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Pasun film inoubliable certes, mais un ton au-dessus des inepties du genre qui polluent les écrans. (...) un sympathique panel de caricatures, (...) [dont] l'hystérique maman chic de l'Upper East Side campée par une parfaite Laura Linney.
Cliché ? Oui, tout comme cette expression confuse que [Scarlett Johansson] a en permanence (...) dans tous ses rôles. Mais ce n'est pas tellement pour ses talents d'actrice qu'on [l']apprécie, mais pour sa présence et son attitude "hepburnienne" (...).
La critique complète est disponible sur le site Metro
(...) un tableau acide de la prétendument haute société bourgeoise new-yorkaise sûre de ses préjugés coincés, de sa bonne conscience et de sa richesse assumée.
Véhiculant des clichés éculés à travers des personnages superficiels, le récit tâtonne (...) Reste la voix-off qui commente avec humour les dérives de la société humaine et les ravages de la misanthropie.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
(...) c'est Scarlett qui fait la baby-sitter ! En effet cela change tout. Coup de chance pour les possesseurs de carte illimitée : c'est la séquence d'ouverture
La critique complète est disponible sur le site Positif
Les réalisateurs ne font pas que dans les bons sentiments, ils aiment aussi les mauvais : ça donne quelques scènes plutôt croustillantes, servies par un bon casting.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Heureusement, la mise en scène a ce qu'il faut d'originalité artistique pour éviter à cette baby-sitter d'être totalement insupportable...pour qui aime le genre.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le film remplit sa double fonction satirique et romanesque. Ce qui nous amène à imaginer un film (un autre, moins gentillet), qui aurait pris son parti et envisagé la nounou à travers ses yeux, pour un pari autrement paradoxal et doublement glaçant.
La comédie dramatique aussi acide soit-elle est (...) assez prévisible et on attend sans surprise les déconvenues de la femme méprisante et du mari lointain (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Si la mise en scène est toujours aussi décalée, (...) l'histoire aligne les clichés sur la haute bourgeoisie new-yorkaise qui aboutissent à une conclusion convenue. Décevant.
Pas de surprises dans cet inventaire de clichés, sinon celle de découvrir (...) que le syndrome Mary Poppins fait encore ravage. Dans le rôle de Madame X, (...) Laura Linney s'offre une parodie de Julie Andrews.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) un film de nounou un peu bof-bof qui aligne trop de banalités pour se démarquer du flot continu de chick flicks (films pour filles) déferlant sur nous à longueur d'année.
La critique complète est disponible sur le site Première
Il y avait de quoi espérer mieux que ce film bancal, écaterlé entre la fantaisie débridée, la satire grinçante et la comédie gnangnan pleine de bons sentiments frelatés.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
On craque pour cette comédie acidulée dans l'univers impitoyable des yuppies new-yorkais, qui nous vaut quelques scènes de moeurs croquignolettes.
MCinéma.com
Pasun film inoubliable certes, mais un ton au-dessus des inepties du genre qui polluent les écrans. (...) un sympathique panel de caricatures, (...) [dont] l'hystérique maman chic de l'Upper East Side campée par une parfaite Laura Linney.
20 Minutes
Amusant, mais le film s'essouffle.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.com
Metro
Cliché ? Oui, tout comme cette expression confuse que [Scarlett Johansson] a en permanence (...) dans tous ses rôles. Mais ce n'est pas tellement pour ses talents d'actrice qu'on [l']apprécie, mais pour sa présence et son attitude "hepburnienne" (...).
Ouest France
(...) un tableau acide de la prétendument haute société bourgeoise new-yorkaise sûre de ses préjugés coincés, de sa bonne conscience et de sa richesse assumée.
Paris Match
Véhiculant des clichés éculés à travers des personnages superficiels, le récit tâtonne (...) Reste la voix-off qui commente avec humour les dérives de la société humaine et les ravages de la misanthropie.
Positif
(...) c'est Scarlett qui fait la baby-sitter ! En effet cela change tout. Coup de chance pour les possesseurs de carte illimitée : c'est la séquence d'ouverture
Télérama
Les réalisateurs ne font pas que dans les bons sentiments, ils aiment aussi les mauvais : ça donne quelques scènes plutôt croustillantes, servies par un bon casting.
Brazil
Heureusement, la mise en scène a ce qu'il faut d'originalité artistique pour éviter à cette baby-sitter d'être totalement insupportable...pour qui aime le genre.
Chronic'art.com
Le film remplit sa double fonction satirique et romanesque. Ce qui nous amène à imaginer un film (un autre, moins gentillet), qui aurait pris son parti et envisagé la nounou à travers ses yeux, pour un pari autrement paradoxal et doublement glaçant.
Le Figaroscope
La comédie dramatique aussi acide soit-elle est (...) assez prévisible et on attend sans surprise les déconvenues de la femme méprisante et du mari lointain (...).
Le Journal du Dimanche
Si la mise en scène est toujours aussi décalée, (...) l'histoire aligne les clichés sur la haute bourgeoisie new-yorkaise qui aboutissent à une conclusion convenue. Décevant.
Le Monde
Pas de surprises dans cet inventaire de clichés, sinon celle de découvrir (...) que le syndrome Mary Poppins fait encore ravage. Dans le rôle de Madame X, (...) Laura Linney s'offre une parodie de Julie Andrews.
Les Inrockuptibles
Malgré le charme de Scarlett Johansson, cette satire de la bourgeoisie new-yorkaise manque de piquant.
Première
(...) un film de nounou un peu bof-bof qui aligne trop de banalités pour se démarquer du flot continu de chick flicks (films pour filles) déferlant sur nous à longueur d'année.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Il y avait de quoi espérer mieux que ce film bancal, écaterlé entre la fantaisie débridée, la satire grinçante et la comédie gnangnan pleine de bons sentiments frelatés.
aVoir-aLire.com
L'idylle attendue entre la Scarlett et le beau gosse de service (...) achève d'enfoncer cette oeuvre mineure dans la mièvrerie ringarde.