mefiant du duo eric et ramzy mais ce n'est pas aussi lourd que ça surement la faute a un scenar monotone et ininteressant ...heureusement il y a qq moments marrants
Steak, c'est un sacré film quand même, quand on y repense... Un OVNI, comme certains diraient. A la réalisation, Quentin Dupieux, alias M. Oizo, qui nous livre là une long métrage absurde, un humour plus nihiliste que jamais pour le célèbre duo Eric et Ramzy. En effet, comme un tableau a représenté une pipe avec comme légende en dessous "ceci n'est pas une pipe"; ce film pourrait être sous-titré "ceci n'est pas un film comique"... mais on rit quand même! Et c'est là le miracle: le film n'est pas drôle, mais laisse cette trainée de rire derrière lui. C'est l'absurdité des situations plus que les situations elles mêmes qui font rire, cette alternance de silences et de musique superbe signée Oizo, Sébastien Tellier et SebastiAn, ces aphorismes - que vous découvrirez en regardant - lâchés par l'un ou l'autre personnage, ces personnages dans leurs blousons Chivers qui veulent paraître cool quand ils ne sont en fait que des ringardos, car en effet, c'est toute la question de l'être et du paraître qui est traitée, le rapport de l'Homme à son époque, qui est envisagée avec grand talent dans cette production à part. I love the CHIVERS anyway!
Complément décale, scénario débile, sa peut me plaire des fois, mais la avec leurs j'y arrive pas, il faut vraiment aimée leurs humour pour regarder, sinon sa pourra pas le faire
En toute sincérité, Eric et Ramzy ne sont pas des humoristes qui me font "vibrer". Il n'y a qu'à voir leurs longs-métrages des "Daltons" à "Seul-Two" pour se rendre compte de la pauvreté cinématographique dont sont capables les deux compères. Puis arrive "Steak". Réticent avant de le voir, je me rend compte que le réalisateur n'est rien autre que Quentin Dupieux alias Mr Oizo réalisateur de l'excellent "Rubber". C'est ainsi que je me suis laissé entraîner dans ce monde aussi excentrique et inquiétant qu'est ce "Steak". Pour ceux fans et habitués du duo comique, passez votre chemin. Ce film a une véritable atmosphère propre et traite d'un thème assez subtil qu'est le fait d'être accepté par les autres. Certes le scénario est loufoque et pars complètement en co*lles à certains moments et c'est sans doute la force, mais aussi la faiblesse de ce film. Les premières minutes donnent tout de suite le ton. George, un jeune adolescent se faisant martyriser par les gros bras de son école découvre un jour sur la route une arme à feu, qu'il décide de garder sur lui jusqu'au soir ou, après avoir subi une énième journée d'humiliations abat, à l'aide de l'arme en question, ses persécuteurs. Son meilleur ami Blaise le rejoins juste après le drame ou, suite à un événement des plus idiots, c'est sur ce dernier que l'accusation de meurtre tombe. Libéré après plus de 7 ans d'incarcération, ce dernier ce retrouve dans un monde ou l'apparence physique, la violence et la chirurgie esthétique sont les maîtres mots. Le thème de l'acceptation est dors et déjà traité dans ce prologue ou George se retrouve exclu et martyrisé du groupe social qui l'entoure. Or, une fois ce prologue passé, ce même George est toujours en quête d'acceptation, cette fois-ci auprès d'une bande de "joyeux" hooligans nommés les Chivers. Le film se concentrera là-dessus jusqu'à la fin ou, suite à multiples péripéties, le graal tant désiré par ce dernier lui glisse des main. Cependant, comme dit précédemment, l'humour parfois trop loufoque nuit à la qualité générale du film. Lors de certaines séquences, le risible est poussé à l'extrême, et pas toujours très bien maîtrisé. Et c'est dommage! Car, en bon ovni vidéoludique qui se respecte, "Steak" restera dans les mémoires, même si l'ensemble est mitigé tant parfois on frôle l'excellent pour retomber dans le médiocre avant de remonter en flèche. A noter une bande-son de haute qualité de même qu'un Jonathan Lambert toujours aussi hilarant.
Vraiment plus que moyen, ce film a un scénario débile, même si les idées sont bonne, le film n'est pas drôle, et c'est gênant pour un film à visée humoristique. Dommage car y avait d l'idée... Quoique.
L'ambiance est vraiment génial, film bien décalé entre la parodie de film américain des années 80 et le burlesque. Les musiques collent trop bien avec l'ambiance bizarre du film. En plus ça reflète bien la mentalité débile de nôtre société.
j'aurais mieux fait de prendre un sac à dos rempli de carambars avant la séance j'aurais peu-être eu la chance de me marrer un peu .ça commence à faire beaucoup de navets les gars (les daltons,seul two,il reste du jambon,Halal police d'état)
quelle nostalgie en revoyant la série "H" il aurait fallut s'en tenir a ça