D'une grande rigueur formelle, cette ballade désenchantée dans une Alégrie chaleureuse et cruelle à la fois fait songer à "Profession reporter" d'Antonioni. C'est dire s'il s'agit d'un grand film.
je n'ai pas regardé la totalité du film,je me suis arrêtée à la premiére scene de barbarie ou une pauvre vache se fait attacher à un arbre pour subir un coup de couteau fatale,et je passe les détails sordides,si vous pensez que c'est du trucage portez des lunettes,hélas c'est une scene bien réelle,ceux qui qualifient ca de "grand film" vous devez avoir un probléme,pour moi ce n'est qu'un pur NAVET ni plus ni moins,mais bon il faut croire que certains aiment ca et s'en delectent ce qui n'est pas le cas des ames sensibles,alors merci à ceux qui postent ce genre d'horreurs de nous prévenir,surtout que c'est une obligation du CSA de signaler les scenes d'horreur afin de nous eviter de subir ca.
Un film aux allures de documentaire façon émission TV "strip tease". Une scène un peu gore où l'on voit un taureau se faire égorger pour servir de bifteck. Une autre scène où une femme se fait frapper par son frère. On assiste ici à certaines traditions du Maghreb. Mais au final, il n'en ressort pas grand chose...
Rabah Ameur-Zaïmeche signe une magnifique déclaration d'amour à son pays d'origine : L'Algérie, par cette belle œuvre onirique, tendue, subtile, vibrante du désir d'un possible qui n'est encore que pour demain.
A la suite de la lecture d'un article du monde assez peu optimiste sur l'avenir du cinema d'auteur, je suis allé voir les 5 films qui concourraient pour le prix Louis Delluc et dont Le monde parlait. Bled Number One (difficile trouver: une seule séance au Brady) est le plus étonnant et je regrette d'avoir réussi à le voir. C'est nul. Incroyablement nul. Extremement mal joué. Un scénario mal cousu. Mais heureusement ce n'est pas ça le cinéma d'auteur. (il n'y a pas d'oeuvre! comment pourrait-il y avoir un auteur ?)
je ne vois pas où le scénariste veut en venir , Kamel est expulsé ok , je ne vois pas son désarroi , il a le "cafard" qu'à la fin alors qu'en général les expulsés pètent les plombs dès le début , alors que lui on dirait qu'il est en vacance !!!!!!!!!!!! sa relation avec Louisa est ambigu, bref une histoire qui ne tient pas debout , et de grâce , arrêtez de prendre des acteurs qui parlent français quand les autres acteurs s'adressent à eux en arabe , n'est ce pas Kamel et Louisa ?
Film proche du documentaire, il est interessant de part la vision de terrain qu'il donne d'une société qui n'a pas encore sû accorder aux femmes leur place dans la modernité. Malheureusement, le parti pris de lenteur et la recherche d'autoquestionnement du spectateur fait que l'on a tendance à beaucoup s'ennuyer. les acteurs sont bons et le medecin psychiatre de l'hopital de Constantine est vraiment fabuleux d'humanité. Cela ne suffit malheureusement pas pour que l'on prenne un reel plaisir à voir ce film.
Une etoile car l'histoire aurait pu etre bien mais bon...Quand la bande son prend la moitié du temps du film c'est qu'on a rien à partager...Surtout que cette derniere était vraiment nul !
Une film puissant. C'est oppressant mais justement oppressant. Un regard intelligent sur une Algérie complexe, pleine de contradictions, tiraillée entre le poids des traditions et le désire de liberté. Très chouette. Toutefois, je n'ai pas compris les scènes où on voit le musicien.
Je suis parti voir le film avec un ami pour voir Ramzy, quelle déception j’ai jamais vu un film aussi nul que celui la même le film bulgare que j’ai vu la semaine dernière n’était pas aussi nul, il pourrait même être utilisé comme moyen si un jour l’euthanasie est toléré.
Je pourrais le résumé sur ces quelques lignes :
• Film sans histoire ni rien du tout • Des pseudo-acteurs décevant • Un silence qui tue ni parole ni musique
A ne pas voire même si il n’y a rien a voire, pour moi c’est le film le plus nul jamais vu.