Avis : Saw 3 - Page 2

Au niveau des pièges Saw 3 est certainement le plus ignoble et le plus gore (pour certains scènes j'étais réellement en sueurs) mais si ce 3ème opus est dans l'ensemble correct et à sa part de nervosité (le suspense est moindre par contre) il souffre légèrement de longueurs aussi. Donc moins efficace que les 2 premiers mais la qualité est toujours là. Si vous aimez Saw 1 et 2 ce 3 est à voir.

Le premier film était un chef d'oeuvre absolu, le 2e était nettement en-dessous à cause d'une surenchère de mauvais effets et malheureusement, le 3e continue sur cette voie. L'intérêt principal est de savoir comment le film va finir, car le twist est toujours présent, et quel beau twist ! Comme d'habitude, le final impossible à anticiper est dingue et en fait un film extrêmement bien pensé. Le scénario très malin ne parvient pas cependant à faire de Saw III quelque chose du niveau du premier volet. Exit la psychologie des personnages, la mise en scène ingénieuse et le casting (mis à part Tobin Bell). Saw III est un amas de scènes gores et abusées qui diminuent clairement l'intérêt de la saga. La réalisation est ultra-moche, clipesque, et les personnages trop peu creusés. Dommage car le scénario est très malin et la saga ne se contente pas de "faire des suites", tous les films sont en lien les uns avec les autres et forment un tout très bien ficelé.

Le scénario n'est pas beaucoup plus travaillé que dans les deux premiers, mais les meurtres toujours plus cruels et la fin qui est réussie en font le meilleur volet de toute la saga.

Une suite convenable.

Deuxième opus sous la direction de Darren Lynn Bousman et troisième jeu macabre pour Jigsaw. Prévu pour être une trilogie, cet opus devait conclure la saga en beauté. Repoussant toujours les limites du gore, cet opus semble aller encore plus loin dans les séquences chocs et les instants poignants. Alors, réputation validée ou simple opus de transition banal ?
Suite directe là où nous avait laissé Saw 2, on retrouve John Kramer, le tueur au puzzle (Jigsaw en anglais) atteint d'un cancer durant Saw 2, on sait désormais que ses jours sont comptés. Pour essayer de se sauver, il fait appel à une chirurgienne qui va devoir tout tenter pour sauver. Pendant ce temps-là, un nouveau jeu macabre est en route. Original sur le fond, cet opus introduit une nouvelle formule à la saga : le jeu avec une seule personne qui doit choisir entre la vie et la mort pour ceux qu'il croise durant son parcours. Cet opus joue également sur une intrigue double, comme pour les opus précédent : le jeu entre Jigsaw et l'infirmière ainsi que le jeu entre Jigsaw et sa victime. On retrouve les mêmes valeurs propres à Jigsaw, c'est-à-dire, le mérite de la vie, la culpabilité, le remord, la souffrance et surtout la vengeance qui est décidément au cœur même de cet opus. Pour les pièges imaginés dans ce film, on a le droit à des pièges clés destinées à faire avancer le personnage dans sa quête de vengeance. Là où automates riment avec mort assurée, le film met en avant des tortures et pièges malsains qui marquent par leurs réalismes. Ici, les jeux macabres sont poussés à l'extrême lors de séquences chocs qui vont à coup sûr retourner l'estomac ! La fin est excellente, dans la lignée des autres opus avec un retournement de situation inattendu et bien amorcé. On ne s'attend pas à un tel dénouement tant le jeu promettait une autre alternative. Au final, les valeurs de Jigsaw vont être poussées à bout et montrent bien qu'il faut écouter chacune de ses déclarations afin de saisir toutes les pièces du puzzle.
Les acteurs sélectionnés pour cet opus sont toujours aussi convaincants. Ainsi, on retrouve Shawnee Smith et Tobin Bell pour la troisième fois dans leurs rôles respectifs. L'une interprète d'Amanda, la disciple de Jigsaw toujours aussi dérangée et dévouée à son maitre. Son personnage évolue dans cet opus car on voit clairement ses intentions. Et ce fameux Jisgaw, le tueur au puzzle qui se prend encore plus au jeu, en demeurant toujours aussi fou mais qui, par rapport aux autres opus, parle plus de sa vie et de sa philosophie. Un opus clé qui en apprend des tonnes sur ce duo de personnage. Il faut également souligner le rôle très intéressant de Bahar Soomekh (Just Like A Woman) qui endosse le rôle de l'infirmière malgré elle qui doit tout faire pour sauver Jigsaw au risque de voir sa vie écourtée. mention particulière à Angus Macfadyen (Equilibrium) qui s'en tire à merveille dans le rôle de la victime qui doit choisir entre son humanité ou s'adonner à la vengeance.
La réalisation est, encore une fois, à la hauteur de la réputation de la saga. Avec des moyens plus importants que par le passé (10 millions de $ de budget) le film arrive à instaurer un climat très réaliste et encore plus malsain. Les décors suintent la crasse et l'atmosphère est plus pesante grâce à des environnements aux couleurs cramoisies. Les séquences chocs s'enchainent, les nombreuses effusions de sang sont crédibles, le réalisme est très saisissant tant on se laisse prendre facilement au jeu. Saw 3 est l'opus qui a attiré le plus de spectateurs au cinéma car c'est la première fois qu'un film est interdit aux moins de 18 ans sans avoir de connotations sexuelles. Vu les séquences dans le film, cette interdiction est tout à fait justifiée.

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Les + : l'histoire, le côté thriller, twist final, les acteurs, la réalisation, très choc (int -18ans)
Les - : scénario moins emballant que dans le passé

Note : 13 / 20

Saw 3 est l'opus qui aurait mérité un meilleur approfondissement. Peu de nouveautés sont à recenser, mais on trouve quand même quelques idées originales qui font avancer l'histoire. Toujours aussi choquante et poignante, l'intrigue monte en puissance en introduisant la vengeance dans la morale. Les acteurs sont toujours au top pour rendre l'histoire intéressante, la réalisation est toujours aussi propre et exemplaire. Jigsaw, malgré son mal en point, continue son macabre jeu de piste où chaque pièce est une partie du puzzle. Une suite fort appréciable qui amène sa contribution à l'intrigue qui termine, comme à son habitude, en apothéose. Un régal !

Dans la lignée du film précédent, ce troisième épisode permet de comprendre pas mal de trucs. Le gore est au rendez-vous avec perceuse et découpage de boîte crânienne au programme, et le scénario est toujours aussi prenant.

Tout simplement horrible ! cet opus met l’accent sur le gore a tout va c'est ignoble, malsains et vraiment hardcore. Encore une fois la fin bénéficie d'un twist plutôt pas mal mais avec toute la violence et l'horreur montrer auparavant elle est plutôt superflue dans mon esprit.
Je ne comprend pas comment on peut aimer voir cela, je l'ai regarder par curiosité tout en m'attendant a voir du gore vu sont interdiction.Il n’empêche que je n’adhère pas du tout a autant d'atrocités. Les deux précédents était accès sur la tension, la gravité, des thriller donc avec de la violence certes mais pas a ce point.
Bref c'est horrible comme film et je ne suis pas prêt de le revoir de ci tôt.

Comme pour Saw 2 j'allais mettre 3/5 mais les nombreux twists finaux avec la musique ( excellente soit dit en passant ) d'accompagnement m'ont encore une fois étonné pour la 3ème fois consécutif ! Jigsaw est encore plus mourant et paradoxalement il est plus sadique ! un épisode très sanglant, bien au dela des deux premiers films, la scène avec le dispositif à rotation j'ai vraiment eu du mal à la visionner entièrement, j'en avais mal pour lui ! regarder saw 3 pour vous aguerrir y a rien de mieux ^^ je regrette cependant la façon de filmer du réalisateur lors des scènes Hard avec ce rythme saccadé et qui manque de visibilité ! et la présence d'Amanda était pas forcément utile ! sa mort fera sans doute du bien pour la suite, sur ce, il me tarde de voir le 4

"Saw III" reprend exactement là où nous avait laissés le twist final de "Saw II". Un twist final formidablement orchestré grâce auquel nous savons maintenant qu’Amanda est en réalité devenue une disciple de Jigsaw, tout en permettant à ce dernier de prendre celui qui croyait prendre. Tout commence par un rapide résumé de ce que nous avons vu auparavant, ce qui permet au spectateur de se remettre tout de suite dans le bain de cette sombre et inquiétante affaire. Et nous découvrons que le Tueur au puzzle a échappé mystérieusement aux forces de police, pour continuer son œuvre en mettant en place des jeux supplémentaires… encore plus poussés dans le machiavélisme ! Ben oui, sans ça ce ne serait plus "Saw". Bien qu’il y ait un peu moins d’effusion de sang par rapport au 2, il en réssort plus d’horreur apportée par la bande son qui retranscrit fidèlement les craquements d’os, ce qui fait que la restriction relative à l’âge des spectateurs est montée d’un cran. Il faut dire qu’avec une séquence comme celle avec les cochons, il y a de quoi en refroidir plus d’un et de le pousser à faire une pause avant de poursuivre le visionnage de la saga (oh ! zut ! il y a encore des suites ???). Avant l’arrivée du 8 prévu pour le mois de novembre 2017, "Saw III" est donc à ce jour le seul long métrage de la série qui soit interdit aux moins de 18 ans. Cependant, dans son contenu, ce numéro se distingue des deux épisodes précédents dans le sens que nous n’avons pas d’éclaircissements supplémentaires sur les motivations de John Kramer, mais plutôt une complexification du scénario qui rend désormais les trois premiers films indissociables les uns des autres. Pourtant, toutes les recettes qui ont fait le succès de la franchise ont été reprises : l’ambiance y est toujours malsaine et inquiétante, la tension est toujours à son comble, et… quoiqu’on en dise, nous sommes suffisamment curieux pour vouloir connaître le fin mot de l’histoire ! Même si ce troisième volet va plus loin que ses deux prédécesseurs. Si on retrouve tous ces éléments, c’est sans doute dû au fait que c’est encore Leigh Whannell (vous savez, le photographe du 1…) qui est à l’écriture du scénario, dont on ne peut s’empêcher de penser qu’il faut quand même avoir l’esprit sacrément tordu pour imaginer un truc pareil, et toujours Darren Lynn Bousman qui est à la réalisation. Tobin Bell incarne une nouvelle fois avec une présence folle John Kramer (même quand il n’est pas à l’écran !), Shawnee Smith interprète une Amanda plus fébrile que jamais parce qu’elle sent que quelque chose lui échappe (sans savoir quoi), et nous retrouvons aussi Donnie Wahlberg plus enragé que jamais. Les recettes ont beau être les mêmes, et pourtant le constat est clair : les pièges sont encore plus machiavéliques, et les manipulations sont encore plus mises en avant. Le plus fort est qu’on nous réserve une nouvelle fois un dénouement final qui va encore surprendre le spectateur, pour son plus grand plaisir ! Pour son plus grand plaisir ? Attention, ce n’est pas par voyeurisme, ni par sadisme, ni par un certain goût de la torture physique et psychologique, et ni par la soif de sang que le public appréciera "Saw III". Non. C’est tout simplement pour la précision chirurgicale du scénario, de l’œuvre que Jigsaw a pensé, étudié dans ses moindres détails et mis en place avec précision et méticulosité. En somme, pour cette force émanant de ce thriller psychologique, décliné à présent sur trois longs métrages. Oui, les pièges sont toujours plus sadiques, et dès le premier, on notera un changement dans le mode opératoire, par ailleurs relevé par Kerry, brillamment interprétée par Dina Meyer avec cette assurance apportée par la grande connaissance acquise sur le Tueur au puzzle spoiler: : la porte de sortie ouvrant sur la rédemption n’existe plus
! Bien entendu, au moment où j’écris ces lignes, nous savons tous que la franchise n’est pas finie. Mais si le spectateur est attentif, il peut deviner rapidement que l’histoire n’est pas finie. spoiler: Car Kerry a signé son arrêt de mort en comprenant que la façon de faire ne correspondait plus vraiment à Jigsaw. Observez, et analysez la réaction de son interlocuteur…
Alors ? Jigsaw a-t-il corsé encore un peu plus ses épreuves, ou Amanda a-t-elle apporté sa patte ? A moins que le docteur Lawrence Gordon (dont nous n’avons plus de nouvelles depuis son échappée à la fin de "Saw" premier du nom) ne soit entré dans la danse ? Que la partie commence !

Tout pareil que le second. Mais en plus sale beaucoup plus sale.

Les pièges ne se contentent plus d'être graphiques, il y a une véritable psychologie derrière chacun d'eux qui fais froid dans le dos. Je pense notamment au piège dis des porcs qui consiste en gros a attacher quelqu'un au fond d'une cuve qui se remplit peu a peu de ce qui reste des cochons qui se font ""fraîchement"" eviscérer juste au dessus. Pas une goutte de sang (humain en tout cas) pas de membres arrachés ou autres joyeusetés, ici l'horreur tient non seulement de la violence de la mort (la noyade quelle horreur) et SURTOUT du fait que la personne concernée peut a tout moment être sauvé par l'homme qui le regarde d'en haut. Beaucoup de gens semblent ne pas comprendre pourquoi SAW III est interdit au moins de 18 ans. Car c'est le seul opus à présenter des pièges purement sadiques. Le tueur met en place la machinerie mais les victimes ne dépendent pas de lui, elle dépendent d'elles même ou des personnes dans la même situation. Ici, le piège des porcs est un exemple parfait, la mort je le répète n'est pas graphique elle joue plus sur le choix de la mort qui peu paraître atroce pour certains et """"soft"""" pour d'autres (comprenez comparé aux reste). Ce qui a du déranger le comité de classification, c'est le fait qu'un homme (pas vraiment une victime a ce moment du film) laisse cet homme mourir devant ses yeux alors que ça ne lui couterait rien de le sauver (a part la vengeance qui le motive). Il laisse un autre être humain mourir pour sa satisfaction personnelle. Cruel la saga l'a toujours été. Sadique a ce point jamais autant. Cela justifie totalement le -18 selon moi, la cruauté de certaine scène est vraiment hardcore.

Très bonne suite en tout cas, dans la lignée du 2eme épisode, Darren Lynn Bousman fait du très bon travail.

Le terrible Tueur au Puzzle est mourant, il s'essouffle... et la saga avec, malheureusement. Autant le deuxième opus était très différent de son prédécesseur mais tout aussi bien, que ce troisième volet est peut-être trop différent, et en moins bien. La tension précédemment installée s'en va petit à petit, même les pièges ne nous font plus frissonner (mis à part le premier piège, selon moi le plus dérangeant parmi les 3 premiers films), et le scénario n'est plus aussi captivant : ça devient comme un psychodrame autour de la disciple de Jigsaw, fille que je ne supporte pas. En prime : une scène digne d'une série médicale, parfaitement inutile si ce n'est dégoûter le spectateur. Bref, seul le tout dernier twist relève véritablement le niveau.

Mouais... Comme je m'en doutais, on a déjà là l'épisode de trop, alors quand on sait qu'il va y en avoir au moins six... Dans ce nouveau volet, finalement bien moins sanglant que ce que j'aurais craint (il n'est pas pire que les deux précédents je trouve), l'intrigue est vraiment très mauvaise. Qu'on veuille volontairement perdre le spectateur pour le surprendre à la fin du film, c'est une chose, mais là, on décroche carrément tellement tout ça n'a ni queue ni tête. Alors oui, à la fin, tout concorde, mais bon, on a un peu envie de se dire "Tout ça pour ça ?"
Le pire, c'est qu'ici, tout est chiant à mourir, que ce soit les dialogues du tueur avec sa protégée et la médecin, les prises de tête de la protégée, ou les casse-tête auxquels la nouvelle victime est confrontée. A commencer d'ailleurs par la première partie du film mise là juste pour se débarasser d'un personnage qui était là depuis le début de la saga et dont les scénaristes ne savaient sans doute plus quoi faire.
Encore une fois, on ne s'attache pas du tout aux personnages, surtout au fameux personnage central dont on ne comprends pas du tout l'histoire avant la fin, si bien qu'on reste assez passifs devant le film. On regarde, et on s'en fout un peu. La fin de ce volet annonçait la fin totale de la saga, et puis finalement, l'appel de l'argent aura encore été le plus fort, et les scénaristes auront réussi à faire des suites. Par curiosité, je demande à voir, mais franchement, je ne m'attends plus à grand chose vu comme la saga a dégringolé dans le ridicule à la vitesse grand V.

Un très très grand film qui a marqué ma culture cinématographique, une suite exceptionnelle avec un scénario cohérent et étourdissant.
Des décors parfaits plus qu'angoissants pour nous plonger dans un cadre parfaitement horrifique.
les couleurs sont incroyables, notamment quand nous apercevons dans des scènes un bleu magnifique ou des couleurs très saturées, accompagnées de teintes nauséeuses, celles ci évoquent un établissement médical. Le gore est représenté à merveille, et c'est bien trash comme il faut, ça fait du bien de temps de voir des horreurs pareilles.
Malgré de mauvaises critiques je déclare que Saw 3 est le meilleur volet de la saga, y'a les meilleurs pièges notamment avec Troy qui est sûrement l'épreuve la mieux représentée, et La tordeuse est l'épreuve la plus éprouvante et la plus hardcore.
En revanche la version director's cut est largement moins bien, et se rapprocherait du 4/5 à cause de ses longueurs insensées et inutiles. Je le déconseille aux moins de 18 ans. Mais pour la version courte d'une heure et demie, j'attribue sans hésitation un 5/5

Moins bien que les deux premiers mais toujours un plaisir pour les fans de la saga .. avec des pièges de plus en plus tordu 14/20

Ambiance torture porn insupportable, violence gratuite et délires sadiques/gores hyper dérangeants... À éviter.

Comme le premier, avec moins de plus et plus de moins (bon slogan pour une manif, non?). Une demi-étoile pour les rebondissements en chaîne typique de saw. Sinon, le reste, d'une violence qu'on ne finira jamais de dénoncer, est à jeter et à oublier. Le plus mauvais de la saga incontestablement.