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Un visiteur
4,0
Publiée le 9 mars 2008
Malgré des critiques presse et spectatrices peu élogieuse, j'émets un avis positif sur le film "J'veux pas que tu t'en ailles". Ce n'est bien sûr pas un chef d'oeuvre du cinéma mais le film est agréable, léger, drôle.
Comédie française très réussi avec un richard berry exemplaire.les 3 acteurs principaux sont tous impliqués,ce problème d'adultère remixé à la sauce comédie.Le petit bonne enfant du film laisse à l'acteur l'envie de rire , on est pas coupé par quelques morales ou scènes un peu choc.tout est fait pour passer un bon moments.
Grosse déception pour ce film sans AUCUNE surprise. Certes, les acteurs jouent bien mais au service d'une non histoire, ou plus exactement d'une histoire vue mille fois, desservie par des dialogues à la limite du bla bla.
Un beau matin, alors qu'elle est en train de faire un rêve visiblement coquin, Carla prononce le nom de Raphael. Paul, son mari psy, est a ses côtés et reste perplexe. Un peu plus tard dans la matinée, un patient lui confie avoir une relation avec une femme mariée qui s'avère être la sienne. Dès lors, Paul va tenter de manipuler son patient pour reconquérir sa femme.
Encore un film sur la complexité des triangles amoureux, entre le couple en pleine routine, et l'amant de la femme. L'idée d'insérer la psychanalyse dans l'histoire fut excellente, mais cependant pas très bien exploitée.
Si le concept du film est bon, le tout demeure plat et sans aucune envergure. Il suffit d'avoir vu la bande annonce pour prendre le peu de plaisir que ce film procure. Richard Berry en psy ets convaincant mais sans plus. Reste la fraicheur souvent candide de Judith Godrèche et le charme de Julien Boisselier. Mais au-delà de ça, pas grand chose.
C'est bien dommage. Mieux vaut surement attendre la sortie DVD pour voir
Pour son second film, Bernard Jeanjean reste dans le même esprit que J'me sens pas belle. Si ce dernier parlait de la rencontre avec le désir et des angoisses qu'il engendre dans un couple, J'veux pas que tu t'en ailles dresse le portrait du couple une fois qu'il est bien établi, quand on a enfin discerné l'amour mais que l'on redoute de le perdre. On pourrait donc décrire ces deux premiers films de Jeanjean comme une saga sur le couple qui expose tout les sentiments de peur, d'appréhension et de doute auxquels l'amour doit faire face à ses différents stades. Et si le scénario peut faire beaucoup penser à Petites confidences à ma psy, ce film n'en demeure pas moins beaucoup plus profond et sincère qu'une simple comédie romantique. Le cinéaste met en scène des acteurs au talent avéré. Richard Berry est irréprochable, tout comme la ravissante Judith Godrèche, et le jeune Julien Boisselier, que l'on avait récemment pu voir dans Je vais bien ne t'en fais pas dans le rôle de Thomas, continu à faire ses preuves en nous offrant une prestation plus que correcte. Finalement, la force de ce film ne réside pas dans sa trame, ni même dans sa capacité comique ou sa capacité à émouvoir, mais plutôt dans la bonne foi qu'il dégage. On sent un réel désir de mise en scène et, même si le scénario est un peu maladroit ou pas vraiment recherché, on devine que ce film a été fait avec beaucoup de ferveur. C'est peut-être ça qui le rend sur le fond touchant, sa sincérité. [mon blog de critiques ciné : http://redross.skyblog.com]
Richard Berry est formidable, c´est un plaisir le voir jouer le role de psy trompé. Il est parfait. Le sujet n´est pas mal et il y a quelque moment vraiment drole. Mas Julien, meme il fait um bon contraste avec Richard, il n´a pas carisme, je ne compris pas pourqois une famme cherche un amant comme lui. La famme est jolie, mais froide, antipathique et déplaisant. Dommage, parsque la histoire est incroyable. Une famme comme ca non merit pas tell effort.
excellent téléfilm, mais elle est où Josephine? Sans rire, ce film est ennuyeux, long (1h20), les comédiens ne sont pas à leur top, l'histoire n'est même pas originale, c'est pas drôle et c'est pas triste. Enfin les personnage ne sont pas crédibles un instant.
Un constat s’impose comme une évidence tout au long de cette comédie – pitch : Godrèche ne joue pas mais incarne véritablement la connerie. A partir de là… « J’veux pas que tu t’en ailles » ... Trop tard !