Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
L'homme qui marche (...) c'est l'humanité ramenée à l'essentiel : un mouvement absurde et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Epuré jusqu'à la raréfaction, "L'homme qui marche" pratique la politique du ventre vide : les plus grands acteurs y brillent de mille feux (...)
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Agata Makino
C'est dans ses décrochages et son sens tragique de l'absurde que le film l'emporte, et fait oublier certains épisodes facultatifs.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Emile Breton
On peut imaginer que (...) Aurélia Georges, ayant rencontré dans la rue la silhouette (...) de ce diaphane personnage, décida de lui donner l'épaisseur d'une vie. Ainsi naissent les meilleurs films, d'une rencontre (...)
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Aurélia Georges ne cherche pas l'empathie envers ce flâneur, paria, SDF bohème et peu sociable. Elle observe son isolement (...) un processus d'exclusion, l'imperceptible désintérêt, au fil des ans, de la population parisienne pour ce personnage devenu quasiment invisible.
Télérama
par Mathilde Blottière
(...) ce premier film épuré et poétique propose une curieuse expérience : une déambulation dans l'espace et le temps, sur les pas d'une sorte de " clochard céleste ".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Libération
par Eric Loret
(...) Un récit plutôt touchant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Guillaume Thion
Pour son premier film, Aurélia Georges parvient à faire passer ce sentiment fort et assez rare au cinéma malgré un budget des plus modestes. Après un démarrage un peu longuet, la figure de César Sarachu et son jeu toujours juste emportent le morceau.
Studio Magazine
par Benoît Basirico
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ouest France
par La Rédaction
Un portrait épuré dans une mise en scène sophistiquée qui exclut toute perspective d'adhésion, d'empathie, d'approche.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Un portrait en creux intellectuellement intéressant mais qui manque singulièrement de chair.
Positif
par Vincent Thabourey
(...) une marginalité doucereuse jusqu'à en être particulièrement inconfortable et indolore pour ses spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Les Inrockuptibles
L'homme qui marche (...) c'est l'humanité ramenée à l'essentiel : un mouvement absurde et émouvant.
Cahiers du Cinéma
Epuré jusqu'à la raréfaction, "L'homme qui marche" pratique la politique du ventre vide : les plus grands acteurs y brillent de mille feux (...)
Chronic'art.com
C'est dans ses décrochages et son sens tragique de l'absurde que le film l'emporte, et fait oublier certains épisodes facultatifs.
L'Humanité
On peut imaginer que (...) Aurélia Georges, ayant rencontré dans la rue la silhouette (...) de ce diaphane personnage, décida de lui donner l'épaisseur d'une vie. Ainsi naissent les meilleurs films, d'une rencontre (...)
Le Monde
Aurélia Georges ne cherche pas l'empathie envers ce flâneur, paria, SDF bohème et peu sociable. Elle observe son isolement (...) un processus d'exclusion, l'imperceptible désintérêt, au fil des ans, de la population parisienne pour ce personnage devenu quasiment invisible.
Télérama
(...) ce premier film épuré et poétique propose une curieuse expérience : une déambulation dans l'espace et le temps, sur les pas d'une sorte de " clochard céleste ".
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
(...) Un récit plutôt touchant.
MCinéma.com
Pour son premier film, Aurélia Georges parvient à faire passer ce sentiment fort et assez rare au cinéma malgré un budget des plus modestes. Après un démarrage un peu longuet, la figure de César Sarachu et son jeu toujours juste emportent le morceau.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ouest France
Un portrait épuré dans une mise en scène sophistiquée qui exclut toute perspective d'adhésion, d'empathie, d'approche.
TéléCinéObs
Un portrait en creux intellectuellement intéressant mais qui manque singulièrement de chair.
Positif
(...) une marginalité doucereuse jusqu'à en être particulièrement inconfortable et indolore pour ses spectateurs.