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Votre avis sur Frontière(s) ?
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Ridicule et mauvaise.
Un jeu d'acteur surfait, on reste dans le délire "nous, parce que c'est nous on a rien"..Bon
Inutile.. une perte de temps totale.
Un jeu d'acteur surfait, on reste dans le délire "nous, parce que c'est nous on a rien"..Bon
Inutile.. une perte de temps totale.
C'est un film réaliste qui annonçait déjà a l'époque la violence actuel,sur un fond politique résultant d'une réaction négative des cartiers sensibles, au respect des régles de l'état,le problème de ces jeune ne se résume pas seulement à cela car leurs non respect des règles de non vol et autres infraction aurait pu être commis sous un autre régime.
Pour le scénario il est certain que la continuité du film était d'amener ces jeunes délinquants dans cet endroit sordide et malfaisant, les acteurs sont moyens sauf Anne
Lefebure qui est surprenante de talent ,le comportement du maitre de famille est tout simplement ignoble et l'atmosphère du film est difficilement supportable,cette famille d'accueil à la frontière est non seulement cannibale,mais aussi d'un autre temps ou régnait le nazisme dure et inhumain.
C'est un film qui annonce au gens la dure réalité de notre future,vrais ou non,à vous de voir.
Pour le scénario il est certain que la continuité du film était d'amener ces jeunes délinquants dans cet endroit sordide et malfaisant, les acteurs sont moyens sauf Anne
Lefebure qui est surprenante de talent ,le comportement du maitre de famille est tout simplement ignoble et l'atmosphère du film est difficilement supportable,cette famille d'accueil à la frontière est non seulement cannibale,mais aussi d'un autre temps ou régnait le nazisme dure et inhumain.
C'est un film qui annonce au gens la dure réalité de notre future,vrais ou non,à vous de voir.
Alexarod
Ce film m’avait interloqué à sa sortie, entre son synopsis, les barrières qu’il dépassait et le renouveau de l’horreur en France après Haute Tension, il y avait de quoi attirer. Puis Le Bihan et Lefebure dans un style atypique ça avait quelque chose d’assez innovant pour être testé.
Sauf que c’est ignorer le but de ce film, qui est clairement : explorer les limites de l’être humain ainsi que de ce qu’on peut tourner. En cela le choix du réalisme est fort à propos, sinon on ne se sentirait pas concerné, ou trop détaché en tous cas, or là non. Du coup on a droit à un bon maquillage (mieux que les FX, un peu dépassés), des dialogues crus, des plans durs et même l’état de choc trop souvent oublié dans ces cas-là. La réalisation est également proche du vrai, notamment lors des scènes d’action filmées de façon très nerveuses, presque caméra à la main. Certes ça fait fouillis mais ça dynamise aussi la narration plus plate.
Niveau influences on a clairement Massacre à la tronçonneuse, ça pourrait en être un remake (ou d’Hostel), Blair Witch pour certaines prises de vues, un peu de la Colline a des yeux, du Haute tension pour la touche française et de la Haine pour le texte. Sauf que tout ça ne suffit pas à sauver le fond qui n’est qu’un amas de tortures et morts variées, avec du gore à outrance, saupoudré de glauque et de sordide, tout en cherchant un peu à dénoncer le nazisme et l’autarcisme de façon maladroite. En plus ça ne joue pas très bien, la palme revenant à Aurélien Wiik qui loupe la gestuelle et le ton, puis le début est incompréhensible, et on ne nous aidera pas par la suite.
En bref c’est un long métrage très dispensable, grossier dans son traitement, insoutenable et qui va loin, mais certainement trop loin, aux frontières…
Sauf que c’est ignorer le but de ce film, qui est clairement : explorer les limites de l’être humain ainsi que de ce qu’on peut tourner. En cela le choix du réalisme est fort à propos, sinon on ne se sentirait pas concerné, ou trop détaché en tous cas, or là non. Du coup on a droit à un bon maquillage (mieux que les FX, un peu dépassés), des dialogues crus, des plans durs et même l’état de choc trop souvent oublié dans ces cas-là. La réalisation est également proche du vrai, notamment lors des scènes d’action filmées de façon très nerveuses, presque caméra à la main. Certes ça fait fouillis mais ça dynamise aussi la narration plus plate.
Niveau influences on a clairement Massacre à la tronçonneuse, ça pourrait en être un remake (ou d’Hostel), Blair Witch pour certaines prises de vues, un peu de la Colline a des yeux, du Haute tension pour la touche française et de la Haine pour le texte. Sauf que tout ça ne suffit pas à sauver le fond qui n’est qu’un amas de tortures et morts variées, avec du gore à outrance, saupoudré de glauque et de sordide, tout en cherchant un peu à dénoncer le nazisme et l’autarcisme de façon maladroite. En plus ça ne joue pas très bien, la palme revenant à Aurélien Wiik qui loupe la gestuelle et le ton, puis le début est incompréhensible, et on ne nous aidera pas par la suite.
En bref c’est un long métrage très dispensable, grossier dans son traitement, insoutenable et qui va loin, mais certainement trop loin, aux frontières…
Superbe film ce Frontière(s), je l'avais vu a l'époque, je le revois aujourd'hui, et je ne suis pas déçu !
Original, un montage fabuleux (la scène du repas de fiançailles !), et des gueules...des gueules !
Vraiment bravo a tous les acteurs, cela a dû être très éprouvant pour eux !
Avec Martyrs, sensiblement de la même époque, le film français d'horreur faisait dans l'originalité (surtout Martyrs) et dépassait par sa qualité bien d'autres films américains, anglais etc...
Modifier | Retour | Copier | X Nouveau Texte
Original, un montage fabuleux (la scène du repas de fiançailles !), et des gueules...des gueules !
Vraiment bravo a tous les acteurs, cela a dû être très éprouvant pour eux !
Avec Martyrs, sensiblement de la même époque, le film français d'horreur faisait dans l'originalité (surtout Martyrs) et dépassait par sa qualité bien d'autres films américains, anglais etc...
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Ah ouais faut l'encaisser ce truc... C'est dans la lignée des Saw et Hostel, tendance Hante tension puisque c'est français, sauf qu'on n'a pas les compétences nécessaires pour monter un vrai film qui en envoie, donc ça copie pas mal. Quelques têtes connues mais pas à leur place même si dans ce marasme complet on s'en rend peu compte.
Au moins ils mentent pas sur l'affiche, c'est une boucherie et ça va aux frontières du supportable, mais aussi du dégoût et du nimp, donc on zappe.
Au moins ils mentent pas sur l'affiche, c'est une boucherie et ça va aux frontières du supportable, mais aussi du dégoût et du nimp, donc on zappe.
Une tension indéniable, une ambiance pesante tout du long dans un coin de France profonde. Quelques défauts, dont le jeu inexpressif de Le Bihan, mais à voir sans hésiter pour les amateurs du genre.
Frontière(s) est vraiment correct dans son genre, avec une photo du film assez spectaculaire. Dommage qu'il y a des détails qui fâchent... Le jeu des acteurs est minimaliste, très incohérent par moment, à force de cumuler les scènes gores, on ne laisse pas le temps au spectateur de s'installer dans ce malaise. Frontière(s) est décevant car il avait le potentiel, mais il mérite tout de même largement d'être vu.
L’affiche était alléchante…un peu racoleuse certes, mais elle donnait bien envie de visionner le film. Au final, le sentiment est mitigé…
D’un coté, le film s’avère plutôt efficace dans son intention de surenchère de gore et d’hémoglobine. Il est rapidement malsain et sale, certaines scènes pouvant largement soutenir la comparaison avec d’autres survivals américains (la scène du tendon d’achille, la mort de Le Bihan, le final... sont de vraies réussites…). L’actrice principale livre une belle performance, comme souvent c’est la dernière survivante que l’on retient dans un film et Karina Testa ne fera pas exception à la règle. Le reste du casting est beaucoup plus oubliable, les autres membres du groupe jouant relativement mal et étant peu crédibles (voir insupportables). On retiendra cependant Estelle Lefebure, ultra sexy en allumeuse tueuse (tiens ça sonne bien…) et Samuel Le Bihan (que j’adore et qui est malheureusement trop sous-estimé) en bon bourrin de base.
Mais d’un autre coté, on a franchement du mal à trouver un sens au film et au message qu’il cherche à délivrer. L’idée de mettre l’extrême droite au pouvoir (chose malheureusement de plus en plus réaliste…) aurait pu être une trame intéressante si elle avait été mieux exploitée. Or là, on n’en parle à peine pendant le générique et ensuite on zappe ce contexte pour le retrouver après une demi-heure de manière ultra caricaturale, lorsque l’on apprend que les méchants sont nazis. Cet aspect gâche d’ailleurs en grande partie le film, le scénario étant infesté de clichés et de raccourcis faciles sur les fanatiques nostalgiques du Fuhrer (en tenue militaire, cherchant à reproduire la race supérieure...).
En fait, c’est vraiment ça qu’on peut reprocher au film, c’est qu’il n’a pas su faire de choix entre la dénonciation politique sur un sujet intéressant et d’actualité et un pur film de genre, gore. Dommage car autant l'aspect politique est bâclé et totalement raté dans le film, autant si on prend Frontière(s) pour un survival classique, il s'avère réussi et entre directement sur le podium des meilleurs films gore français...
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
D’un coté, le film s’avère plutôt efficace dans son intention de surenchère de gore et d’hémoglobine. Il est rapidement malsain et sale, certaines scènes pouvant largement soutenir la comparaison avec d’autres survivals américains (la scène du tendon d’achille, la mort de Le Bihan, le final... sont de vraies réussites…). L’actrice principale livre une belle performance, comme souvent c’est la dernière survivante que l’on retient dans un film et Karina Testa ne fera pas exception à la règle. Le reste du casting est beaucoup plus oubliable, les autres membres du groupe jouant relativement mal et étant peu crédibles (voir insupportables). On retiendra cependant Estelle Lefebure, ultra sexy en allumeuse tueuse (tiens ça sonne bien…) et Samuel Le Bihan (que j’adore et qui est malheureusement trop sous-estimé) en bon bourrin de base.
Mais d’un autre coté, on a franchement du mal à trouver un sens au film et au message qu’il cherche à délivrer. L’idée de mettre l’extrême droite au pouvoir (chose malheureusement de plus en plus réaliste…) aurait pu être une trame intéressante si elle avait été mieux exploitée. Or là, on n’en parle à peine pendant le générique et ensuite on zappe ce contexte pour le retrouver après une demi-heure de manière ultra caricaturale, lorsque l’on apprend que les méchants sont nazis. Cet aspect gâche d’ailleurs en grande partie le film, le scénario étant infesté de clichés et de raccourcis faciles sur les fanatiques nostalgiques du Fuhrer (en tenue militaire, cherchant à reproduire la race supérieure...).
En fait, c’est vraiment ça qu’on peut reprocher au film, c’est qu’il n’a pas su faire de choix entre la dénonciation politique sur un sujet intéressant et d’actualité et un pur film de genre, gore. Dommage car autant l'aspect politique est bâclé et totalement raté dans le film, autant si on prend Frontière(s) pour un survival classique, il s'avère réussi et entre directement sur le podium des meilleurs films gore français...
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
L'horreur à la française : ça passe ou ça casse. Là, c'est passé... en se cassant ! ^^ Blague à part, je n'ai pas était happé par la réalisation et le jeu d'acteur. Quant à l'histoire, même si j'ai beaucoup apprécié la dénonciation de l'extrême droite et du néo-nazisme, le film n'a pas répondu à mes exigences. Trop de gore tue le gore, ce qui rend le tout encore plus gore ^^
À sa sortie en 2008, on se souvient des affiches éloquentes et racoleuses qui mettaient en avant cet avertissement de la commission de classification : « ce film accumule des scènes de boucheries particulièrement réalistes et éprouvantes ». Mais Frontière(s) est un peu à Xavier Gens ce que Martyrs est à Pascal Laugier : bien autre chose qu’un petit film d’horreur de plus, comme il s’en produit à la pelle. Rien d’original pourtant dans le synopsis, on est ici en plein rednecks movie, c’est évidemment dans la manière de faire, de s’impliquer totalement dans les scènes les plus difficiles, souvent transformées en morceaux de bravoure, que Frontière(s) atteind sa cible. Une foi viscerale dans le cinéma, et dans tout ce qu’on peut encore y faire !
Film que j’attendais de voir car présenté comme très dur à regarder... et bien en fait, non ! Aucun effet de gore ! Si ce n’est une petite coupe par ci et par là... certes une ambiance malsaine et certains bons acteurs... ce qui tue le film ce sont toutes ces réactions non crédibles :
spoiler:
la fille frêle qui anéantit tout le monde même les personnes armées jusqu’aux dents, qui en un coup pousse un gars qui fait trois fois son poids à l’autre bout de la pièce, les garçons qui ont l’occasions de partir mais qui préfèrent revenir sur le lieu de la mort, le papy qui coupe les tendons d’un gars pour le tuer juste après ( et il dit qu’il les coupe pour ne plus qu’il puisse partir mais il le tue juste apres pour être sur lol), etc.
Une petite pépite pour le cinéma d'horreur français ! c'est violent c'est gore c'est trash mais c'est ce qu'on attend ! 16/20
Pour un film français je trouve qu’il et tres bien fait ilvaut les films d’horreur us il et tres gore et j’adore
Très mauvais film, je me méfie souvent des films d horreur français mais je me suis laissé tenter, pour finalement regretter.
Tout d abord film ultra caricatural, la vision d 'un gamin de 12 ans; les banlieusards sont des braqueurs évidement, mais ils sont quand même gentils, et veulent fuir le méchant front national qui va gagner les élections.
Du coup je ne sais pas quelle est la morale, c est le FN qui est mauvais ou les banlieusards?
Les campagnards encore caricaturés: français de souches, consanguins évidement , avec le papy ancien nazi, donc oui finalement le FN est bien le méchant du film, puisqu'il essai, très maladroitement, de montrer un lien entre la situation sociale du film et ce papy resté coincé en 1939, encore une foi je cherche la cohérence, la morale, l'intérêt?
Ce contexte sociale n'a, en effet, aucun intérêt dans le film.
Ensuite les scènes du film en elle même sont mauvaises, les acteurs qui mettent 10 ans a s'enfuir, qui discutent au lieu de se barrer, qui font du bruit, qui crient, tout le contraire de se qu ils devraient faire quoi...
La scène de poursuite avec la police du début met tout de suite dans le ton, des flics qui disparaissent comme par magie, qui ne savent pas tirer.
Les banlieusards qui vont s'enfuir dans un hangars mais apparemment les flics ne trouvent pas la porte d'entrée, mais a la rigueur on viens pour voir la suite.
Mais la suite est pareil, pas cohérente, l' actrice principale qui s enfuie a 2km/h et marche comme si elle avait attrapé une sclérose en plaque ou Parkinson pendant le tournage.
spoiler: Elle décide évidement de s enfuir dans les sous sol de la ferme, c'est évident que c est le meilleur moyen de partir que de prendre un ascenseur qui t emmène au sous sol.
Un film qui ressemble beaucoup a Sheitan, qui n’était déjà pas terrible, qui a l'air artificiellement rallongé avec des scènes dispensable et incohérentes, l’héroïne qui galère a s'enfuir ça arrange bien le réalisateur pour que le film fasse au moins 1h30, mais quand ça n'a aucun sens...
Ça ne me réconciliera pas avec les film d horreur a la française.
Tout d abord film ultra caricatural, la vision d 'un gamin de 12 ans; les banlieusards sont des braqueurs évidement, mais ils sont quand même gentils, et veulent fuir le méchant front national qui va gagner les élections.
Du coup je ne sais pas quelle est la morale, c est le FN qui est mauvais ou les banlieusards?
Les campagnards encore caricaturés: français de souches, consanguins évidement , avec le papy ancien nazi, donc oui finalement le FN est bien le méchant du film, puisqu'il essai, très maladroitement, de montrer un lien entre la situation sociale du film et ce papy resté coincé en 1939, encore une foi je cherche la cohérence, la morale, l'intérêt?
Ce contexte sociale n'a, en effet, aucun intérêt dans le film.
Ensuite les scènes du film en elle même sont mauvaises, les acteurs qui mettent 10 ans a s'enfuir, qui discutent au lieu de se barrer, qui font du bruit, qui crient, tout le contraire de se qu ils devraient faire quoi...
La scène de poursuite avec la police du début met tout de suite dans le ton, des flics qui disparaissent comme par magie, qui ne savent pas tirer.
Les banlieusards qui vont s'enfuir dans un hangars mais apparemment les flics ne trouvent pas la porte d'entrée, mais a la rigueur on viens pour voir la suite.
Mais la suite est pareil, pas cohérente, l' actrice principale qui s enfuie a 2km/h et marche comme si elle avait attrapé une sclérose en plaque ou Parkinson pendant le tournage.
spoiler: Elle décide évidement de s enfuir dans les sous sol de la ferme, c'est évident que c est le meilleur moyen de partir que de prendre un ascenseur qui t emmène au sous sol.
Un film qui ressemble beaucoup a Sheitan, qui n’était déjà pas terrible, qui a l'air artificiellement rallongé avec des scènes dispensable et incohérentes, l’héroïne qui galère a s'enfuir ça arrange bien le réalisateur pour que le film fasse au moins 1h30, mais quand ça n'a aucun sens...
Ça ne me réconciliera pas avec les film d horreur a la française.
Ce film est une catastrophe, un raté total et sur tous les points. N'ayez surtout pas le malheur d'appuyer sur le bouton play. Une mention spéciale pour Estelle Hallyday qui mériterait un Gerard d'or pour son interpretation pitoyable.
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